Les étourneaux sont de retour
Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Belle invitation...
RépondreSupprimerJ'aime cette créativité et cette audace...
Beau...
J'aime
RépondreSupprimertrès plaisante lecture
RépondreSupprimerBravo et merci James Px pour ce poème vraiment bien écrit ... !
RépondreSupprimerAmitiés-Gilda
Mon dieu que tes mots et que ton amour est beau.
RépondreSupprimerTes mots sont si légers.
J adore.
Bisous James
J'aime bien les périphrases et leurs expectatives.
RépondreSupprimerTrès joli, merci.
Amitiés, Matthale
a attribué +1 : Vraiment
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RépondreSupprimerReally
RépondreSupprimerIl I needed you
Would you come to me
Il you needed me
I would come to you
J’attends l’échelle de Jacob
Celle de Macassar
Se déplie volontiers
Au milieu des quasars
Je te vois tout là-haut
Sur la fourche du ciel
Et j’ai soudain la soif
De t’approcher tout près
Je n’ai pas vu les étourneaux
J’ai entendu tes ritournelles
A travers tes sombrages
Passant dans les nuages
Et j’ai suivi ton ciel
Je suis là sans ombrelle
Les bras ouverts.
Marinette
25 ,octobre 2018
22h
Vraiment...vraiment...Beau...Un écrit qui nous mène au porte du rêve. Merci.
RépondreSupprimerJ'aime
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RépondreSupprimera noté Vraiment.
RépondreSupprimerBonjour james quelle merveille ce texte de la tendresse,l'attente si importante,le plaisir et cette musique ...
RépondreSupprimerMerci ,que du plaisir ...
merci
Supprimer« Magnifique. Vous devrez plus souvent ouvrir votre fenêtre. »
RépondreSupprimera attribué +1 : Vraiment
RépondreSupprimerDes mots et des images qui nous font gravir les échelons vers de doux rêves !
RépondreSupprimerAttrapons vite l'échelle vers les cimes
RépondreSupprimerEnjouements orteils se suivent.
J'ai changé l'heure mais l'échelle de ton grenier était cassé
RépondreSupprimerJ'ai pris ta petite
Ta grande est là
Pardon, plus de force
Je trouve que ton poème porte beaucoup d’idees intéressante. Mais je ne fais pas bien lien entre les deux parties. La première est très terre à terre si je puis dire, la seconde parle beaucoup de sensualité. Dois-je y voir une transformation de la personne ? Cela mériterait alors d’être plus explicité non ?
SupprimerJ’ai eu du mal dans la lecture de la jonction de ces deux parties :
Mon amour
Est où l’aventure s’elevera
J’ai le sentiment que la coupure dans les vers est mal positionnée et cela rend difficile la lecture.
Nul doute que tu as là une très belle matière.
Au plaisir de te relire.
J'ai aimé la première strophe, le fait qu'elle intime à une ascension ultime et tempétueuse, je trouve qu'elle est insufflée par une belle énergie, un amour sauvage, portée dans son rythme et son idée par ce "sois rock", sobre et farouche, brûlant comme une effraction à la discipline et à la rationalité.
RépondreSupprimerLa suite continue dans cette idée d'un amour "élevé" au-dessus du terrestre, de l'ennui, du commun, de l'ordre. "L'aventure" me gêne car il me rappelle à une image plus académique, presque sage.
La suite m'a semblé moins puissante et davantage attendue, surtout la troisième strophe. La "peau de pluie" est plutôt jolie mais ne m'a pas transcendé. J'aime plutôt en revanche la volonté exprimée du narrateur de raconter plutôt que de montrer cette histoire. Enfin, les deux derniers vers ne m'ont rien évoqué...
Mais outre ce décorticage, j'ai trouvé dans l'ensemble que c'était un beau poème, sensible et résolu.
a noté Vraiment.
RépondreSupprimer« On a vraiment envie de prendre l'échelle du grenier, celle en bois de rose, et embrasser sa peau ... »
RépondreSupprimerje vais regarder les étourneaux différemment...
RépondreSupprimerUne très belle inspiration
Belle soirée.
Merci... bon je me suis trompé il est dans Dramatique...
SupprimerÀ plus
superbe, vraiment.
RépondreSupprimerOui...
SupprimerQuelques péryphrases et leurs expectatives...
Merci
À plus
salut James, j'aime beaucoup cette phrase l'amour est où l'imprudence s'élève, c'est joliment venu, et elle me fait beaucoup réfléchir, et je n'en dirais pas plus sur ce sujet pour ne pas m'étaler, je te la cite juste parce que je trouve que la fin ne lui fait pas honneur, quand tu demandes à ton amour justement de la prudence, cela me paraît contradictoire ? en plus tu lui dis j''embrasserais ta peau de pluie mais tu lui demandes de sortir un parapluie, deuxième paradoxe tiens, sourires
RépondreSupprimerAh mince la fin des haricots... la prudence oui celle de rester à l'abri le temps d'un vol d'etourneaux car sous un ciel d'etourneaux c'est aussi recevoir une pluie de confettis merdeux... Autant s'en sortir en ouvrant son parapluie...
SupprimerL'imprudence est au futur et le parapluie est au présent... L'imprudence prendra action après avoir rangé le parapluie... enfin si le ciel le veut.
Merci pour ton analyse
À plus
Rires
SupprimerÀ plus
En ligne ou hors ligne
Supprimerle rire dénoue les vieilles rides
du coup on y voit plus clair
Petite poésie née en regardant par la fenêtre un nuage d'étourneaux sous la pluie
RépondreSupprimerc'étaient des étourneaux lumineux!!!!
bravo JAMES
amitiés
RP
Ils s'étaient reposés sur une ligne haute tension... D'où l'effet lumineux...
Supprimerà plus
Signé la luciole
Beau, saluez mon copain Pierrot, dis lui que ce soir, son pote sim est couché après son gros rhume, merci d'avance.
RépondreSupprimerPierrot le fou avec Anna Karina j'y cours entre deux trous de balles
SupprimerBelle géographie on en reste saisi
RépondreSupprimerJolie histoire aussi contée en poésie
de belles pensées que je remonte à la lumière
RépondreSupprimerVraiment beau, si c'est vrai...
RépondreSupprimerMerci Evenos de ce partage qui nous laisse imaginer ce nuage d'étourneaux
Belle journée
Amitiés
Isabelle
Les années des suivent
Supprimerl'homme change
les étourneaux aussi
rien de plus
vraiment
Tu es vraiment unique !
RépondreSupprimerMême loin de la mer, dans un coin de paradis,
Avec le danger des mouettes largueuses de confettis,
On prend toujours des risques en sortant sans parapluie !!
C'est valable aussi avec un inconnu dans son lit...
Cette digression mise à part, j'ai adoré ta poésie issue d'un nuage passager.
Ton écrit monte aux nues, ne reste pas immobile, et tourne haut...
Bon après midi
VRAIMENT ! il fallait cette musique pour accompagner ce poème .L'échelle en bois de rose ,une passion
RépondreSupprimerpour vous le bois de rose… Vous auriez opté pour escabeau ,(Catastrophe ) .
Rejoindre la lune est chose facile ,Tristesse !que reste t'il pour rêver ? Mais si bien sûr vos mots
pour parler Amour ,délicieux ,inhabituel tout est là ,Et le rêve peut repartir . MERCI JAMES !
Merci Edith
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