À l’heure perdue
Celle des songes
Celle des songes
L’étagère de papier brûle
Et de la cendre
Renaît une feuille caressante
Volubile tendre fruitée
Le verbe doux
À l'écoute
À l'heure la plus passionnée
Sa sève m’envoie
Pour m’extraire
De vieux fantasmes
Mais il n'y a ni fleur ni papillon
C'est en silence
Qu'elle apprivoise serpentant
De liane en liane
L’esprit coquin du baldaquin
La nuit s'anime
L’ombre se démêle
De ses pétales de rose
Va-t-elle m’enserrer
Par ses lèvres de vers
Masquées par ses strophes
L’aurore réveille ses longs cils
Dévoile une lumière chaude
Je n’avais pas encore
Oublié ma bien-aimée
Poésie
L’ineffable racine
Poésie
Sève qui coule
Dans les esprits immortels
De la pure poésie, Oh que j'aime
RépondreSupprimerFlipote s'envole
SupprimerC'est...Beau
RépondreSupprimerMerci Nayhenni
SupprimerNay ni peur
Eh ni mal
La poésie te gagne
Heu...Une Prophétie?
SupprimerSourire)
✫•*¨`*•.¸(¯`✫Doux et créatif domingo✫´¯)¸.•´*¨`*•✫
La prophétie est déjà là
SupprimerPlacido
derrière la monture
de tes lunettes... De vue !
Magnifique poème James
RépondreSupprimerQue de douceur, tendresse et sensibilité qui se dégagent
Merci pour ce beau partage
harmonie
Un peu ou juste de la poésie
SupprimerBeau!
RépondreSupprimermerci James
Douce soirée poète
Pas d'ombre dans la lumière
SupprimerMais elle bouge
Le soleil attend
Poussières fileuses
RépondreSupprimerIl voyait tomber dans l’espace
Des poussières d’étoiles
Qu’il appelait filantes
De ne pouvoir les retenir
Elle voyait descendre du ciel
Sur échelle de lune
La grande ourse
Il disait l’été est fini
Et le jour tombe pâle
Elle pensait
Il fait déjà nuit
Et la terre bascule
Et sa tête lourde
Basculait aussi
Sur oreiller sans somme
Et des fenêtres de Magritte
Ouvraient leurs yeux de rêve
Sur chambre extérieure
Avec espoir
DE RIEN.
Je construis dans mon garage
Supprimerà côté de mon électrobus
l'Échelle de Jacob
avec du bois d'arbre de Judée
Histoire de toucher l'étoile polaire
dans le Nord de mon orbite gauche
avant que le cimetière
m'envoie sur la lune
comme hier
sur le mur de mes lamentations
il y a des papillons terribles
Supprimerà l'esprit immortel
sur l'échelle de Jacob
et l'arbre de Judée
Tenons et mortaise
SupprimerL'assemblage
Des cépages
J'aime beaucoup
RépondreSupprimerBonne journée
Christina
Je n'en doute pas
SupprimerJ'ai adoré lire ce texte magnifique.
RépondreSupprimerMerci pour ce partage.
En toute amitiè.
Lisbon.
Merci pour ce texte précieux qui me lança dans une lecture savoureuse.
RépondreSupprimerEncore un festival de métaphores délicieuses qui font naitre un flot d'images poétiques... excellent!
RépondreSupprimerAmicalement - Patrice
James Px
RépondreSupprimermerci pour ce moment de lecture plaisant, bien bel hommage à la poésie qui nous habite tous et toutes ici.
Octavie est ravie
SupprimerUn lien invisible que l'on sent et qui nous guide vers toi...
RépondreSupprimerMARIE L. touche l'invisible
SupprimerTu as trouvé les mots, pourtant, pour décrire la merveille qu'est l'influx poétique qui prend plume et coeur en belle harmonie....
RépondreSupprimerTrès belle poésie !
Je ne pense pas que ta plume puisse un jour l'oublier ...on la sent transpiré à chacun de tes mots ...de tes textes ...
RépondreSupprimerPoésie est pour toi plus qu'une amie
J'achète l'esprit coquin du baldaquin !
RépondreSupprimerUn songe à cette heure éperdue
RépondreSupprimerOù boue de l'être se façonne
En mots d'elle au temps suspendue...
La langue au verbe se délie
Se crée dans l’œuvre et désarçonne ;
La racine aux pieds mus s’allie...
L’ineffable a trouvé séjour
Se signe en livrée voit le jour...
Il aura bien fallu sept heures :)
J'ai beaucoup aimé votre poésie
Merci
Zoé
Si l'important c'est d'aimer
SupprimerC'est aussi savoir donner
Donner quelque chose à aimer
Quelque chose comme une poésie
Tu lui rends hommage à cette bien aimée poésie...
RépondreSupprimerCette ineffable racine... Essence... Existence... Essence...
Magie des mots...
+v en coup de coeur
Merci James pour cette magnifique poésie en partage ici... et puis pour Satie... aussi :-)
Amitiés
Christine
et la Racine pousse prés de la fontaine
RépondreSupprimeroù la Bruyère se développe à grands coups
d A B C d air et de souvenirs ...
le tout en déliant les langues ...
Bonne nuit
L'anonyme prend racine
SupprimerGrand dieu non...
RépondreSupprimerce n est pas son objectif
Kiki derrière l'anneau mime ?
Supprimersi je réponds... l anonyme ne le sera plus !!!!
Supprimeret Kiki ne pourra plus mimer derrière l anneau
J'ai beaucoup aimé.
RépondreSupprimerJ'attends...juste...la musique qui va avec...
Bravo
Loïc
Racine, liane,serpentant
RépondreSupprimerIl manque le lierre.
Un attachement que dis- je
un lien indestructible énoncé poétiquement sous la forme " intouchable" du rêve
BEAU..
Jocelyne
C'est magnifique,
RépondreSupprimerAmicalement, Polymne2
a aimé l'ineffable racine
RépondreSupprimera aimé l'ineffable racine
RépondreSupprimera aimé l'ineffable racine
RépondreSupprimera aimé l'ineffable racine
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