Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Les Anges de la rue-alité
À bord de son propre nuage
Dans l’espérance et le combat
Sans maîtres ni esclaves
Chacun de nous
N'est rien de plus qu'humain
Rien de plus qu'un essai
Nés comme un étrange concert
Le cœur dans les tempes
Le cerveau sur les feuilles
Les Anges se sont éparpillés
Par-delà le pont d'étoiles
Le mille-pattes contemple
La falaise verticale
Marche vers l'inconnu
L'aplomb lui est familier
Et je vois sur mon écran
Une salade qui regarde sa feuille
Accro du bistouri et du bikini
Une closerie d'enfants sacrifiés
Les Anges de la rue-alité
Cet enclos suspendu d'automates
Nourrit l'hémicycle des charognards
Cercle vicieux de V.I.P cupides
Appauvrit la pensée humaine
Tous ces cheveux d'Anges fauves
Aux pieds de chiffons
Aux dents de lait
Enflamment quotidiennement
Les abattoirs sociaux
Places fortes d'introvertis
D'une nouvelle condition humaine
Héros aux seuils
Des portes du désert
Nu comme un jour de brume
La lèvre douce d'une plaie
Ne parle plus la langue des mots
Juste celle de ses cauchemars
Héros de cabines d'essayages
D'esquisses inachevées
De lampions ultraviolets
De claquages encéphalites
N'habille la beauté de ses rêves
Juste le squelette de son manteau
Morts comme un étrange concert
D'atrophie hippophagique
Les Anges de la rue-alité
Par-delà la cour des miracles
Se noient au galop dans le caniveau
Avec la lune comme dernier tombeau
Illustration temporaire récolter chez http://weekendetcoupdebrosse.blogspot.fr/
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Dès que je partage une pensée Avec quelqu'un qui sait écouter J'entends tout Même le silence Mais ce qui d’une déclaratio...
Héros aux seuils
RépondreSupprimerDes portes du désert
Nu comme un jour de brume
La lèvre douce d'une plaie
Ne parle plus la langue des mots
Juste celle de ses cauchemars
Héros de cabines d'essayages
D'esquisses inachevées
De lampions ultraviolets
De claquages encéphalites
N'habille plus la beauté de ses rêves
Juste le squelette de son manteau
Morts comme un étrange concert
D'atrophie hippophagique
Les Anges de la rue-alité
Par-delà la cour des miracles
Se noient au galop dans le caniveau
Avec la lune comme dernier tombeau
Poète de nos temps sans doute, tu sais cueillir parfaitement le drama de choix quotidiens qui nous emmènent loin de notre nature et surtout bien loin du bien être ou du possible bonheur...
L'homme de culture doit être un créateur d'âme
Supprimerl'homme cyber réalité doit fermer sa gueule
et être sur un support payant
histoire de ne pas polluer le peu d'acquis...
Je rejoins la réflexion de Houellebecq qui dit :
c'est ça la culture,
c’est un peu chiant,
c’est bien ;
chacun est renvoyé à son propre néant...
As-tu saisi la plume de l'imbécile heureux
La poésie et ses anges sont malades!
RépondreSupprimerAu secours! sourire
Bel écrit James
Amitié
Le surréaliste Picabia
Supprimera dit un jour
que toute conviction est une maladie,
sommes nous tous malades
faisons-nous semblant de l'être
ou de ne pas l'être
je vois désormais la corde
je m'adapte
Et évite le nœud coulissant
Pour m'envoler sur un tri-plan
de poésie de musique de peinture
de soleil de neige de mer
de luxure d'amour d'attention
d'amitié d'éther de voyage
...
Bonne continuation
Sur l'aile du coléoptère
Entre ciel et terre
Fort combat...Ce texte est superbe la musique aussi exprime cette douleur...
RépondreSupprimerMERCI JAMES J'aime tes écris je vote!
« L'inertie seule est menaçante. Poète est celui-là qui rompt pour nous l'accoutumance. »
Supprimerde Saint-John Perse
J'aime beaucoup. Ton écrit est très riche.
RépondreSupprimerOui très riche
SupprimerCinq têtes d'œufs frais au kilo
Merci et bon appétit
J'attends la lumière
Pour commencer...
Ne dramatisons pas
À l'heure du repas
Oui tes mots disent bien cette part du réel
RépondreSupprimersi étouffante, si écœurante à regarder!
"Cet enclos suspendu d'automates..."
PUB:
"N'habille plus la beauté de ses rêves"
Le "plus" est inutile No?
Sourire)
.•´¯`•>
`•.¸¸ ><(((º>*oOo*Douce et créative semaine`•.¸¸ ><(((º>*oOo*
Grâce à toi
SupprimerJ'ai retiré mon sur plus
Tu veux voir
Je te rassure
Mon boudin noir
Est parti
Reste juste ma pomme !
Les anges à part dévalent du tonneau
RépondreSupprimerDans les caves Ô ciel se noie la ruralité.
Et le fût de chêne rigole dans le caniveau de la ville
SupprimerEt l'aligoté rue dans les gosiers en perce.
SupprimerJe ne parle pas flamand et ne porte pas de flanelle rose
SupprimerPar Lautréamont que voilà un riche cri !
RépondreSupprimerTu parles de Ducasse je ne connais pas trop ce qu'il a écrit mais il avait les poumons fragiles !
SupprimerUne bonne densité
RépondreSupprimerAudiard disait le danger avec les cons c'est que ça ose tout
La télé réalité est un bon exemple
Ici aussi il y a des cons
Supprimermême qu'il y en a des intelligents
pour faire le con soi-disant
Bref comme dit Courteline
Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet
Bon appétit
je ne sais pas te commenter
RépondreSupprimerDommage ton érudition deviendrait-elle aveugle
Supprimerreste poli je te prie
SupprimerJe suis polyglotte
SupprimerEt "ostrogoethe"
Les hommes déprécient ce qu’ils ne peuvent comprendre et tout ce que j’ai publié n’est que des fragments d’une grande confession...
envoie-moi ta confession ostrogoth
SupprimerJ'ai perdu mon passeport chez les Huns et les autres barbares ne veulent pas me le renouveler
Supprimerla culture est alitée...
RépondreSupprimermerci James pour cet écrit
amitiés
Christine
Oui c'est ça !
SupprimerUne réalité alitée...