Je dois préserver le silence
Enlever mes chaussures
Laisser l'ineffable s'enfuir
Abandonner mes peines à terre
Pour franchir l'éther
D'un pas silencieux
Se murmure un fluide volatil
Sur un mouvement de balançoire
Je parviens au tableau noir
En pleine nuit une part d'elle
Tourne les pages du varia
Ma lumière lui éclaire les sens
Jusqu'à ses amours disparus
Avant qu'elle me relâche
Une naïveté géniale
Enveloppe ses poussières animées
Et encore plus légère
S'envole les rejoindre
J'aimerais la retenir par la taille
Et m'écorcher les lèvres
À l'épine dorsale de ses reins
Sans transcendance
La beauté se meurt
La souffrance parfois est telle
Qu'on s'oblige de l'achever
Sans le moindre compromis
Personne ne la reverra plus
Déchue pourtant elle sera encore
Au centre du monde qui m'appartient
Sous la coupole du lustre bleu ciel
Le temps s'enchaîne à ma chair
La nef rose m'ensorcelle
Une prière a concevoir
Les cloches sonnent minuit
Je viens de m'endormir
Sacré contre la pierre bénite
J'ai interprété son dernier rêve
Me poursuivra-t-il encore
Jusqu'à l'aurore
Tu es vraiment génial
RépondreSupprimerQuand le poète James s'adresse à la libellule
RépondreSupprimerIl parle de sa muse à son âme ou au deux à la fois
Comme dit Marinette ; c'est génial !
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerC'est quoi cette histoire de coeurs rouges qui s'agitent...
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
SupprimerIl faut noter que Google+ va disparaître fin mars donc ceux et celles qui me suivent devront s'abonner à Blogger
Supprimerune belle histoire d'amour, d'amitié, je ne sais pas si je franchirai cet océan, qui va de l'ami à l'amant.
RépondreSupprimersi l'homme est un amoureux en puissance alors l'amoureux est un homme en errance...
SupprimerQue cette libellule continue de vous inspirez...Pour le plus grand bonheur de nos mirettes...Merci pour ce beau poème
RépondreSupprimerLa libellule de l'ombre ne perd pas la lumière à la pointe de sa mire...êtes vous toujours là...
SupprimerFlânerie noctambule
RépondreSupprimerD'une frêle libellule
Qui joue la funambule
Puis coince un peu la bulle...
J'ai suivi avec plaisir tes douces élucubrations jusqu'à l'aurore
Suivre sans se perdre... Là est la peine qui cherche sa terre
Supprimer« Joli! »
RépondreSupprimerOui... Aussi
Supprimer« J'aimerais la retenir par la taille et m'écorcher les lèvres A l'épine dorsale de ses ... »
RépondreSupprimerUn peu de pommade...
Supprimer« Vivant vibrant tableau... »
RépondreSupprimerhors cadre ouvert à l'autre
Supprimer« Délicieux ! »
RépondreSupprimerNul besoin d'avoir faim
Supprimerflodeau a noté Jusqu'à l'aurore.
RépondreSupprimerQuand l'aube s'habille de rose ...
RépondreSupprimerJ'sais pas trop d'où il v'nait
J'crois bien du Havana
J'savais qu'son déhanché
Rendait folle les nanas.
M'a dit tu danses chérie
En me tendant la main,
Bien sûr moi j'ai dis oui
Même si j'savais pas bien ...
Dans un collé serré
Il m'a fait l'impression
D'voler comme une fée
Mais sans destination .
Ça semblait irréel
Et je m'sentais pousser
De magnifiques ailes
Décollant du plancher .
Après deux trois voltiges
Mes g'noux avaient du mal
À suivre son vertige
Il tournait mon bocal
Et le roi du dancing
Me voyant dans c't'etat
M'a dit whats happening?
Tu danses ou tu danses pas ?
À vrai dire moi j'adore
Mais vraiment la salsa
Mais alors juste au bord
De la piste , oui mais là,
Tout le monde vous regarde
Et je suis très timide
J'pensais qu'c'était moins hard
J'pensais qu'c'était moins speed.
Mais tu es magnifaike
Je trouve que tu suis bien
Entraîne toi fort au fac
Ton cardio c'est pas rien
Car si tu veux danser
Jusqu'au bout de la nuit
Tu devras transpirer
Sur du mambo , tu suis ?