« Le bien absolu est à peine moins dangereux
Que le mal absolu »
Souffle vital
Égalité d'âme
Celle qui me façonne chaque seconde
Se prononce pour l'altérité des êtres
Et dénonce le mouvement « Woke »
Certes rien n'est parfait
Et tout reste à peaufiner
Pour le meilleur des mondes
Pourquoi abandonner la piste aux étoiles
À des astres imperfectibles
Qui nous satellisent à longueur d'écran
L'espace
Ces météorites colorées de totalitarisme
Qui déconstruisent depuis leur isthme
Le paysage et ceux qui le façonnent
Pensant avoir le double des clés
Je préfère un wok de légumes raisonnés
D'un voisin maraîcher
Qu'un « Woke » cultivé d'une potion magique
Mijotée par des minorités
Ultra visibles
Qui ne savent pas savourer
La cuisine populaire comme gastronomique
Et qui prétendent subir
Des discriminations incessantes
Contrairement à la culture « Woke »
La nature n'est pas une abstraction
Cultivons sans crainte
Nous récolterons sans crainte
Et vive la soupe
Pourvu que vous ayez encore des dents
Point de vue parmis d'autres
« Avec la culture woke, la liberté individuelle disparaît au profit d’un
État qui dirige la vie des individus dans le but illusoire de rétablir
une justice sociale inaccessible.»
Réécriture 2024
Le bien suprême,
à peine moins périlleux
que le mal suprême.
Souffle vital,
essence d'égalité d'âme,
sculpte-moi à chaque instant,
se prononce pour l'altérité,
fustige le mouvement « Woke ».
Rien n'est parfait,
tout reste à parfaire,
pour l'utopie des mondes.
Pourquoi céder la voie
à des astres imparfaits,
qui nous orbitent,
à longueur d'écran ?
L'espace,
météores chatoyants de totalitarisme,
déconstruisent le paysage,
depuis leur isthme,
persuadés de détenir
le double des clés.
Je préfère un récipient,
de légumes savamment cuisinés,
par un voisin maraîcher,
qu'un « Woke » cultivé,
d'une potion alchimique,
mijotée par des minorités
ultra visibles,
qui ne savent pas savourer
la cuisine populaire,
comme une œuvre gastronomique,
et qui prétendent endurer
des discriminations incessantes.
Contrairement à la culture « Woke »,
la nature n'est pas une abstraction.
Cultivons sans appréhension,
nous récolterons sans crainte.
Et vive la soupe,
pourvu que vous ayez encore des dents !
Bravo super texte intelligent à souhait
RépondreSupprimerPour la soupe c'est la saison... et pour la connerie Vivaldi est un petit joueur
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