Qui suis-je ?

- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Copyright numéro 00048772-1
Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Nombre total de pages vues
Rechercher dans ce blog un poème
Tous mes poèmes
lundi
Ampleur sous vide
Abonnés du blog
Les dix archives les plus consultés ces 30 derniers jours !
-
Comme sortie des rêves de mon cœur Son sourire s'embellissait comme une fleur Et dès son premier délicat baiser courtois J'ai senti...
-
Je me rappelle qu'il se perdait souvent en réflexions De n'être jamais sûr de son amour de son bel horizon De ne pas être pris au...
-
Hum hum hum Oh oh oh Ici, dans l'ère des clean girls, tout s'épure, Mes rêves s'effacent, oh comme une peinture, Un dessin démod...
-
Elle aimait Elle aimait tant le chant Le chant de la nature Au petit matin Elle avait le goût Le goût pour le déroulement Invariable ...
-
Ce soir comme tous les soirs il sortit Habitant trente et un rue de Varenne A côté de la Chapelle du Sacré Cœur Habillé comme un mannequ...
-
Partir de soi pour sauver l'alter ego le cimetière des hirondelles raviver le couronnement tous les arbres en fleurs calcinés Maudit p...
-
En rêve Dans un bus Oublié d'une station qui s'achève Mon double que je vois est au terminus Le ciel est si noir L'endroit couv...
-
Je te caresse comme la plume d’oie Caresse et berce nos envolées sauvages sous la soie En naviguant au dessus de tes hanches J'amerrirai...
-
Dans les pliures du poème Nier l'évidence Dos courbé Sur la nuit qui m'isole Danse l'alcool Sur le vent sourd Au gré d...
-
L'aube cherche le jour Comme cette fleur Lourde de pluie Cherche mon esprit Qui cavale à vive allure Sur la peau d'une voix secrèt...
Bravo pour le message..
RépondreSupprimerQue fais tu
RépondreSupprimerDans ces longues heures
Où la pluie se mire en habitude
Sur le parvis des nues
Sur le rebord du coeur
Quand l'hiver installe ses couleurs.
Que fais tu
Loin dans ta nuit
Où le soleil se cache
Entends tu
Tout le bruit
Que fait ce port d'attache
Quand je te prends les mains.
Quand je te reverrais demain
Repartir de zero
Fier et droit
Comme un i
Dans un regard lointain
Où s'est perdu le héro
Distant et froid
Comme c'est pas permis...
Sauras tu
Faire semblant
Que rien ne peut t'atteindre
Que rien ne nous unit
Que ce ne sont qu' des maux bus
Qui ne durent qu un temps
Qu il suffit de les peindre
Pour qu'ils s'enfuient ?
Tu ne me vois plus
Pourtant je suis là
À deux pas de vous deux
Derrière ta bohème
Derrière ces aveux
À t'écrire un poème
Parceque tu vaux plus
Que ce qui te retient là..
RépondreSupprimerJ'ai demandé une carte de membre
À la première étoile qui passait
Mais un orage a dû m'entendre
Et il a fait tout capoter...
Il vit depuis dans la pénombre
D'un ciel d'un gris tout délavé
Pas un soleil n'a su m'entendre
À l'ombre de sa canopée ...
Je prie pourtant de toute mon âme
Qu'un jour il sera délivré
De toute cette peine qui fait naufrage
Au coeur de sa destinée...
Il le mérite c'est un homme tendre
Un homme si beau mais qui pleurait
Tout seul enfermé telle une ombre
À l abris d'un ciel de conformités...