Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Tous mes poèmes
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2012
(133)
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septembre
(19)
- Anémone
- Edelweiss
- Colline
- La symphonie d'une chair
- Comme si c'était nécessaire
- L'enfant divin
- Ronde à violette
- La valse d'une queue de poisson des sourds-doués
- Voici venir la noce de septembre
- Un ver doux sinon rien
- Quand les porcs auront des plumes
- Peau aime de septembre
- Mélancolie ou le septième jour d'une pensée
- Mes derniers vers
- Le poète est un herméneute
- Au revoir tristesse
- Le cadavre d’un rire exquis
- Harmonica mon amour
- De l'infiniment petit à l'infiniment grand
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septembre
(19)
vendredi
Colline
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Je laisse septembre pour novembre Même si l'horreur s'accumule Une guirlande électroluminescente Bleue blanc rouge souligne ...
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Au cœur d’un ciel de brumes Mon lit dérive Figé dans la nuit Sous l’étreinte d’une chevelure d’argent Je me perds Silencieux Dans un sommei...
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Continuerais-je à jongler avec le vide Pour vous envoyer des poèmes d'amour Proviendraient-ils d'un désert avide Moi qui ne su...
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Le jour éclate Et trouble la terre qui dormait Le fou s'est réveillé pour tuer La corne meurt de faim Les grands sombrent dans les d...
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Quand vous viendrez à Penetralia Dans le trouble brûlant de l’été Vous ne manquerez pas Ce sublime phallus de bronze Au cr...
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Ses mots cyanosés mordus dans la sève Embaument le parfum primitif de ses feuilles Et le brouillard glacé de ses rêves Saignent les raci...
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Ma parenthèse bleue sait, Sait déjà La légèreté de mes souvenirs, Flottant comme des plumes au vent, L’écho doux de ce qui s’annonce. Je con...
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Dans l’alcôve Ma seule liberté Est ma liberté d’imagination Quand je peins Je ne veux rien dire Je veux peindre C'est tout Quan...
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C'est mon bouton-d’or Et moi son conquistador Perchée sur son mirador Elle attend le message du condor C'est ma cantatr...
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Dans l'encre épaisse et visqueuse des ténèbres, Des dialogues de fer, Des voix sibilent, Morsures fuligineuses, Le firmament en courr...

Jolie cette exhibition érotico-sensuelle.
RépondreSupprimerVoir exposition...
SupprimerJ'aimerais bien être les pieds du tabouret
RépondreSupprimerS'il a le Label Corse aime les pieds de porc !
SupprimerCette fois je n'ai rien à dire d'autre que c'est un très beau poème, de beaux mots s'enlaçant à merveille pour nous offrir un paysage amoureusement poétique.
RépondreSupprimerVoici Rodolfo le poète Alias Dantalio le ténor de la bohème...
RépondreSupprimerlégère sensuelle et pétillante la colline
RépondreSupprimernous reste plus qu'à aller siffler la haut...sur cette colline
amitié
Loaloa alias rococo si freddy oups il me fait peur avec ses griffes de la nuit !
SupprimerTableau intimiste aux touches délicieuses.
RépondreSupprimerEcrire des textes érotiques pour moi c'est comme monter l'escalier... Et s'enfuir par la fenêtre...
SupprimerOh oui...j'aime beaucoup cette forme d'intimité dévoilée..
RépondreSupprimerLotus
Je ne suis pas là... Elle est seule, mais le miroir n'a pas de fond tain serait-ce un amalgame
SupprimerIl suffit de modifier l'image/avatar qui accompagne le poème pour changer d'atmosphere...
RépondreSupprimerLà tu es le roi des doubles sens
bravo !
gala