L'oiseau avait repris ce qu’il aimait
Et profité de ses années d'insouciances
Avant qu'il ne vive celles des extrêmes
Au pied de la montagne
Où en maître
L'humus jouait à la courte paille
Et se nourrissait
De toutes ses batailles contagieuses
Pour empoisonner dès l'aube
Les dernières fleurs
De là naîtra
Le crime de l'indifférence
Soleil couchant
Quelques survivantes cherchèrent l'antidote
Pour l’égalité des chances
Où le pot accueillerait une terre
Anthropologique et vertueuse
L'Homme a ce désir immense de fleurs
Dans la main de l’autre
Douce et entraînante
Égalité cultivée aujourd'hui
Par tant d’intellectuel manchot
Moi qui ne suis qu’un rêveur
Les orteils dans la glaise
Le crâne dans le cyclone
Je ne suis pas encore assez fané
Pour attendre sagement les pluies acides
Écouter la cacophonie d'une vieille cloche
Suspendue à son fouet
De confettis bleus marines
Si nous restons attentifs
Du miroir de l'apesanteur
Réfléchira la raison d'aimer
Sans bleus à l'âme
Surtout être attentif et ne pas se réjouir de miroirs aux alouettes trompeurs et hypocrites qui masquent leur laideur et leurs actes extrêmes sous des paroles enjôleuses...
RépondreSupprimerBonne fête de fin d'année à toi aussi
Rester attentif pour ne pas se laisser piéger par les illusions si cruelles et douloureuses.
RépondreSupprimerPasse de bonnes fêtes de fin d'année toi aussi.