Qui suis-je ?

Ma photo
La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.

Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...

« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »

Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »

Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !

Toutes les fautes d'orthographes sont corrigées au fur et à mesure des rencontres... Et toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite

Copyright numéro 00048772-1

Copyright numéro 00048772-1
Vous êtes sur un site où le contenu est protégé. Les illustrations et les dessins originaux des poèmes se trouvent sur mes autres blogs

Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog

Nombre total de pages vues

Rechercher dans ce blog un poème

Tous mes poèmes

mardi

Qu'est-ce qu'un poète en 2014 ?

Qu'est-ce qu'un poète en 2014 ? 
Cela me dit rien, sans doute un utopiste de plus et qu'au-delà des formules et des définitions toutes faites, je dirais qu'un poète sans positions c'est comme faire l'amour sans plaisirs... Alors je baise le ciel du lit et la rivière coule jusqu'à la mer !
 La poésie pure est la pure liberté de l'esprit. Elle se joue de toutes les frontières, du vrai et du faux, du réel et de l'irréel.
 Le poète a toujours le même rôle qu'hier mais il a des adversaires en face de lui visiblement stupides ou inversement trop intelligents pour savoir l'écouter et qu'il est noyé dans la jungle numérique sans pouvoir ni boussole !  
 De toute façon, je m'en fous de savoir où le poète doit se situer car ma poésie n'est-elle pas un hymne lyrique dans lequel je rêverai de me libérer de toutes servitudes ?
 Elle est inconditionnellement liberté pure.
 L'erreur n'intervient pas en poésie, mais dans son interprétation.
 Je dis qu'elle est l'expression ultime de mon moi, de mon pouvoir démiurgique en transformant le monde à l'image de mon désir. J'avoue je gonfle de la cheville droite et alors on ne vit qu'une fois !  Après ce Laïus ou manifeste échevelé, il n e me reste plus qu'a définir ce qu'est la  « liberté pure ». Chaque fois qu'un homme invente ou crée un grand éclair poétique jaillit... La poésie pure vainement cherchée à l'école de Valéry c'est la « liberté pure » de l'imagination telle que je l'ai rencontré chez Rimbaud et Lautréamont.
 Je pourrais poursuivre mais j'ai faim. 
Illusion ? 
Peut-être selon ce qu'il y a dans le frigo, elle se joue de tous les interdits au-dessus des formes épiques ou tragiques ou bucoliques et devient un hymne lyrique qui se rêve délivré de tout régime alimentaire à toutes servitudes. Elle est inconditionnellement liberté pure. 
La poésie est la pure liberté de l'esprit.
Il est vrai que l'homme a deux visages, l'un qui interroge l'avenir et l'autre qui veut retourner dans le passé... Moi je remonte à mon enfance où la liberté était ni idéalisée ni une prédilection juste une évidence une fenêtre de naïveté dans laquelle je m'amuse encore. Et là, le propre du pur poète c'est la liberté pure. Le déchaînement inconditionnel des images sans aucun soucis des lois et je reviens à dire que c'est le pur exercice de l'imagination comme exercice de la liberté dans le ravissement.
La poésie est toujours belle, il n'y a même que la poésie qui soit belle.

Monde sur la toile du net
À travers le lin
Visage blafard
Je me suis échappé
Dans le tableau d’un homme pendu
Ce n'était que la mort d'un poète
Et la naissance d’un cartésien
Comment puis-je dormir au soleil
Les yeux fixant le fond de la nuit
Et me voilà de retour
Au milieu de ce monde alvéolaire
Sur lequel jadis je m’envolais
Et savourais le miel de l’échange
Aréopage de plus en plus chagrin
Où l’affluence des plumes anciennes se meurent
Où le duvet se froisse
Où l’eau déserte les chantepleures
Où les fontaines aboient et pleurent
Des vers dévers et revers
De sel amer de vases et d’égouts

