Des parasites en tous genres
Du fiste analogique
De la partouze gastronomique
Aux frontières translucides
Du rouge du blanc
Un fond une croix
Une histoire de proportion
Aucun malade
Aucune infirmière
Des sauterelles des banquières
S'excitent avec la toile de jute
D'un sac de terreaux
De la perche noire au brochet
Le bouchon reste à flot
Autour du billot central
Des bobards des canulars
L'intellectuel cherche le politique
Et le mortel des communs
Trouve une vérité alternative
Sous le pont de l'impossible
Où le pécheur relève son filet
Jamais assez plein de truite argentée
Pour draguer les écrevisses
À l'embouchure du port
Abigaëlle a vu un crocodile
Manger un col vert
Un chanoine pointeur
À cheval sur un cygne noir
Compter les plumes digérées
Par le sac à main Hermès
De Madame et consœurs
Encore une vérité alternative
Ou une contre vérité
Derrière une statue d'or
Une gueule de siamois
Sur un Donald en béton ciré
Becque une paire de couilles
Entre la Russie et la Crimée
Un repenti violeur de maïs transgénique
Aucun avis de recherche
Juste un vieux Éminence
Joue des castagnettes sur son tatami
Et déclare
Non je n'ai jamais trempé
Mon biscuit dans du ketchup
Ni mon ecclésiastique
Dans de l'huile bouillante
Et les souris dansent
Coupe du monde
Entre mer noire
Et vente aux enchères
Pétrole Hahn dribble gazoduc
Quelles différences
Entre un sac vide
Et un sac avide
Aucunes aux yeux des morts
Les atomes invisibles de l'air
Épousent cette poésie de merde
Et vous qui épousez-vous
Ne dites rien
Ma langue restera suspendue
Au jardin qui me sert à être moi-même
Et mon ouïe à l'opéra
Verdi me propose Nabucco
Putain heureuse
Ce soir
La beauté m'inspire encore
Oups ... heureusement que Verdi sauve la mise sinon je pleure sur ton poème qui hélas est beau et plein de vérités... merci James
RépondreSupprimerAu vu du spectacle la mise en scène et costumes relèvent les passages sibyllins et va, pensiero te réveille...
SupprimerVa, pensée, sur tes ailes dorées ;
Va, pose-toi sur les pentes, sur les collines,
Où embaument, tièdes et suaves,
Les douces brises du sol natal !
Salue les rives du Jourdain,
Les tours abattues de Sion ...
Oh ma patrie si belle et perdue !
Ô souvenir si cher et funeste !
Harpe d'or des devins fatidiques,
Pourquoi, muette, pends-tu au saule ?
Rallume les souvenirs dans le cœur,
Parle-nous du temps passé !
Semblable au destin de Solime2
Joue le son d'une cruelle lamentation
Ou bien que le Seigneur t'inspire une harmonie
Qui nous donne le courage de supporter nos souffrances !
Merveilleux et là je pleure vraiment...
SupprimerMerci pour ce moment de partage ...
J'adore merci pour ces mots...
RépondreSupprimerJe ne suis jamais allée à l'opéra, j'adorerai voir aida...
Estaile... c'est ça la liberté
SupprimerÊtre libre
C'est d'avoir l'esprit de décision
Pour analyser entre mille autres les fake news
Où en français de mon point de vu
La vérité alternative
Qui dit vrai ou faux à partir de temps pour qui envers qui...
Le coeur des esclaves
Quand la beauté te dépasse
La poésie trépasse
Le temps d'une coupe de champagne
et quelques amuses gueules
sans gluten
Les mots se sont glissés dans mes poches
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