Le bloc d'ambiance m'indique
Ne pas sortir
Le feu est sous le lait
Hydro alcoolique entre les mains
Titillons alors en land lover
Le saut du papillon
J’appelle ici amour solitaire
Une pirouette réciproque
Ma résonance du vécu
Et celles qui m'attendent
Je les murmure
Cuisine
Sel poivre et moutarde
De la mâche
Des vers du revers des dévers
Du vinaigre balsamique
De l'huile de tournesol ou d'olive
Et le temps mort
Nous sauvera la vie
L'amour c'est du plaisir
Au confinement absurde
D'une attente sans porte de secours
L'air vibre autour de nous
Alors que nous sommes séparés
Peu importe le sens du vent
Le bloc d'ambiance m'indique
Ne pas mourir
« un poéme confiné dans l'odeur du lait débordant... ceci me réveille les papilles. Bravo »
RépondreSupprimerOui je chauffe le manche pour qu'il ne refroidisse pas... reste le temps ce temps qu'on oublie sans l'oublier... merci
SupprimerMerci james
RépondreSupprimermarinette... toujours là ! Tu n'as pas été exfolié par un Terminator ancienne génération ceux dont la peau ne se régénère pas lorsqu'ils se prennent une cartouche en pleine gueule lol JE TE SOUHAITE UNE BONNE RÉSISTANCE... UNE NOUVELLE ATTAQUE EST PROGRAMMÉE... LE COVID-19...
SupprimerMerci James je suis programmée pour mourir alors autant mou rire
SupprimerMarinette... L'homme aux papillons bleus
Supprimerte dit ailleurs
le jardin est fleur
la terre est nourriture
le ver est tendre
L'amour éternel
la mort douce
Et le feu sous le beau
À bientôt
Youtube
RépondreSupprimerLes anges sont de partout
MARIE L.
SupprimerAh ! Tu lis regardes et écoutes, le trois en un pour plonger et ne pas revenir indemne...
merci.
Comme tu dis aussi,
RépondreSupprimerLe feu est sous le beau.
J'ai adoré les images qui s'entrecroisent avec cette necessité à faire vivre l'amour.
Merci pour ton poème pour lequel je ressens une determination comme pour dire : tu vois les choses sont belles dorénavant, même si quelques nuages les voilent, elles demeurent.
Oui le feu est de partout et la rizière hurle... Merci
SupprimerVivre, vivre, vivre et encore vivre dans un subtil entrelacs de mots avec leurs images.
RépondreSupprimerOui vivre pour ne pas mourir bien que la vie soit la seule maladie à laquelle nous sommes certain d'y succomber. Merci
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