Si je reste dans cette encre
Dis-moi combien de temps
Pourrais-je être un rempart
Protégeant des béotiens
Combien de temps pourrais-je
Atténuer les brûlures de l'horreur
Intercepter les balles bleues
D'âmes froides et invisibles
Alors que les voix de l'isolement
Comme les voix de la crainte
Cognent à mes tempes
Inlassablement

Sans oracle
Je quitte le syndrome

Au sommet de la courbe
À travers le bruit blanc
Je m’immisce loi normale
Dans le tableau d’une femme éperdue
Ce n'était que la mort d'un cartésien
Et la renaissance d’un poète
Comment puis-je dormir seul
Les yeux perdus dans les siens
L’élue est une fleur
Couverte de pollen
Sous le nombril du monde
Qui porte tant de respirations animales
Donne-moi ta main
Pour m’agripper à ce que j’ai tant rêvé
Et ton cœur
Pour rejoindre les maléfices
De la papesse de l’amour

Ici en embuscade la peste jalouse
Comme les compteurs d’eaux usées
Guettent la moindre libellule
Pour se déposer sur sa fébrilité
Pour la voir disparaître sous terre
Et alimenter les piliers du tombeau
Comme a écrit Beaumarchais
Monde monde monde
Chose faible et décevante
Nul esprit créé ne peut manquer à son instinct
Le tien est-il donc de me tromper


38 commentaires:

  1. Et bien un poète qui sera reconnu quand il sera mort !!!
    Ou pas du tout !
    je veux bien un plateau de fruit de mer sans coquillard mdr

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Incantada ou Ucello ? Je me trompe désolé je marche dessus aie !
      La valeur de cette muse, c'est la somme d'éloquence contenue dans ses phrases,
      c'est l'habileté suprême de ses combinaisons de culs bénis...
      Ou de pains perdus...
      On peut rire de tout si on a assez de recul...
      Ami ou ennemi la mer est toujours salée !

      Supprimer
  2. Ce texte est magnifique... A souligner Michèle Poulain !
    Cela fait plaisir...

    RépondreSupprimer
  3. la poésie passée la trentaine, c'est foutu
    Lis de jeunes poètes contemporains
    Il y en a d'extra
    un site pour découvrir:
    "www.toutelapoesie.com
    lis le pseudo sérioscal
    il est inventif et créatif
    dans sa poésie sérielle
    amitié
    Jo

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le sang, série N 27
      - Le sang, vous ?
      - Oui, oui, c'est bien ça. Le sang.
      - Et quoi le sang ?
      - Quoi le sang ! Quoi le sang ! Quoi ! Quoi !
      - Hum. Vous délirez.
      - Mais il y a du sang, là ?
      - Où, là ?
      - Non, rien, non. Je n'ai rien dit.
      - Il n'y a rien, alors ?
      - Non, rien.
      - Ah.

      ...

      ça sent bizarre...

      Supprimer
    2. Quelle tronche de cent (poètes)...lol
      Tu possèdes

      Supprimer
    3. Je connais l'hôpital de la Tronche de Grenoble sinon je rejoins Amélie non pas Poulain mais Nothomb la dame en noire à la peau blanche et aux lèvres écarlates qui souligne qu'il y a quelque chose de mal digéré au sujet de la beauté : tout le monde est d'accord pour dire que l'aspect extérieur a peu d'importance, que c'est l'âme qui compte etc. .. Or on continue à porter au pinacle les stars de l'apparence et à renvoyer aux oubliettes les tronches de mon espèce.
      Oui, je sais tu parlais de l'intérieur uniquement... Je suis gâté « pile ou face » par chance grâce à Dieu pourtant je ne l'ai jamais croisé Dieu merci !

      Supprimer
  4. j'ai lu et même relu
    sans faute
    sourire
    b soirée

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Mon conditionnel emprisonne mon futur... Mais j'ai été quand même libre de pisser sur la tombe de Picasso à Vauvenargues !

      Supprimer
  5. Minou Drouet était douée

    Tt...:)

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. À minuit je me transforme en tourterelle
      Ecrivez vite sans sujet préconçu, assez vite pour ne pas retenir et ne pas être tenté de vous relire... A breton
      zut minuit une !

