La poésie est une suspension qui éclaire le monde.
Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions.
J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie.
Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante,
Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange
et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable.
Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être.
Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure.
Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Les bilans de masse cumulés et calculés depuis 1907 sont reportés sur la figure 4. Ils
indiquent une forte décrue depuis le milieu des années 80 avec une accélération de cette
décrue depuis 2003. Les années 2013 et 2014 marquent un palier après une perte de volume
moyenne très marquée entre 2003 et 2012 (moyenne de -1.2 m/an).
Depuis 1907, le glacier a
perdu une lame d’eau de 26.3 m, soit 29.2 m de glace en moyenne sur toute sa surface
Depuis 1987, il a perdu 18.6 m d’eau en moyenne sur toute la surface.
Conclusions
Le bilan de masse de l’année hydrologique 2013/2014 est peu négatif, égal à -0.27 m d’eau,
soit -0.30 m de glace. C’est le bilan le moins déficitaire des 13 dernières années. 2013 et 2014
sont donc deux années de pause dans une série extrêmement déficitaires. Par exemple, le bilan
de 2009 a frôlé -2.0 m d’eau. La variabilité interannuelle des bilans est importante.
Même si globalement, les bilans de masse des glaciers alpins sont très sensibles aux
températures estivales, deux années de bilans similaires ne sont pas forcément liées aux
mêmes causes. Ainsi, en 2013, le bilan annuel peu négatif s’expliquait par une saison
d’accumulation hivernale qui avait été intense et longue. Le stock de neige avait donc été long
à fondre et le bilan annuel peu négatif (-0.35 m d’eau) malgré un été relativement chaud. En
2014 en revanche, le stock de neige hivernal n’a pas été exceptionnel (il a même été inférieur
à la moyenne des 19 dernières années en zone d’accumulation) mais l’été qui lui a fait suite a
été assez médiocre, avec peu d’ensoleillement. La fonte estivale a donc été réduite et le bilan
annuel peu négatif (-0.27 m d’eau).
Néanmoins, on peut noter, d’après les reconstitutions et restitutions photogrammétriques du
20ème siècle, que les bilans de masse sont fortement négatifs depuis le milieu des années 1980
avec une accélération sensible de cette perte depuis 2003.
Les observations du glacier de Gébroulaz sont essentielles dans le cadre des recherches sur les
relations glaciers-climat puisque ce glacier fait partie d’un Service d’Observation national
(GLACIOCLIM), reconnu par l’Institut National des Sciences de l’Univers (du CNRS) et le
Ministère de la Recherche (http://www-lgge.obs.ujf-grenoble.fr/ServiceObs/index.htm) et
constitue l’une des plus longues séries d’observations dans les Alpes.
A Saint Martin d’Hères, LGGE, le 27 Novembre 2014
Delphine SIX et Christian VINCEN.
Je déchire le tableau noir car la poésie est une mantille de dentelle noire ou de soie noire qu'elle cache tout et qu'elle exige un effort pour en dévoiler le sujet ou et le message
Magnifique et profond... Il n'y pas de mots justes et précis pour d'écrire vos poèmes. Je viens les lire de temps à autre et cela est vraiment très apaisant. Merci de nous faire partager toutes vos émotions.
hi wen... Je crois que vous n'avez pas saisi le texte enfin m'a façon d'écrire le glacier est le sujet avant tout et une analogie supposée d'une femme malade elle aussi...
Non ce n'est pas curieux car la déchéance est similaire si l'on compare le cancer de l'un et dû au réchauffement la fonte de l'autre... Je ne rentrerai pas dans le détail. Les deux finiront pas maigrir et partir vers la fange qui nous attend tous... Pour de multiples raisons et de malchance. Cependant moi je ne parle que du glacier c'est mon sujet ma préoccupation dans ce texte bien que j'aime laisser le choix et vous l'avez eu celui de voir une femme avant tout. Cette femme est une image subliminale qui vient troubler la lecture et que j'essaie régulièrement de manipuler...
Bonjour,
RépondreSupprimerVotre poème est magnifique tant par l'écriture superbement aboutie que par la sensibilité exacerbée qui s’y déploie.
Tu as quitté le navire
Supprimermais la terre est ronde
et les vagues des océans
se rejoignent toutes
un jour ou l'autre
Merci à plus
tu déchires le tableau noir et vois la beauté que tu retransmets dans tous tes vers.
RépondreSupprimerTu peins la beauté présente.
Un plaisir à lire.
SupprimerJe déchire le tableau noir
car la poésie est une mantille
de dentelle noire
ou de soie noire
qu'elle cache tout
et qu'elle exige un effort
pour en dévoiler le sujet
ou et le message
Alice Gauguin Bis a noté Que reste-t-il.
RépondreSupprimermerci
SupprimerBravo au coeur qui a su contenir ses Bat_ment !
RépondreSupprimerc'est avec beaucoup de plaisir que j'ai lu votre com !
Supprimeristina a noté Que reste-t-il.
RépondreSupprimermerci
Supprimerles souvenirs ne devraient pas mourir, du moins pas avant nous
RépondreSupprimerMagnifique et profond... Il n'y pas de mots justes et précis pour d'écrire vos poèmes. Je viens les lire de temps à autre et cela est vraiment très apaisant. Merci de nous faire partager toutes vos émotions.
RépondreSupprimerMerci
Supprimer« J'aime beaucoup ce que vous écrivez, surtout n'abandonnez pas ;0) »
RépondreSupprimerMerci
Supprimerje ne suis pas sur que l'analogie avec un glacier glissant son sac plein de terre soit des plus heureuses.
RépondreSupprimerhi wen... Je crois que vous n'avez pas saisi le texte enfin m'a façon d'écrire
Supprimerle glacier est le sujet avant tout et une analogie supposée d'une femme malade elle aussi...
ok.. c curieux tout de meme de comparer une femme malade à un glacier
SupprimerNon ce n'est pas curieux car la déchéance est similaire si l'on compare le cancer de l'un et dû au réchauffement la fonte de l'autre... Je ne rentrerai pas dans le détail.
SupprimerLes deux finiront pas maigrir et partir vers la fange qui nous attend tous... Pour de multiples raisons et de malchance.
Cependant moi je ne parle que du glacier c'est mon sujet ma préoccupation dans ce texte bien que j'aime laisser le choix et vous l'avez eu celui de voir une femme avant tout.
Cette femme est une image subliminale qui vient troubler la lecture et que j'essaie régulièrement de manipuler...