Chair étrange attends-moi là
Où tes petites curieuses m'ont murmuré
Ne fuis pas les plaisirs de mon balcon
Syndrome étourdi
Viens nous rejoindre
Au sommet de la palme dorée
Sans plus d’attache sous tes pieds
Que la terre dans l’univers
À l'heure imminente
Tu entreverras la libellule
Ne craignant ni la luxure ni l'inconnu
Je m'empresse d'embrasser l'ombre
Poursuivie par mes vives pensées
À la corne du flambeau
Je m'enflamme
Et m'incinère
Avec ces battements interminables
Jusqu'au bord du gouffre
Et de l'hurlement de la vague
Visible qu'à l'instant de l'amour
Comme une respiration profonde
Dont sa beauté jamais ne se consumera
Je perds mon silence
bonsoir james,
RépondreSupprimerj’ai beaucoup aimé cette lecture qui accroche et séduit.
Juste un peu déçu que vous ne craignez pas la luxure, elle n’est pas aussi digne que votre élan.
cordialement
péon