      Supprimer
  6. L'erreur n'intervient pas en poésie, mais dans son interprétation. "
    c'est curieux cette phrase j'ai l'impression de l'avoir déjà lu ...elle fredonne ds ma tête comme une note de musique !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Sans doute je l'ais déjà utilisé dans un autre texte après me suis-je inspiré de l'aspirateur de la femme de méninge du seizième aucune idée l'art est un courant avec lequel on peut attraper un virus même dans les beaux quartiers d'orange, de Périgueux ou de Montcuq...
      Bien à vous

      Supprimer
    2. Ah bon !
      Ma définition du bonheur
      L'inertie... Je ne crois pas
      Quand à la poésie déjà dit
      Une autre forme de bonheur
      Serait l'apesanteur
      Se placer au-dessus de tout
      Quelle liberté


      Deux secondes...





      Voilà...





      J'y suis...

      Supprimer
  7. johnykerber1septembre 16, 2014

    premiere question???


    qu'est ce qu'un poete???

    Si la poésie c'est écrire de belles choses qui ne veulent rien dire...ALORS NON je suis loin d'être poéte!!!

    je ne l'ai jamais prétendu d'ailleurs!!

    par contre s'il faut écrire sur les TRAVERS de l'Humain...sur la TOLERANCE ou sur le RACISME???

    JE SERAIS DAVANTAGE POUET!!!rires


    BFDS

    jk

    RépondreSupprimer
  8. A propos des "pouet-pouet" pour la suite il faudra attendre à jamais deux mains !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. J'ai un faible pour le travers de porc sans tolérance pour le cochon rose noir gris d'inde ou du Pérou avec ou sans poil...
      Je ne suis pas raciste !

      Supprimer
  9. Une belle réflexion sur la poésie.
    Je reviendrai pour une seconde lecture.
    Belle journée

    Amitiés

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je ne poinçonne plus
      les tickets modérateurs
      le poil dans la main
      après 17.00 heures...

      Supprimer
  10. joel méfiez-vous de A
    il est un feu filopathe
    mais pas méchant
    humour anglais décliné

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Qui
      Docteur popaul
      Consulte la bouche cousue
      Teresina des Tom Tom
      Est son ventriloque cartographe
      Saviez-vous
      Pour devenir lui-même
      Il a dû boire
      De l'huile de morue
      Chaque soir
      Lorsqu'il avait les dents du petit Poucet
      Non qui poussaient
      Me souffle l'huître
      De mon casier mémoire
      La perle noire
      De mon savon Ushuaïa
      Depuis il a une haleine de poisson
      Qui
      Docteur Folamour
      Consulte le nez bouché
      Teresina des Tom Tom
      Est son métronome ventilatoire
      Saviez-vous
      Pour devenir lui-même
      Il a dû respirer
      De l'huile de ricin
      Chaque matin
      Lorsqu'il avait la goutte au nez
      Non au pied
      Me souffle l'huître
      De mon rayon mémoire
      La perle noire
      De ma bouteille à la mer
      Depuis c'est un robinson
      Qui

      Supprimer
    2. beresina ou teresina d'inter"pole" interpelle un pêle-mêle de mots contrecollés d'un véritable amour qui ne connaît ni le soupçon ni la méfiance... Action !

      Supprimer
  11. L'erreur n'intervient pas en poésie, mais dans son interprétation.
    La force d'un poème est pzut être, justement, dans le fait que chacun peut s'approprier son interprétation ?
    Amicalement

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La poésie est une suspension qui éclaire le monde...
      Elle éclaire chaque lecteur de manière différente selon sa culture, chaque lecteur à sa propre interprétation de la lumière qu'il reçoit.

