Mon oreiller en vers
C'est perdu dans les Cévennes
Immobile sur le coton d'Inde
Je vous dis ça
Mais ça restera entre nous
Sur la montagne du soleil
Et pourtant je ne suis pas bien
Avec tous ces souffles frais
Mon côté obscur
Et des baisers
Comme je te l'ai promis
La poésie t'enveloppe là
Et des mots doux
Attendent de voir
Immobile sur un petit nuage
Le chemin de la vie
Serpente la paix intérieure
Entre les mains de Dieu
Et pourtant je ne crois pas
Qu'elle est la cause
De la neige éternelle
Sur mon cœur artichaut
L'oiseau bleu se délivre
Dans l'attente d'une réponse
Une nouvelle date
Des cris des pleurs
Des joies des sueurs
Ah de l'amour encore
Pourquoi pas toujours
Hier et après le jour
La nuit nous a prêté
Lumière chanson
Souvenir et horizon
Loin de la mer de la maison
Ah de l'amour encore
Des baisers sur nos corps
Merveilleux
RépondreSupprimerMerci James !
Un poème magnifique, ses pensées comme en vrac, coulent comme de l'eau à la lecture
RépondreSupprimerSoleil se lève aussi
RépondreSupprimerDu fin fond d'un hiver,
L'éclat d'une eau d'ici
En Ode passagère...
La patine est brillante
Sur l 'horizon vernis,
Ô saison saisissante !
Tes yeux ! Un doux nid .
Attente : Patience est souvent récompense..
RépondreSupprimerVers aux images tendres fluides où votre cœur d'artichaut est attachant !
Bravo
A la lecture de ce bel écrit la réponse ne saurait tarder
RépondreSupprimerBravo
Amitiés
Bonsoir ,
RépondreSupprimerQue c'est beau, j'adore
Belle soirée
Paule
Et que vive l'essentiel!
RépondreSupprimerAmitiés, Poly
De la poésie à l'état brut... Presque sauvage
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