La poésie est une suspension qui éclaire le monde.
Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions.
J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie.
Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante,
Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange
et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable.
Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être.
Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure.
Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Vous êtes sur un site où le contenu est protégé. Les illustrations et les dessins originaux des poèmes se trouvent sur mes autres blogs
Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Nout martelai mes sens avec franchise Où
les reflets de mon étendard S’illustra
dans le miroir baroque Curieux De nature exotique Plongé
en apnée Je
finis toujours ce que je commence Quand
le jeu en vaut la chandelle Mon dernier vœu me poussa contre elle Et je me saisis de ses faiblesses De ce paysage qui
n’existe plus Où je me
déprogrammai
Mais avant que s’oxyde et se brise Le fer de lance des rêves
"Se hisser vers l'haleine du ciel" : j'aime beaucoup cette image. Et ce texte en général qui est une quête du meilleur en soi par la beauté de la nature autour.
Une superbe envolée James au royaume du rêve, de la pureté. L'éther s'ouvre sous tes mots. Comme une transcendance de l'âme, une émotion en osmose avec la beauté. J'aime beaucoup.
Ceux qui savent mourir En nageant dans l’eau noire Ceux qui rient en pleurant Et savent dire non Ceux qui crient dans le blanc Et fuguent Vers la décharge aux coquelicots Où la lumière d’or A jeté les trésors D’une vie si mortelle Qu’ils fuient à vire d’aile Vers l’ailleurs absolu Où ils ne verront plus La mélancolie grise Des couloirs quotidiens
Ceux qui hurlent maman En lui jetant des pierres Ceux qui pleurent à l’envers Dans un mouchoir de rêve Où poussent les espoirs
Beau!
RépondreSupprimerMerci j'adore
Qui est bien dans sa peau sur cette terre?
Douce soirée à toi
Amitié
A
Je suis revenue voir la vidéo
SupprimerElle est belle surtout la musique
merci James et douce soirée
Qui est bien dans sa peau sur cette terre ?
SupprimerPersonne même pas les salauds ou peut-être les anges...
Sur le Mont tU-oN
RépondreSupprimerle cosmique
Rêve Amour:
l'Homme
Des suppressions répétitives...
SupprimerMon prochain texte en fait allusion
Réflexions et formes de don. L.
RépondreSupprimerUne sorte de din-don de la farce pour certains
Supprimerou un cupi-don pour d'autres
le tout étant une poésie d'aban-don
on a toujours
RépondreSupprimerfaim d'amour
un amour sans fin
merci
sourire
b soirée
Un beau rêve dans la mythologie.
RépondreSupprimerBravo.
merci
Supprimer"Se hisser vers l'haleine du ciel" : j'aime beaucoup cette image. Et ce texte en général qui est une quête du meilleur en soi par la beauté de la nature autour.
RépondreSupprimerMerci et au plaisir.
Il doit toujours y avoir un hameçon
Supprimerau bout de la canne
pour ferrer l'autre
le ramener à la surface
et le relâcher
rejoindre ses propres rêves
Une superbe envolée James au royaume du rêve, de la pureté.
RépondreSupprimerL'éther s'ouvre sous tes mots.
Comme une transcendance de l'âme, une émotion en osmose avec la beauté.
J'aime beaucoup.
La beauté, c’est ce qui nous échappe trop souvent
SupprimerNadiaj a voté
RépondreSupprimerIl y a des rêves qui nous font détester le réveil...
RépondreSupprimerSourires.
Lynda
Je n'ai plus de réveil depuis l'école... Des fans !
SupprimerUn royaume éthéré de pureté, un mystère et un rêve envoutant, des mots superbes!
RépondreSupprimerBisous
« Les rêves sont la littérature du sommeil. » Cocteau
SupprimerNout est parfaite pour tes rêves blancs.... Jolie découverte pour moi que ton écriture, merci !
RépondreSupprimerLa poésie est le soleil des hommes
SupprimerPoésie ...ACosmique!
RépondreSupprimerpoussée par le vent solaire de tes mots
JEMÔa ...ébouriffée!
Vote
Merci
✫•*¨`*•.¸(¯`✫Douce et créative journée✫´¯)¸.•´*¨`*•✫
SupprimerVent qui ne baisse jamais les bras...
Ce qu'il y a de bien c'est qu'on peut aussi s'instruire en te lisant. Nout je connais de nom mais là j'en apprends un peu plus, merci pour ça
RépondreSupprimerJ'en apprends moi aussi à chaque vers
SupprimerJ'ai adoré, vraiment ! Ca laisse rêveur, ça donne un sens à l'écriture salvatrice car pour certains elle l'est vraiment. Chapeau bas !
RépondreSupprimerl'antre idéale pour abriter le poète et l'enfantement de ses mots
RépondreSupprimerL'enfance a ses odeurs
Supprimerun flocon de trop sur les cils d'un enfant
RépondreSupprimerà l'impossible sommes-nous tenus
SupprimerClairière de folie
RépondreSupprimerCeux qui savent mourir
En nageant dans l’eau noire
Ceux qui rient en pleurant
Et savent dire non
Ceux qui crient dans le blanc
Et fuguent
Vers la décharge aux coquelicots
Où la lumière d’or
A jeté les trésors
D’une vie si mortelle
Qu’ils fuient à vire d’aile
Vers l’ailleurs absolu
Où ils ne verront plus
La mélancolie grise
Des couloirs quotidiens
Ceux qui hurlent maman
En lui jetant des pierres
Ceux qui pleurent à l’envers
Dans un mouchoir de rêve
Où poussent les espoirs
La mélancolie pure
Une éclipse du cœur.
Marine
Un beau voyage entre chaque mot, de la poésie comme j'aime
RépondreSupprimerUn beau voyage entre chaque mot, de la poésie comme j'aime
RépondreSupprimerQuand les hirondelles volent bas
Supprimerles pavés se prennent pour des nuages