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La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.

Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...

« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »

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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !

Toutes les fautes d'orthographes sont corrigées au fur et à mesure des rencontres... Et toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite

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Tous mes poèmes

samedi

Penetralia

Quand vous viendrez à Penetralia
Dans le trouble brûlant de l’été
Vous ne manquerez pas
Ce sublime phallus de bronze
Au creux de l’oreille
Dans le grand pavillon blanc

Cherchez-le bien
En silence
Il est dans mon jardin de curé
Derrière la colonie d'agapanthe violine
Sur la gauche
Divin
Lumineux
Discret
Et puissant à la fois

Le bronze est là
Sous vos yeux
Solaire et pervers
Comme un habitant secret du jardin
Un jardin de senteurs qui reflète
Dans sa matière veloutée
Le ciel et la verdure

Ce corps beau des limbes
Cru et ironique
Emblématique
Après un long chemin
Pavé des plus grands succès
Un phallus qui détonne
Et vous l'incandescente apparition
Allongée sur l'autel
Le corps rutilant
Enlaçant la beauté
De ce phallus
Une déclaration d’amour
Sans équivoque au corps
À l'esthétique
À la force
À la douceur

Regardez ces phallus mobiles
Suspendus dans l’air du plafond
De ma Chapelle Sixtine
À l’aplomb du débat
Dont un fait de coquilles d’œufs
Maintenu par du fil d’or
D’une fragilité extrême
D’une générosité en regard
Je vous le confie
Il vous attendait




69 commentaires:

  1. Une grâce et une subtilité parchydermique

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    1. Lire ce texte sous la musique de Schubert.... http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=doC2tgY-d7g
      Et la flamme émotionnelle grandira... Iconoclaste et caverneuse !

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  2. petit coquin
    un phallus de bronze
    la malédiction des pharaons
    bisou

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    1. L’œuf de la compassion
      L’œuf de la clairvoyance
      L’œuf de l’intuition
      Et le poussin s'envole
      Rejoindre ses plumes
      Dans son jardin soleil
      L'inspiratrice

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    2. tu as raison chacun inspire l'autre à condition d'être lu
      mais je n'avais pas la même que toi c'est normal

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    3. La norm à lité
      lorsqu'elle est fatiguée
      pour ensuite renouer
      avec la beauté du ciel
      cul nu dans la verdure
      Et un arc-en-ciel
      Viendra soulager nos armures

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  3. PaulPersejuin 30, 2013

    PaulPerse les sens d'Avé Maria Ô rigidité caverneuse... Et Px Récolte les notes...

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    1. PaulPerse les cieux et Maria grimpe aux rideaux bleu du ciel

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    2. PaulPersejuin 30, 2013

      Pendant que Px redescend à la barbe et à l'index du plafond, les coquilles vides...

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  4. Un texte délicieusement iconoclaste.
    Les "cierges" y donnent de réjouissantes clartés.

    Merci poète

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    1. La chair comme tapis de prière
      Le phallus comme cierge éclair

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  5. incantadajuin 30, 2013

    j'adore vous lire ,
    je commente pas toujours ,car j'avoue que ce talent me dépasse et je suis intimidée ,hé oui
    bisous ,,oui j'ose

    je relis ,je relis

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    1. tu sais il faut connaître l'oiseau pour le comprendre
      et j'ai mis longtemps

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    2. incantadajuin 30, 2013

      Je m'en doute ma jolie violette , mais les auteurs de talent
      moi ça me fait peur ,
      comment faire pour commenter cet écrit sans être ridicule ?
      donc je lis et pour une fois je me tais

      bisous Marine

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    3. tu ne seras pas ridicule et puis même
      en fait c'est un clin d'œil à un de mes poèmes
      les œufs de la soupente
      personne ne peut tout comprendre
      on aime ou pas
      et surtout on a le droit de se l'attribuer selon notre expérience
      bisou lola

