Elle écrit de petites chansons
Avec les maux des autres
Debout dans le noir
Elle n'a plus besoin de se battre
Avec le corps de ses angoisses
Sa voix ne la fait pas souffrir
Et ses oreilles
Entendent davantage
L'onde des jours heureux
Elle n'a plus besoin de se battre
Avec le corps de ses angoisses
Sa voix ne la fait pas souffrir
Et ses oreilles
Entendent davantage
L'onde des jours heureux
Elle entonne une chanson a cappella
J'ai traversé toutes les ombres noires
Me voilà face à la misère en manteau chic
Nous n'avons rien à perdre sauf la liberté
Désormais tu me fais mordre l'essentiel
Nous voilà face à l'ombre bleue
Dans une chasse furieuse à la vie
En humant sa peau blanche et amère
Je compose un nouvel air
Et glisse entre son rouge baiser
Le monde entier qui a été défiguré
Le vide immense qui nous reste à combler
Et si encore une fois
Elle sentirait le vertige l'avaler
Quand elle me tient comme ça
Les mains ferment dans mon dos
Elle ne tomberait plus
La nuit tient l'équilibre
L'air du poème n'est pas vraiment gai mais il est de toute beauté
RépondreSupprimerC'est la première fois que tu donnes l'émotion pure
RépondreSupprimermerci
tenir dans les failles de la vie sans regret
Supprimera attribué +1 : La nuit tient l'équilibre
RépondreSupprimera attribué +1 : La nuit tient l'équilibre
RépondreSupprimerSublime
RépondreSupprimerSuperbe de fragilité et d'émotion.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup cette puissance et cette douceur
Si je vous écrivais les mots forts, qui m'ont interpellé d'écho
RépondreSupprimerdepuis que je vous lis, cela vous donnerait-il, l'agréable envie
de nous offrir le plaisir, d'entendre une seule fois,
une de vos poésies, de votre voix.
Belle nuit James
Un jour ou l'autre...
SupprimerUNE très belle poésie bien élégante
RépondreSupprimerAMITIES
FD
Etrange monde où la souffrance et l'espérance se rencontrent dans la nuit !
RépondreSupprimerLa souffrance comme ses antonymes jouent à cache cache
Supprimeril n'y a ni de vainqueurs
ni de vaincus
c'est la vie
Magnifique monde du poète, où la douleur n'est presque plus fardeau !
RépondreSupprimerBravo !
le fardeau est attribué à celui qui baisse les bras
Supprimerla nuit et un corps abstrait
RépondreSupprimerjoli
abstrait oui la nuit on ne voit pas tout
Supprimeron ressent juste une présence
on entend un bruit
on sent une odeur
a attribué +1 : La nuit tient l'équilibre
RépondreSupprimera cappella....
RépondreSupprimera capella jute la voix
Supprimersans mixage
ni artifice
un simple face à face
a noté La nuit tient l'équilibre.
RépondreSupprimera attribué +1 : La nuit tient l'équilibre
RépondreSupprimerLa nuit comme une trêve, un sursis ... les forces vitales s'y régénèrent, l'équilibre se reconstitue... C'est un très beau poème !
RépondreSupprimerVraiment beau !
RépondreSupprimerLes mots ont su combler tous le vide que pourront encore écrire les maux. Bravo James !
Amitiés
Magnifique ce poème ! Bravo ! J'y bois de source pure
RépondreSupprimerQuelle souplesse d'esprit remarquable ! J'aime. Merci James
RépondreSupprimerJ'adore, je suis fan
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