À des moments épars
Où mes maux glissent
Imprécis
Vers l'invraisemblable
J'ai le sentiment d'être
Sans vraiment y être
Au bout d'une voie sans issue
Sous un angle inconnu
Où nulle errance
Ne peut échapper à sa condition
À l'enfermement
J'ai beau tourner autour du pot
Son couvercle d'humus
Reste trop lourd à soulever
Et le ciel invisible
Seule la terre
Ostentatoire
M'invite à la rejoindre
Pourquoi ce rien de trop
Merci pour votre partage James. Bonne soirée.
RépondreSupprimerJ'aime les beaux mots que tu emploies
RépondreSupprimeret tes images
comment échapper à sa condition
en l'acceptant
on aggrave ce contre quoi on lutte
tu attires ce dont tu as peur
je parle d'expérience
et je t'embrasse
marinette... correction faites je pars à l'ombre
SupprimerMerci de l'oxygène que vous mettez dans les mots...
RépondreSupprimerBonne soirée,
Robert.
Oui de l'oxy sans gène...
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RépondreSupprimerUn ressenti très bien écrit.
RépondreSupprimerBonjour James c’est beau de jongler avec les mots, le ressenti est à mon avis un peu morose même la musique ...c’est super de l’exprimer ... merci 😊
RépondreSupprimerExpression sinusoïdale... merci
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RépondreSupprimerne te l'avais-je dit ?
RépondreSupprimerje suis si heureuse de ton involution vers l'intériorité .
Poème un brin mystérieux et hermétique. La dernière strophe suggère un amour sombre (voire le suicide envisagé ?), mais j'imagine que plusieurs suppositions peuvent être amenées à ce niveau. J'ai dû le lire plusieurs fois néanmoins avant de m'en imprégner suffisamment, mais cela n'est pas un inconvénient, bien au contraire. Un poème peut être intéressant dès lors qu'il interroge et demande un minimum de réflexion ou d'imagination pour l'appréhender.
RépondreSupprimerJ'aime bien les vers courts, découpés irrégulièrement par moments, traduisant le désarroi.
Pas de superflu, de belles images comme celles de la terre et de l'humus. On sent bien que le personnage désigné par "je" paraît englouti et retenu dans les profondeurs, incapable de se dérober à cette gravité dans laquelle il s'embourbe, incapable de s'élever vers la lumière, de s'approcher du céleste. Dis-moi si je me trompe.
non il y a de l'idée
SupprimerUne prise de conscience quand nos propres sens nous dépassent et quand on s'aperçoit qu'on a ralenti pour qu'ils nous dépassent ! profond et sans fond, la corde sera longue !
RépondreSupprimerplus on creuse plus on s'isole
Supprimercomment échapper à sa condition
en l'acceptant
on aggrave ce contre quoi on lutte
on attire ce dont on a peur
Prendre du recul, se donner le temps de vivre... choisir un rythme de vie plus tranquille, plus lent, moins stressant... Ton poème est délicieusement remarquable, même si je ne comprends qu'à demi-mot...
RépondreSupprimerLa remarque est pertinente
SupprimerUn week end où l'esprit réfléchira un peu plus...
Merci
J'ai lu
RépondreSupprimerJ'ai aimé
Rien de plus
Gaby
Faîtes vos jeux
SupprimerRien de plus
La roue tourne
Le hasard passe
L'homme trépasse
Ou se dépasse
Un écrit trace ce voyage de l'esprit dans l'abyssal où seul tu connais, surprenant. Trop de questionnement tue la réponse...
RépondreSupprimerSalut à toi.
Qui vivra verra...
SupprimerTiens un trou noir... ça existe... Einstein avant raison sans une preuve et Homo luzonensis" : une nouvelle espèce humaine découverte aux Philippines...
Tout reste à découvrir, rien n'est figé... Comme le futur !
donner un peu plus de temps à sa vie, lui laisser plus de liberté, la laisser nous mener au lieu de lui mettre une bride et l 'entrainer à un train d'enfer! et lire et appliquer le citation de Personne concernant les jours!
RépondreSupprimerEmie
C'est très beau, j'♥♥♥
RépondreSupprimerMerci
Moi, j'y comprends fifre, comme on dit à Marseille
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