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  6. Regardez ces phallus mobiles
    Suspendus dans l’air du plafond
    De ma Chapelle Sixtine
    A l’aplomb du débat
    Dont un fait de coquilles d’œufs
    Maintenues par du fil d’or
    D’une fragilité extrême
    D’une beauté en regard
    Je vous le confie
    Il vous attendait
    plus on te lit plus on trouve de références de jeux de mots
    et là tu as quelques commentaires qui sans la savoir peut-être sont pas mal non plus: caverneux cierge etc
    voilà j'aime cette subtilité où il faut ouvrir les tiroirs du cerveau

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    1. Oui toutes mes poésies réussies
      C'est à dire aucunes
      ont un double sens
      ou des fait et divers
      à l'endroit ou à l'envers
      des références
      des triples axels
      Le tout est de se repose sur la glace
      Sans prendre la grosse tête
      Même si la chute a été violente...

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  7. Quel délicieux esprit vous avez
    L'avé Maria dans un jardin de curé
    Cotoyant un phallus en bronze ... C'est
    Une relecture plaisir assuré
    *sourire*

    Bravo James

    Paule

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  8. L'épinardjuin 30, 2013

    Excellent et rafraîchissant. Coup de cœur.

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  9. Profond et d'une telle rigidité caverneuse, pauvre Maria

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    1. Attention à l'échelle des mains, il peut y avoir des frustrations masculines...

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  10. Chaud devant, chauuuuddddd !!

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  11. Encore eut-il "phallus" que je le susse (subjonctif imparfait du verbe savoir, naturellement, qu'alliez-vous penser ?).
    Un très beau texte que j'ai osé lire, bien que je n'aie que 12 ans d'âge mental, merci, James Px.

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  12. doucevaguejuin 30, 2013

    Quand le jardin dévoile ses secrets les plus intimes...

    Essence des sens cachés dévoilés... si le promeneur sait regarder et écouter...

    C'est vrai qu'avec toi je peux relire plusieurs fois tes poèmes et toujours me laisser surprendre à chaque fois

    Amitiés James

    Christine

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  13. rebelpoetjuin 30, 2013

    je suis comme Incantanda
    sans voix, une belle lecture, un grand talent,
    un chef d'oeuvre
    j'aime cette poesie, belle poésie
    amicalement votre
    yours
    rebelpoet

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    1. un chef d'œuvre
      oui c'est ça
      cela fera plaisir
      à mon fidèle compagnon
      c'est à dire à mon nombril
      merci

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  14. oui il a l'air un peu moqueur comme ça mais je crois qu'il m'aime bien
    bisou emelle discrète

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    1. C'est pour ça que tu as changé d'ailes Ninita
      tu avais la mémoire surbookée !

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    2. J'aime tout le monde sauf ceux que je n'aime pas

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  15. EmelleJiejuin 30, 2013

    Moi , je l'aime beaucoup James

    Emelle, juste discrète ici, dans la vie aussi , sourire

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    1. C'est tellement beau, une belle soirée James

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    2. La beauté ne suffit plus les mouches ont changé d'âne

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    3. ha ha ha

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    4. Un âne reste un âne quant à l'homme il a la chance de pouvoir changer... Ou tricher !

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  16. Une fresque de plus à la chapelle Sextine...

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  17. mais il n'y avait aucune allusion dans mon poème
    je stalagmythe

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  18. Au défi de l'aire érotique....il m'a plu de suivre le chemin....
    Suintant et vibrant cet atmosphère.....Sueurs, frissons à fleur de peau !
    Extra !

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  19. l'attente à Barbara ! me plaît...! puisqu'elle est déclamée avec poésie....

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  20. A la recherche du sexe perdu...au coeur d'un sanctuaire. Le culte du phallus n'est pas nouveau mais ce qui est plus rare, c'est le fait d'en découvrir des représentations sculpturales dans le saint des saint.

    Quelle ironie !

    Bravo pour le côté subversif d'une délicatesse exquise sur fond d'Ave Maria.

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  21. Poème mélangeant vigueur et finesse, un sacre de l'élan amoureux.

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  22. Un texte chaud rempli de sensualité et d'érotisme, j'ai aimé cette lecture

    Bonne jounée

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  23. Très bien écrit!
    J'aime beaucoup!


