Un lait de souvenirs
Le présent est-il affreux
Si je reste sans avenir
Dans le cambouis du ciel
Sur cette terre
Scène d’orgueil
Je construis dans mon garage
À côté de mon électrobus
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
commande aussi du champagne et des fleurs
RépondreSupprimeret des crayons de couleur
de la musique d'âme
et un truc pour mamy
Le plus anxiogène est de dire des choses sérieuses sans l'être... Pour ceux d'en face.
SupprimerLes fleurs poussent déjà sur la mousse musicale de Vivaldi remixée sur un hip hop du crayon de couleur noire...
Lunaison
RépondreSupprimerEn ce temps-là
Je vivais dans la Lune
Mère de la sérénité
Je créchais aux cratères
En troglodyte sélénite
Mon unicorne fumerollait
Je cueillais des cailloux
Des blancs des blue
Tout chaud pondus
Pour les gober
J’en remplis tant
Devins si pleine
Que du firmamant
Je déchus
Sidérolithe sidérée
J’atterris atterrée
Sur ce sol-ci
Un lune-di
Pierre de foudre
Lapidaire
Météorisque
Déphasée
Las ! je ne peux plus raluner
A nuit dans les lacs d’ombre
Je plonge à mon astre de vie
La mère lune qui m’ensombre
Dans ses marées
Je hais le jour quand pipistrelles
En mon cerveau battent de l’elle
Je marche à côté de mes ailes
Je vole à côté de mes pieds
J'avais déjà aluni sur l'astre
SupprimerUn vrai plaisir de relire ce désastre
Je vole à l'opposé de mes ailes
Je marche à l'opposé de mes pieds
Et je pars déjeuner
Sans elle
...
RépondreSupprimerHM
Henri Marteau est un violoniste virtuose et compositeur né à Reims le 31 mars 1874, et mort à Lichtenberg le 3 octobre 1934. Petit-fils du négociant, adjoint au maire de Reims, Albert Marteau !
SupprimerVous êtes de la famille ?
Merci...
J'aime beaucoup
RépondreSupprimerBonne journée
Christina
Une revenante
Supprimertoujours avec les cornes
celles du feu de l'amour
ah j aime ce poème
RépondreSupprimermi figue mi raisin!
J'aime les deux...
SupprimerSec surtout !
C'est une histoire de digestion...
Merci James
RépondreSupprimerMerci.
SupprimerC'est bien écrit. Bravo!
RépondreSupprimerL'avant dernière strophe m'a beaucoup séduite.
Amitié,Noumark
Bel écrit. Merci.
RépondreSupprimerTout à fait Josy ! Mi figue, mi raisin !
RépondreSupprimerNostalgie et questionnement. Elle, présente, partout, en filigrane. Et toi, James, qui nous ravit.
Le raisin de Marin a perdu son pompon et Mamie nue rêva...
SupprimerJe me suis laissée emporter et j'ai pris plaisir à le lire.
RépondreSupprimerBravo et merci.
Amitiès.
Marie-France.
La mort hante ce beau poème. Mais elle n'aura pas avant longtemps le dernier mot...car d'autres mots dont les premiers la tiennent à distance.
RépondreSupprimer.
Le deux admirables Symphonies de Dutilleux nous transportent dans un univers d'où on ne revient pas inchangé.
L'on monte tellement vite cette échelle
RépondreSupprimerLe temps passe à une vitesse...
Belle poésie, de belles images, un régal de lecture
Merci pour ce partage
Amitiés