Tourments du corps
Brisure de l’âme
Au risque de la promesse
De la violence au sacré
Du doute à la faute
Le secret du pardon
Abolition
Lèvres censurées au mur du silence
L'audace intime les délivre
Délie le fil des mots
Mes dernières paroles d'amour
Qui ne ment pas de temps à autre
S'agrippe à l'aile du corbeau
Au désir infantile
Secoué par l'abîme qui m'obsède
Toutes mes paraboles
Mettent en scène les énigmes de la vie
Sur l'arbre qui chante l'hiver
Mains enfichées à la galerie des glaces
La curiosité invite le convive
Dans la sphère des merveilles
Habile jeu d’illusions optiques
Ou réalités cosmiques
Ici pas de corps qui déchantent
Mais une danse voluptueuse
À la symphonie des sens
Révélés par l'osmose des sueurs
L’index est imaginatif
Le pouce directif
Nos mains s'engouent d'émotions
S’affolent se caressent
Entre les larmes d'une convulsion
L'éphémère ferme les yeux
Et se libère le mur du silence
Qui se fissure à la voix
Du saut de l'ange
Eboulis de sentiments dans ce "tremblement d'un silence"
RépondreSupprimerJoli partage
Z
Port de lunette obligatoire
SupprimerPour ne pas manquer
La bonne sortie au giratoire
Après l'orage le soleil a brillé
Et nous nous sommes quittés
Encore une fois dans le noir
:love:
RépondreSupprimerLes yeux rouges
Supprimerpeuvent être un symptôme
de petits désagréments
ou d'une maladie sérieuse
en forme de cœur
elle est mortelle
Signé Une lentille sang contact
Les paroles sont alignées au mur du silence
RépondreSupprimeret convulsent vers leurs émotions
Bravo James
yuba... un peu de lucidité loin du chahut insurrectionnel
SupprimerLe froid mérite un peu de chaleur
Bienfaisance et beaucoup d'amour
coucou
RépondreSupprimermarinette coucou bis... Et volupté
SupprimerLe titre est très beau, bien choisi.
RépondreSupprimerBelle soirée poétique
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RépondreSupprimerLa complexité est dans le cliché... lire la suite dessous...
SupprimerLa complexité est dans le cliché... trop de lumière ou pas assez le sujet bouge trop ou a disparu trop brillant trop mate trop hard trop guimauve et je suis là pour essayer de développer ce que j'éprouve à l'instanté... le lendemain je suis deja ailleurs pour le prochain cliché sans oublier le feu et la glace des anciens j'en ai souvent perdu le sens... d'ailleurs je me demande si je me comprends toujours. Où est le vrai du faux moi-même j'en joue j'en crève j'en jouis j'en ris j'en pleure... j'en rêve.
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