Ce jour d'hiver, dans la glace,
Le visage de mon pèreMe susurre l'infini
Et m'étreint la trame déchirée de mon existence.
Encore un crépuscule hivernal,
Teinté de pourpre,
Captif d'une magie détournée,
Des charognards qui déclament
Une prose funèbre,
Dans une entité coercitive,
Où chaque âme erre insatiable.
Toi et moi,
Brisons cette vision romanesque,
Affrontons le cataclysme,
En une poésie immortelle.
Défions l'horizon éthéré,
Dans l'harmonie de nos pas,
Et conjurons ensemble
L'ombre funeste qui nous ensorcelle.
Comme un chant d'Espoir ? Faire face au dégoût, aux déchirures, à tout ce qui se brise en nous. Un rêve fou ? Un pari et une claque sur tout le cynisme, le cataclysme qui nous enlève la raison d'être en-corps...
RépondreSupprimerRiaga... de lpdp
Refuser d'accepter passivement le statu quo, c'est choisir de créer quelque chose de positif malgré les épreuves.
SupprimerMaintenir un chant d'espoir dans un monde parfois déconcertant peut être une façon de réaffirmer notre humanité et de transformer le dégoût en une source d'inspiration...
Merci
Difficile de commenter vos poèmes.
RépondreSupprimerIls ont cette pure originalité qui définit votre plume à nulle autre pareille.
Un côté cryptique, toujours, il faut la clé pour comprendre le fond de votre pensée.
Ou alors, comme je le fais, tout simplement se laisser porter par les sensations, les impressions, les émotions.
C'est un plaisir aussi et je ne m'en prive pas !
La dernière strophe ouvre tout grand une porte vers l'Espoir, dans un complicité ou peut-être une dualité.
Et, bien sûr, je ne me refais pas, un coup de cœur tout particulier pour "L'Ombre funeste qui nous ensorcelle".
LYKAN de lpdp
Laisser les sensations guider, transformant le mystère en un résonnement émotionnel, est une voie tout aussi légitime. Merci pour cette complicité où l'énigme devient un écho vibrant d'émotions. Merci pour votre complicité avec l'Ombre funeste...
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