      Supprimer
  12. Merci pour ce beau texte que j'ose inscrire dans une volonté de réhabilitation du statut de poète qui parle le langage du coeur qui a ses raisons que la raison ignore comme le dit Pascal.
    Platon, réduisant l'homme à la raison a jugé inutile la présence dans sa citée idéale des poètes (utopistes) selon lui, et Pascal est venu montrer cet autre dimension de l'homme que sont ses sentiment, ses émotions et toute la richesse intérieure qui est vécue par tout un chacun et qui a donc plein droit de s'exprimer.
    Merci encore pour cet important sujet bellement soulevé.
    Amitiés
    Kader.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. À force de chercher la vérité Platon est mort...
      Intox ou vérité... Bref je suis plus dans l'art de plaire, la vérité n'est jamais loin, il faut aussi savoir s'amuser de la vérité pour rendre la vie comestible.

      Supprimer
  13. Le poète n'a pas d'âge pour moi, ni d'époque, ni de mode, la poésie sera toujours poétique, le Rimbaud d'aujourd'hui me fait autant d'effet aujourd'hui qu'hier, sinon ce n'est plus de la POÉSIE, merci pour ce questionnement qui ne manque pas d’intérêt,
    Isabelle.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. A propos de Rimbaud...
      Pour un poète qui n'a pas écrit beaucoup et longtemps, il y a une liste interminable de critiques, de biographies et de films.
      A contrario a dit Camus c'est parce qu’il avait tout dit !
      La critique aime les histoires courtes pour fantasmer davantage et gagner un peu de beurre au passage...
      Je constate en effet qu'il fait vivre un nombre illimité de critiques semblables ou aléatoires !
      Un peu comme Marilyn Monroe et tant d'autres.
      L'homme aime cultiver le mythe, avoir une référence en tête et la garder comme si elle était unique et immortelle... Une idolâtrie presque incarnée.
      Pour autant est-ce que "la matière du mythe" en vaut la chandelle, est-elle plus lumineuse qu'une autre !
      Parfois même à l'insu de "l'auteur" le mythe naît à travers un acharnement médiatique ou de rumeur qui la cultive et qui rapporte plus d'euros que de fleurs sur la tombe de l'héros du mythe.
      Un dernier exemple avec la sculpture de bronze réalisée taille réelle en hommage à Amy Winehouse en est l'illustre démonstration...
      Au-delà de l'amour (C’est comme l’immortaliser dans un beau moment de sa vie. Nous espérons vraiment que les fans d’Amy aimeront la statue selon un fan), il y a surtout le business derrière de la part des protagonistes ou agents ou autres spéculateurs... Rien n'est innocent comme pour Rimbaud même si son talent n'est pas à démontrer.

      Bonne lecture ! Mais suivez d'abord les traces du poète avant de savoir qu'il chausse du 42...

      Supprimer
    2. Merci pour ce commentaire on ne peut plus "détaillé" lorsque j'ai lu Rimbaud je n'avais pas la moindre idée de son parcours cela m'a plu tout simplement j'avoue que bien souvent par leur parcours atypiques et romanesques certains personnages sont "montés" en épingles, merci et bonne journée à vous
      Isabelle.

      Supprimer
  14. Que dire...Un texte acide et incisif.
    ce thème engendre le débat!

    Cette question tourne
    parfois, autour deJEMÔa
    et puis...
    Poète est ce un métier, une profession de Foi?

    "-Dis moi si l'herbe sent le vert?..."

    ✫•*¨`*•.¸(¯`✫Douce et créative semaine✫´¯)¸.•´*¨`*•✫

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je dis qu'il rapporte plus aux vivants qu'aux morts le poète disparu...
      Mais c'est un métier, difficile mais un métier... la preuve... L'actualité avec Yvon Le Men poète en fin de droits qui attaque Pôle emploi...
      Il faut activer le mécénat vers le poète... Quand on parle d'exonération d'impôts, le loup sort les griffes et il est prêt à épargner une brebis...
      j'aime le jeu du saute mouton quand le mouton est une tirelire !

