La poésie est une suspension qui éclaire le monde.
Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions.
J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie.
Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante,
Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange
et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable.
Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être.
Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure.
Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Dieu m’a appelée au parloir Dans l’ombre blanche de l’obscur Je n’ai rien dit Que l’oasis de mon visage Comme un jardin abandonné Alors il a compté Les étoiles avec ses doigts Et je fus sans-visage Je lui tendis la main Et reçus un seau de lumière Pour arroser mon jardin ouvrier Où je sème des myosotis
Pourquoi faut-il que les hommes soient si peu conscients du fait que dans quelques secondes ou dans quelques dizaines d'années ce qui est identique en regard de l'éternité ils sont tous condamnés à mort et qu'ils devraient vivre en conséquence
J'aime tout particulièrement les première et troisième strophes, la seconde me fait sourire: Cocaïne et Alcool de Prunes... En effet chaque Instant est précieux, entre la VIE et la MORT est notre Chemin, CARPE DIEM, et MERCI Marine!!! BRAVO à toi je commence à rentrer dans ton Sentiment... Et je Goûte à pleine bouche (plus gourmand que gourmet!!!)
Alice Gauguin a noté Une seule fois.
RépondreSupprimerMerci
SupprimerL'homme n est pas dieu même s il se prend pour dieu trop souvent.
RépondreSupprimerUn bel écrit.
J'évoque là malgré tout
SupprimerL’évitement du déplaisir
Parloir
RépondreSupprimerDieu m’a appelée au parloir
Dans l’ombre blanche de l’obscur
Je n’ai rien dit
Que l’oasis de mon visage
Comme un jardin abandonné
Alors il a compté
Les étoiles avec ses doigts
Et je fus sans-visage
Je lui tendis la main
Et reçus un seau de lumière
Pour arroser mon jardin ouvrier
Où je sème des myosotis
Forget-me-not.
Marine
25 février 2013
Pourquoi faut-il que les hommes
Supprimersoient si peu conscients du fait que
dans quelques secondes
ou dans quelques dizaines d'années
ce qui est identique en regard de l'éternité
ils sont tous condamnés à mort
et qu'ils devraient vivre en conséquence
quel beau texte...
J'aime tout particulièrement les première et troisième strophes, la seconde me fait sourire: Cocaïne et Alcool de Prunes... En effet chaque Instant est précieux, entre la VIE et la MORT est notre Chemin, CARPE DIEM, et MERCI Marine!!! BRAVO à toi je commence à rentrer dans ton Sentiment... Et je Goûte à pleine bouche (plus gourmand que gourmet!!!)
RépondreSupprimerTout est bon dans la poésie... Si l'on sait lire les pensées
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