Loin de la chapelle des sorcières
Les yeux écarquillés espérant la lune
C’est une perspective vivante
L'abîme se tue le flot s'agite
Pour tous ceux qui attendaient comme moi
Dans la chaleur dans le froid
Quelque chose d'inattendu
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
L'inattendu dans la céleste étendue se d pointe au dernier vers.
RépondreSupprimerMerci pour ce très beau partage.
soupirance... Derrière chaque porte
Supprimeril n'y a pas que du noir
merci
Effectivement... il n'y a pas que du noir. Aujourd'hui, je m'en rends compte...
SupprimerMerci.
Superbe ! j' adore !
RépondreSupprimerMerci
Belle soirée
Malou
Mets un casque et Mozart
RépondreSupprimerMets un casque et Mozart
Et la pluie tombera
Sur tous les oripeaux
Qui bouchent ta fenêtre
Comme une feuille verte
Aux gouttes de rosée
Je me suis allongée
A coté de Mozart
Et la pluie a roulé
De mes yeux effondrés
Et la pluie en sonate
A lavé cette boue
Qui m’enlise à jamais
Et Mozart a parlé
Pour effacer les mots
Qui sonnent dans ma tête
Des mots de mal-conscience
Des mots qui empoisonnent
La rivière affaiblie
Qui se tue à couler
Sur des pierres glissantes
Mozart dis-tu ?
Marine
16 avril 2014
la chaleur est la , il y a plus qu'a bronzer , pour l'inattendu je conserve le rosé au frais
RépondreSupprimerUne quête d'essentiel dans la sensibilité.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup
Un été tout en douceur, et en sobriété (relative).
RépondreSupprimerc'est finalement quand on attend rien qu'on arrive à être le plus surpris
RépondreSupprimerj'aime la chute, comme un poème pour tout le monde
RépondreSupprimerje crois que nous attendons tous quelque chose d’inattendu
L'inattendu ne peut qu'être accueilli en prince.
RépondreSupprimerBel été à vous aussi !
du bel ouvrage, bravo
RépondreSupprimerBonjour .
RépondreSupprimerbel hommage à la nature et à la liberté
J'aime beaucoup
Giovanni.
oli texte
RépondreSupprimerl'absence de ponctuation laisse le lecteur faire lui même ses pauses et je trouve ça pas mal du tout
merci pour ce partage et belle journée
C' est ce que je te disais, ta poésie n' est pas toujours facile mais elle est "prenante" .. captivante , j' hésite souvent à te commenter parce que ... parce qu' en fait, pour moi, ( qui tiens une galerie de peintures) elle est un peu comme un tableau abstrait , on est devant , on aime, mais le sentiment qu' on éprouve .. n' a juste pas de mots .. il est un froncement de sourcil, un sourire , une interrogation perpétuelle , il est plaisir ou chaleur .. ce que l' on sait c' est qu' on l' aime ... mais sans vraiment savoir pourquoi ! Smile
RépondreSupprimerc' est juste comme ça et c' est bien comme ça !
ne t' inquiète pas si parfois donc je me trompe dans mes commentaires et si je n' en mets pas ... ne t' inquiète pas non plus, je lis tous tes poèmes ! Smile
en revanche, dans "l'inattendu" .. je t' ai tout de suite trouvé !! Smile
Merci de m' avoir laissé un message .. à te mettre des commentaires un peu flous, j' avais un peu peur de passer pour .. l' idiote de service ( mais bon! c' est pas trop grave si parfois, je le suis en matière de poésie .. bah! j' assume !)
Passe une belle journée ...
L'inattendu ne sonne jamais, très beau texte
RépondreSupprimerL'inattendu il faut savoir les préserver.
RépondreSupprimerLever les yeux vers un ciel étoilé ne m'a jamais laissé de marbre.
RépondreSupprimerTant de pensées surgissent alors, tant de questions, la philosophie s'incarne en chacun de ces points blancs.
Le vertige de ce contraste entre ce presque infini et notre presque néant est enivrant.
Votre poème est un petit éclat de ces ressentis.