Se déployant dans un ballet aérien,
Sous les murmures d'une brise presque oubliée.
Ce n'est pas le souffle du mistral
Qui emporte l'âme de ma douce, mon idéal.
Vers des cieux lointains, en vol suspendu,
Son cœur demeure,
En moi solidement ancré, révéré.
Elle a saisi l'essence de ma vie,
Fragile, pourtant endurcie,
À travers chaque période, chaque illusion,
Elle est la quintessence de ma passion.
Grâce à elle, je transcende mes faiblesses,
En elle, je découvre ma forteresse.
Plus fort que moi, je deviens autre,
Puisant ma force dans ce lien précieux.
Un aveu de force, de nature aussi puissante qu'un murmure de vent. Merci pour cet amour de cristal.
RépondreSupprimerJ'adore votre poésie et les pavots bleus de l'Himalaya
RépondreSupprimerEt si je ne l'écrivais pas comment pourriez vous le savoir
je vous - Tendre Automne, Poète jamais oublié
Amicalement
Paule