      Supprimer
    2. ah! oui...Je ne savais pas...
      10/06/2014
      Interrogé par Le Figaro, Yvon Le Men raconte ce qu'il s'est passé: «J'écris et lis des poèmes sur scène depuis 1972, et de façon professionnelle depuis 1974. J'ai évidemment mal vécu financièrement pendant longtemps, je n'ai jamais pu vivre de mes droits d'auteur, sinon je serais mort de faim. En 1986, j'ai obtenu le statut d'intermittent du spectacle. Je travaillais en collaboration avec une association qui s'appelle Chant manuel, subventionnée par la ville de Lannion et le département des Côtes-d'Armor, et également avec Étonnants voyageurs, dirigé par Michel Le Bris. En 2013, j'ai eu 60 ans et demi. À cet âge là, un intermittent peut demander un «droit de maintient» qui lui permet de continuer jusqu'à 65ans, ce que je m'apprêtais à avoir. Mais, ce jour-là, je ne sais pas ce qui est arrivé, peut-être que Pôle emploi voulait effectuer des contrôles de façon plus sévère, et ils ont conclu que ce que je faisais n'était pas de l'ordre du spectacle. Ils ont immédiatement suspendu mes indemnités»

      C'est indigne...Que faire?

      Supprimer
  15. La poésie est universelle
    Le poète aussi
    Un peu comme un enfant qui ne vieilli jamais...
    Belle journée
    Amicalement
    G.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La poésie est peau de chagrin
      Festive amoureuse engagée naïve
      comme le temps qui nous couvre
      comme la vie qui nous découvre
      comme la mort qui nous recouvre...

      Supprimer
  16. Un passager 014...

    RépondreSupprimer
  17. Après ce Laïus ou manifeste échevelé, il ne te reste plus qu'a définir ce qu'est la "liberté pure"...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Chaque fois qu'un homme invente ou crée un grand éclair poétique jaillit... Bref la poésie pure vainement cherchée à l'école de Valéry c'est la liberté pure de l'imagination telle que je l'ai rencontré chez Rimbaud et Lautréamont. Je pourrais poursuivre mais j'ai faim. Illusion, peut-être selon ce qu'il y a dans le frigo, elle se joue de toutes les frontières au-dessus des formes épiques ou tragiques ou bucoliques et devient un hymne lyrique qui se rêve délivré de tout régime alimentaire à toutes servitudes. Elle est inconditionnellement liberté pure. La poésie est la pure liberté de l'esprit.
      Il est vrai que l'homme a deux visages, l'un qui interroge l'avenir et l'autre qui veut retourner dans le passé... Moi je remonte à mon enfance où la liberté était ni idéalisée ni une prédilection juste une évidence une fenêtre de naïveté dans laquelle je m'amuse encore. Et là, le propre du pur poète c'est la liberté pure. Le déchaînement inconditionnel des images sans aucun soucis des lois et je reviens à dire que c'est le pur exercice de l'imagination comme exercice de la liberté dans le ravissement.
      Bon appétit.

      Supprimer
    2. hymne lyrique qui se rêve délivré de tout régime alimentaire
      Rires !

      Supprimer

.

.

.

.

.

.

Abonnés du blog

Les dix archives les plus consultés ces 30 derniers jours !

A comme Amour Recueil 1

A comme Amour Recueil 2

A comme Amour Recueil 3

A comme Amour Recueil 4

A comme Amour Recueil 5

A comme Amour Recueil 6

A comme Amour recueil 7

A comme Amour recueil 8

A comme Amour Recueil 9

A comme Amour Recueil 10

A comme Amour Recueil 11

A comme Amour Recueil 12

A comme Amour Recueil 13

A comme Amour Recueil 14

A comme Amour Recueil 15

A comme Amour Recueil 16

A comme Amour Recueil 17

A comme Amour Recueil 18

A comme Amour Recueil 19

A comme Amour Recueil 20

A comme Amour Recueil 21

A comme Amour Recueil 21
.

A comme Amour Recueil 22

Copyright numéro 00051199-1

Copyright numéro 00051199-1
Copyright numéro 00051199-1 « A comme Amour Recueils 1-2-3-4-5-6-7-8-9-10-11-12-13-14-15-16-17-18-19-20-21-22 »