    Par contre, la musique me trouble un peu.
    Personnellement, je préfère laisser
    la poésie me dicter le rythme.
    Et puis elle m'empêche un peu
    de me concentrer sur tes mots.

    Et bonne continuation!

    Antoine

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    Réponses
    1. Merci pour votre com
      La musique
      oui
      Vous pouvez ne pas la mettre
      ou la laisser vous bercer
      c'est pour le côté subversif
      d'une délicatesse exquise
      sur fond d'Ave Maria...
      Cocktail entre
      L'amour
      l'humour
      le sacré
      et la banalité...
      Si l'on peut dire
      Et comment ne pas écrire
      sans musique ni souvenirs
      sans amour ni passions

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  24. Oui ça me fait un peu penser aux lettres antiques à double sens. Pas facile toujours de te cerner (rires)

    Bises James

    Emma

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    Réponses
    1. Il faut bien faire travailler le nœud avant d'étirer la corde...

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  25. Parler du phallus en des termes aussi poétiques nécessite beaucoup de talent, ceci n'est pas donné à tout le monde...
    Merci pour ce beau moment de lecture...
    A bientôt, Domie

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  26. Penetralia ...lieu ou le mythe , la passion , l'adoration creative et l'amour se donnent rendez-vous ....

    Bravo !


    Galà

    RépondreSupprimer
  27. lodie janssensseptembre 18, 2017

    Je suis contente d'etre passée par là.
    C'est original et différent de ce a quoi je m'attendais en lisant le titre. (Mais il est tard !)

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  28. Art abstrait, j'aime bien cette audace esthétique.

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    Réponses
    1. Merci
      Art abstrait c'est un angle ouvert de voir les choses libérons nous encore l'esprit laissons notre imagination guider nos émotions soyons instinctif
      Et voilà ce cadavre exquis

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  29. Bonjour James Px,

    J'aime assez sans pouvoir dire pourquoi. Ca me fait penser au Kanamara Matsuri au Japon. Une petite explication pour savoir ce qui a inspiré ce poème ?

    Lou

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je connais cette manifessetation plutôt phallique et frinippone... n'aimez vous pas sucer mon nez rouge... délire soleil levant pour un coucher coquin.
      Mais je n'avais pas pensé à cela au moment du délit, juste à elle.

      Supprimer
  30. pas compris james, tu nous confies ton phallus ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. pas tout à fait
      c'est un olisbos
      en bois d'arbre lol
      genre pouce de César

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    2. ha ouf...sourire...je ne sais pas trop ce que j'en aurais fait...

      Supprimer
    3. Tu peux toujours l'offrir à Nausicaa ou à Circé
      ou même à Ulysse 21 du nom
      au pays de l'odyssée de l'espèce
      après la guerre de troyes foix sète

      moins sérieusement
      ... phallus
      c'est à dire être ou ne pas être un objet d'amour
      un signifiant du désir
      ou juste un truc imaginaire...

      Supprimer
  31. REVEPOURPREmars 01, 2019

    une superbe poésie qui suscite une grande réflexion


    plaisir des mirettes

    tu es le seul à t'exprimer de cette façon


    bravo James


    AMITIES


    RP

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    Réponses
    1. Ne pas trop réfléchir
      pour ne pas fléchir
      Écrire et respirer

      Supprimer
  32. et pourquoi pas le tout, tendresse et sauvagerie ? le sexe n'est il pas qu'un moyen de plus pour atteindre la félicité, sourire, après de là à l'idolâtrer il existe des nuances que la plupart des Hommes franchissent...je comprends donc ton message, qui serait le même qu'un phallus géant qui dénoncerait cet état de fait, de fête, merci d'être notre phallus géant, James, sourire

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je ne mets rien sur la table...
      Phallus devrait avoir des yeux
      Avec eux...
      Nous pourrions croire un instant
      Que nous avons vu l'amour de près

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  33. un sexe de bronze, l'idée est belle et le texte l'habille.

    RépondreSupprimer

  34. Alors mon pseudo étant Tomoe ( emoto anagramme ) je me suis aussi intéressé à l'art érotique du Japon . Et bien , d'après des geisha d'autrefois, le bronze, c'est bien, c'est du solide mais c'est .... froid . Le top étant l'ivoire . Et même le phallus en ivoire sculpté de petites scènes érotiques, le relief pour plus de sensations .
    Un curé peut pas savoir, sauf si, mais là ça ne me regarde pas . Peut être une religieuse faussement amatrice d'antiquités ?

