Du ministère des trésors
Et encore
À cap carnaval
En plein cœur de la place
Des soutiens-gorges
Sous un soleil sang et or
Prose mélancolie
Chercherais-tu un doux nuage
Une fusée démystifiée
Histoire que ses bras d'honneurs
Repoussent les médiocres
Ceux qui désormais occupent le trône
Tandis que le jardin de curé
À la pelouse pédophile
Berce les feuilles mortes
Le coquelicot et la rose
Cèdent à la violence
En face de la barricade mystérieuse
Une poule d'eau se soulage
Une poubelle en feu
Aucun SDF en garde à vue
Se sont volatilisés
Au-delà de la porte de la muette
En attendant un tweet de Godot
Sur les gais du vieux port
En pleine année bissextile
Les étoiles changeront de textiles
Comme la plus part des marchands
De linges sales et de corbillards
Tout va bien madame la banquise
Donald est sur la planche à billet
Spectacle à la fois
Dégradant et conservateur
Entrée gratuite uniquement
Pour les ours mal léché
La vie est belle
Car voilà le dernier projectile Ethernet
D'un papier toilette
Quelle odeur à la lune
En cent quarante caractères
Au milieu de 400 fromages
Ne comptez pas
La fondue savoyarde
Est en grève de la fin
Et ne mange plus
De poulet aux hormones
je suis sans voix sans langue
RépondreSupprimercar lire ainsi le fond de ma pensée
achève de me désocialiser
j'ai tout vu de toi
ou presque
le clair le sombre
le rire le sous-rire
l'ironie
l'intelligence
la bonté la beauté
tout
et tu restes assis là comme un émerveillé
sous tes images foudroyantes
On se déshabille parfois de trop
SupprimerWahoo quelle lucidité et quel desabusement devant ce monde devenu enfer... J'adore
RépondreSupprimerBisous
J'adore spécialement le côté fou de ce poème !
RépondreSupprimerLa folie ne cache pas sa propre folie elle l'a met en scène... Je récolte ici juste quelques bribes en conservant la sauce dans laquelle nous trempons tous !
SupprimerLa lune doit être pleine, elle a un oeil sur tout.
RépondreSupprimerDans ce monde en cahot c’est un relent d’égout
Elle ne peut que vomir, ici tout tout devient fou… (triste)
Un tableau sans complaisance et si réaliste.
Bravo Poète !!!
Papaye qui adhère (sourire)
Welcome To The Pleasuredome
SupprimerPierrot évite la lune, depuis qu'Armstrong a vomi dessus.
RépondreSupprimerConseil d'un poète qui a le mal de terre.
PierreJ.
J’ai pourtant le casque lourd en fête,
RépondreSupprimermais ici ma tête se retourne bête
sous la pointe de mon bob Ricard …
J’ai les boules écartées sur le jeu
je ramasse les points perdus hier
qui pourtant ne me serviront demain
Mais c’est le jeu …
Quand on a les boules !
If you got the balls looking for the jack
SupprimerEn un mot.....fabuleux
RépondreSupprimerGracias para vuestros precisión sobre el césped … en otro lugar
RépondreSupprimerLo haga, me dio de beber a su césped más baba sobre el contacto más intenso CONVIERTE
SupprimerIl est fort ce poème à l'éclair de ses jeux de mots fabuleux, merci
RépondreSupprimerLe tweet de Godot.....pour 2 mains?
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