Attiré par son parfum
Contemplons par la fenêtre
La ferveur du couchant
Sur la mer de nuage
Qui m'invite à peindre
L'aveu du crépuscule
Sur le sel de sa peau
La flamme brûle sous tant d’éclats
Accordé à la flanelle de l'édredon
Jusqu'à l'infini de sa clarté
Sur la paume de mes mains
Pour qu'elles n'oublient pas
De caresser ses faiblesses
Grands ouverts
La nuit succombe
Au clair de la lune
Je vois l'ombre de sa chevelure
L'effluve glisser
Sous le pont de l'ivresse
Se noyer à l'adresse
De mon feu follet
Le ciel se voûte à l'insaisissable
La peau gorgée de baisers
S'essouffle sans retenue
Nos veines se colorent
Les astres décrochent
Devant nos lèvres
Quelques larmes
Nous avons gagné ce silence
Sous hautes fréquences
Je suis là
Ensorcelé par son parfum
de belles envolées de sensations
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SupprimerVos yeux troubles et les sens fument...
Bien bel écrit qui vous mène par le nez !
RépondreSupprimereffluves engagez vous dans la narine
guidez les sentiments vers les rives câlines.
Bravo.
Je vois que tu t'es réchauffé les mains LOL, ton poème est très BEAU, un plaisir de lire chez toi, j'aime ton style.
RépondreSupprimerMes passages préférés sont :
Contemplons par la fenêtre
La ferveur du couchant
Sur la mer de nuage
Qui m'invite à peindre
L'aveu du crépuscule
Sur le sel de sa peau
La flamme brûle sous tant d’éclats
Je conserve un morceau de soleil
Jusqu'à l'infini de sa clarté
Sous le miel de nos regards
MERCI pour ce partage
Les mains et l'esprit...
Supprimermerci.
"gagner ce silence" et "peindre l'aveu" sans bleu ni travail.
RépondreSupprimerToutes légèretés dehors de crépuscules en aurores
Toiles portails ouverts côté cour, côté jardin
En attendant le côté ciel...
SupprimerEn double arc sur l'horizon...
SupprimerCette harpe aussi ensorcelante qu'un couchant sur sa mer
RépondreSupprimerde nuage, Accompagne un poème qui explose et prend
nos corps ,nos sens ,fait vibrer ,attise un désir fou .
Donne le besoin impérieux, d'un inconnu qui orchestrera
ce moment qui conduit à l'extase .
Beau réveil poétique ! OH! JAMES SUPERBE .
Alors la bravo.
RépondreSupprimerJ'ai vraiment beaucoup aimé
Merci pour ce partage si bien écrit.
Gaby
Il faut poursuivre la voie
SupprimerÉcrire avec ou sans voix
Le silence n'est pas un ange
Ni même un démon
Un juste milieu
À l'équilibre précaire
Nécessaire
Pour que les fleurs s'évanouissent
Loin des coulissent
Mortelles et cruelles
...
L'amour
Raison d'être
Raison de vivre
a attribué +1 : Parfum couchant
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RépondreSupprimerTrès beau. Parfum enivrant.
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RépondreSupprimerLes effluves divines ont un effet excitant qui vous gagne crescendo, vous envahissent agréablement jusqu'à l'explosion du volcan.
RépondreSupprimerJ'adore !! Merci
"Le ciel se voûte à l'insaisissable
La peau gorgée de baisers
S'essouffle sans retenue
Lentement
Nos veines se colorent
Les astres décrochent
Des cris se libèrent
Descendent à terre
Devant nos lèvres
Tourbillonnantes
Encore un arpège
Jusqu'à l'explosion
Quelques larmes
Nous avons gagné ce silence
Sans aucuns bleus
Sous hautes fréquences
Je suis là
Ensorcelé par son parfum"
Magnifique !
a attribué +1 : Parfum couchant
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimeroui et non... Selon le temps qui passe.
Supprimera noté Parfum couchant.
RépondreSupprimer« Les parfums de sa vie. »
RépondreSupprimerpour ne pas perdre le nord
Supprimer« Magnifique osmose »
RépondreSupprimerdeux en un
SupprimerCe parfum me rappellent des moments uniques de vie vécus de mon côté et c'est une joie infinie , merci!
RépondreSupprimerJe reviens ! Joli soir Ami Poète
RépondreSupprimerToujours aussi brillantes tes " compositions" et te lire est très agréable.
J'envie ton monde imaginaire, sais-tu ?
sincèrement
Rose ***
a attribué +1 : Parfum couchant
RépondreSupprimerLa nature et l'amour dans un unisson parfait et enivrant.
RépondreSupprimerEvocations puissantes.
Ecriture inventive.
Ivresse solitaire.
RépondreSupprimerLa harpe est magique et le poème plein de senteurs ! Bravo James ...
RépondreSupprimerolfaction... merci...
Supprimera attribué +1 : Parfum couchant
RépondreSupprimerChapeau, quel beau poème
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