    Mais le phallus dans l'oreille, ou tu es innocent ou tu es compliqué .

    Lumineux , en lampe de chevet c'est joindre l'utile à l'agréable mais faut penser à débrancher avant utilisation

    Pervers , faut vivre avec son temps . Ca se cache plus , c'est dans le tiroirs de la commode ou dans l'armoire de salle de bain . j'attends d'avoir mon appart .

    En bronze et suspendu au plafond .
    -- tu connais de drôles de positions mais j'ai pas lu le Kamasutra .
    -- en plus si il est mobile et qu'il faut d'abord " se l''attraper" comme on peut , c'est bon pour l 'échauffement ?
    -- et si tu le prends sur la tête c'est démotivant , sauf pour un maso sûrement .

    Sur qu'en coquilles d'oeuf c'est fragile extrême . Et si il se casse, tu dis quoi en arrivant aux urgences ?

    Au final il est où: dans le pavillon blanc, le jardin du curé ou ta chapelle sixtine ( prétentieux )
    Dans le jardin je le verrais bien en aiguille de cadran solaire .

    C'est pas le tout, c'est où l adresse de Penetralia ?

    RépondreSupprimer
  35. Salut !

    Votre poème m'a rappelé un poème d'Emily Dickinson, une poétesse américaine (1830-1886). Le voici :

    "Mien, en vertu de la blanche élection !
    Mien par sceau royal !
    Mien par le signe dans l'écarlate prison
    Que les barreaux ne peuvent dissimuler !

    Mien, ici dans la vision et l'interdit !
    Mien, titré, confirmé
    Par la révocation du tombeau, - délirant privilège !
    Mien, et vont les ans !"


    Je suis convaincu qu'elle aussi était à "Pénétralia" lorsqu'elle écrivit ces vers. A vous d'en juger et, si vous le souhaitez, de me dire ce que vous en pensez.


    A bientôt j'espère,

    Aidôn.

    RépondreSupprimer
  36. Robert-Henri Dseptembre 15, 2023

    Bonjour Evenos,

    " Didon " ! il ne fait nul doute que les sens figuratifs peuvent autant affecter que profondément influencer !...

    Or, j'ai pour habitude de m'arrêter sur un texte lorsqu'il est digne d'impressionner. Et quand bien de surcroit celui-ci permet d'acquérir un accès intellectuel controversé, j'avoue cependant qu'il me fut cure à le lire sur fond de lyre, de songer à se recoin de mon jardin sanctuaire où Zantedeschia aethiopica m'offre le plaisir de voir ressurgir chaque année l'impressionnisme très particulier de sa spiritualité.

    Comme quoi...

    RépondreSupprimer
  37. Bonjour cher connecté et pourtant bon marché... je déconne !
    Il est rare que je commente ou réponde, j'ai peu de temps pour ça... Mais parfois il faut se faire violence et tricher avec ses heures de travaux forcés...

    Je suis ravi de lire votre commentaire sur l'impact des sens figuratifs dans l'appréciation d'un texte. Il est vrai que la puissance des mots et des métaphores peut influencer profondément notre compréhension et notre émotion. Votre référence à la contemplation de la nature, en particulier votre jardin sanctuaire avec la Zantedeschia aethiopica, est une belle illustration de la façon dont la littérature peut être liée à notre propre expérience et à notre monde intérieur.

    Le pouvoir de l'art, qu'il soit littéraire ou visuel, réside souvent dans sa capacité à éveiller des émotions et à susciter la réflexion, et votre commentaire en est un exemple concret. C'est dans ces moments de connexion entre l'art et notre propre vie que l'on découvre la richesse de l'expérience humaine.

    Merci d'avoir partagé votre pensée, qui rappelle que la littérature et la nature ont toutes deux le pouvoir de nous émerveiller et de nous élever intellectuellement et spirituellement.

    Bien à vous.

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