Le braiment de Petit Nuage
Annonça l’amour est dans le pré
Toute la beauté maquisarde
Se mêla et se démêla
Comme une toile d'araignée
Sous une brise d'automne
Au cœur de la châtaigneraie
Sur ce sentier inattendu
Recouvert de bogues et d'histoires
Autant de silence
Qui taille le schiste
Et se gonfle d'orgueil
Et si la nature n'eut qu'une fleur
Je connus son enfant
Le bonheur
Joliment conté..
RépondreSupprimerCe texte me transporte, je ne sais où mais j'y vais direct.
RépondreSupprimerça ne m'étonne ^pas venant de vous.
Il manque Skrek, l'âne est là
RépondreSupprimerjoli le tout
Très joli.
RépondreSupprimerJ'aime tout particulièrement la dernière strophe.
RépondreSupprimerJ 'ai attendu longtemps sur ce banc sans personne
À écouter le vent et les cloches qui sonnent
Sur les saisons passantes en de beaux paysages
Dessinant sous mes yeux que le temps fait son âge.
La colline vêtue de changeantes couleurs
M 'a alors tant ému percevoir son pastel
Sous un ciel orageux si charmante et rebelle
Quand se drapait le soir de sa verte candeur.
J'ai attendu longtemps sur le banc dans ce parc
Humant à pleins poumons les fleurs de la prairie
Essaimant un parfum: Vent d'un Soir De Paris.
J'ai attendu des lustres des mois des années
N'est jamais revenu celui que j'attendais .
Seule Gaïa était là pour me rendre mon arc.
Je découvre et savoure vos belles créations. Merci James, à bientôt !
RépondreSupprimer