Le jour se lève
Derrière les feuilles du grand hêtre
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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RépondreSupprimer5 têtes et les étoiles c'est pour quand ?
Supprimercomment ...??
Supprimervous ne les avez pas vues ??
Mais elles sont dans les têtes voyons !!!!
Bonne soirée
☆☆☆☆☆
Excellent !
RépondreSupprimerdes bandits entrent dans un couvent et violent les nonnettes
RépondreSupprimeralors la vieille mère supérieure s'écrie : et moi alors ?
Une vie de piété et d'austérité dans le dévouement absolu.
RépondreSupprimerUn plaisir à lire
un plaisir de lecture
RépondreSupprimerUn très beau poème, aux accents aérien et bucoliques de la sérénité !
RépondreSupprimerOui parfois une simple idée et hop on pond un œuf... Un peu comme Fabergé !
SupprimerAlice Gauguin a noté Moniale.
RépondreSupprimerWow le ton le style et l'histoire, c'est énooorme, merci !
RépondreSupprimerC'est de l'humour tiré par les cheveux mais ça décoiffe
SupprimerAmusante histoire : une petite soeur à la vocation fragile ou un regard ironique : peut-être les deux ?
RépondreSupprimerSuper !
RépondreSupprimerRecueillement et rédaction pour cette malheureuse poule s'imposent
En bouillie, pauvre poule, pas de quoi la mettre au pot.
RépondreSupprimerUne bétaillère nommée " Ravaillac " ou plutôt un coq
Triste histoire quand même, toujours un coq infernal dans les pattes. rire et pleurer à la fois
Bien amicalement ODE 31 - 17