La poésie est une suspension qui éclaire le monde.
Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions.
J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie.
Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante,
Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange
et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable.
Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être.
Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure.
Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Petit homme Si tu pouvais imaginer Imaginer à qui donner la main Pour surfer dans l’immensité Si le bazar fait bien les choses Personne ne contrôle rien Ce que la vie permet La misère n’est pas seulement matérielle Chaque jour parmi nous Trop de misère symbolique Parsème la rue des hospices Parfume l'air des précipices Coordonne l'irrationnel des extrêmes Un deux trois bulletins ils vous aiment Petit homme Si tu pouvais imaginer Imaginer à qui donner la main Pour surfer dans l’immensité Si la chance fait bien les choses Personne ne contrôle rien Ce que la vie permet La misère n’est pas une histoire de richesse La vie est un liant de boue et d'or Trop d'inégalités Caressent la plume des corbeaux Massent le dos des salauds Coiffent le cygne noir d'un scatophile Un deux trois suppositoires ils vous enfilent Petit homme Si tu pouvais imaginer Imaginer à qui donner la main Pour surfer dans l’immensité Trop de nombrils Dansent du ventre Pensent être Le centre du monde Sans fin jouissent Sur l'omoplate vague Des belles âmes Des compagnons d'armes Qui construisent le radeau Avec leurs peines et leurs viscères Petit homme Si tu pouvais imaginer Imaginer à qui donner la main Pour surfer dans l’immensité Les animaux se décomptent la nuit Les fleurs perdent leurs couleurs La forêt se meurent dans nos meubles Oui je sais le rose n'est plus rose Avant ce n'était pas mieux Mais le pire n'était jamais atteint Cette réflexion est vide Insuffisamment détaillée Ou incomplète Revenez demain Petit homme Si tu pouvais imaginer Imaginer à qui donner la main Pour surfer dans l’immensité Nous y voilà Coincé dans un ascenseur Mécaniquement sociable Un groupuscule de nombrils Des nombrils qui n'ont rien de commun Réalisent peu à peu Que le Diable Se trouve parmi eux Et les a pris au piège C'est la longue marche des nombrils Petit homme Si tu pouvais imaginer Imaginer à qui donner la main Pour surfer dans l’immensité
a attribué +1 : C'est la longue marche des nombrils
RépondreSupprimerAh, un titre parlant, la longue marche des nombrils...
RépondreSupprimerUne belle réflexion sur le chemin à parcourir encore dans une vision floue...
RépondreSupprimerAmitiés
a attribué +1 : C'est la longue marche des nombrils
RépondreSupprimera attribué +1 : C'est la longue marche des nombrils
RépondreSupprimerSuivre les mains invisibles...Chemin vers l'omphalos...nombril du ciel...nombril du monde.
RépondreSupprimerMerci pour la musique aussi.
a attribué +1 : C'est la longue marche des nom
RépondreSupprimerUn poème singulier, original, regard sévère sur notre monde, un monde sans la moindre parcelle d'amour véritable.
RépondreSupprimerBonjour James Px
RépondreSupprimer""" Les animaux se décomptent la nuit
Les fleurs perdent leurs couleurs
La forêt se meurent dans nos meubles """
et tout le contenu énoncé ! et encore +
Poésie réaliste bien composée
Bien triste et grave réalité
Amicalement
a attribué +1 : C'est la longue marche des nomb
RépondreSupprimera attribué +1 : C'est la longue marche des nombrils
RépondreSupprimerqualité du texte original m'a plu
RépondreSupprimeront attribué +1 : C'est la longue marche des nombrils
RépondreSupprimernombril noir et nombril or
RépondreSupprimermarchant en un seul décor
j'ai bien aime ton poème !
Oui, réaliste
RépondreSupprimerMarie
a attribué +1 : C'est la longue marche des nombrils
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