Chaque destin hésite encore
Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Continue la vie et j'attends sous la pluie votre prochaine poésie !
RépondreSupprimerVotre silencieuse lectrice !
C'est très beau
RépondreSupprimera attribué +1 : Continue la vie
RépondreSupprimerTrès beau poème j'ai aimé l'âme de la nature qui planait au sein de charmant texte
RépondreSupprimerNelreck... Tout devient clair lorsqu'on sort de la nuit
Supprimera attribué +1 : Continue la vie
RépondreSupprimerPas mal
RépondreSupprimerSorel Ferdinand... Loin des fleurs du mal
SupprimerStraordinariamente bella significativa complimenti
RépondreSupprimerSplendido fine settimana +James Perroux
Bonjour !
RépondreSupprimer"Aucun oiseau en cage manque d'air" Ce ne serai pas "ne manque d'air" ?
Sinon joli texte. Dans la premier "paragraphe" il y a les dernier mots la phrase du début et celle de la fin qui riment et je trouve que ça passe vraiment bien ! Je ne sais pas si c'était volontaire mais ça aurait été bien de le faire pour les autres paragraphes.
Après je dis ça mais trouver des rimes qui aillent avec le texte, c'est pas facile. J'adore la conclusion
J'ai relevé la coquille ne... manque d'air
Supprimertout est volontaire
reste à modifier ou corriger l'involontaire
et pour parodier voltaire
si l'erreur n'existait pas il faudrait l'inventer...
Merci.
L'ambiance est très particulière, ça me rappelle rappelle vaguement certains rêves au début ^^
RépondreSupprimerProche de l'urne du crépuscule
Pleine de cauchemar
Par tant de mouvement de dégoût
Le moteur a du mal à démarrer mais c'est sûrement fait exprès ;)
Il y a un changement d'ambiance marqué, surtout à la troisième strophe mais je trouve qu'il y a une différence assez problématique en terme de texture. Enfin, c'est peut-être parce que je n'ai pas compris où ce poème voulait aller.
Séparément, j'aime beaucoup ce passage :
L'arbre en fleur
Célèbre ses murmures
À bout de lèvre
Et danse
Le moteur est un diesel
Supprimerqui insiste pour marquer l'hésitation ambiante
celle de prendre la bonne décision
à un moment critique
voir politique
et ce changement d'ambiance est finalement
de contempler ou de se satisfaire
de ce qui existe naturellement
autour de nous
sans que nous ayons à faire autre chose
qu'à ouvrir nos yeux nos cœurs
et volubile continue la vie
ou et vogue le navire à la Fellini..
merci
Joli texte, finement ciselé, évocateur de sensations et d'espoir.
RépondreSupprimerJ'aime bien. Ce poème fait souffler un vent de fraîcheur sur le sujet (et ça fait du bien !).
RépondreSupprimerCertaines images sont plutôt convenues mais sont utilisées de manière surprenante, du coup... je ne sais pas trop quoi en penser. Il faudra que j'y revienne. :)
J'ai buté aussi sur le 3 P du début. Même pour évoquer un diésel ^^. À la limite, ça m'aurait moins gênée avec un parti pris plus tranché : avec des vers très courts. Là, sur moi ça ne fonctionne pas.
"Interstice" est un mot que j'aime beaucoup. Alors je trouve que la 2e strophe gagnerait à s'ouvrir sur ce beau "Par les interstices". D'autant que "Seulement" n'amène pas grand chose, ni en sens, ni en rythme, ni en sonorité.
J'aime beaucoup "Ses feuilles dessinent / Sur la nouvelle mosaïque / Les ombres du bonheur". Il y a l'espoir, il y a l'ombre inquiétante. Et la quasi régularité des vers accentue le flou/doute. (Je le ressens comme ça.)
J'aime l'écho des "v" qui traverse le texte, ouvrant la voie au "vie" final, avec un rebond sur ce beau "volubile".
L'illustration est de toi ? Elle me plaît.
Je vais répondre à la dernière question posée
SupprimerOui les illustrations sont de moi. Et de plus une musique le berce... enfin ici sur ce site non.
Pour les P. oui sans doute rien n'est figé rien n'est important reste à atteindre l'ultime mais lequel et pour qui...
Merci.