Habille un recueil d'être
Le temps d'un sortilège
Au petit bois des anges
Nu au pied de la source
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
C'est l'esprit qu'il faut climatiser
RépondreSupprimerLe nœud coulant de l'anxiété
Quand tu mourras
Tu poseras enfin
Le bleu de travail
Pour revêtir
L'habit du dimanche
Tu es sur le pont du paquebot
Même inconscient tu m'entends
Je te donne la permission de mourir
La lampe à beurre a épuisé sa réserve
Marine
30 juin 2018
15h
a attribué +1 : Ce qui nous lie
RépondreSupprimerEnfin je vous retrouve ,pour un bonheur ,Ce qui nous lie !
RépondreSupprimerSuperbe poème que j'irai relire avant de vous perdre à nouveau.
Deux images aussi ,dans cette belle vidéo qui en contient bien d'autres
Cet arbre beau et seul au bout de l'infini ,et la citation de William Blake
que j'aime infiniment .Ne filez pas à l'anglaise j'aime votre poésie ! EDITH .
je suis toujours là !
Supprimera attribué +1 : Ce qui nous lie
RépondreSupprimerBoire à la source, n'est ce pas magique ? Près des feuillages où volent des libellules.
RépondreSupprimerIl faut boire à la source, boire à la source de la vie... Tube de Johnny de 1971 (lol)
RépondreSupprimerExcusez-moi James, l'esprit divague avec cette canicule… Tout simplement envie d'un peu de fraîcheur ! Bon dimanche.
Magnifique.
RépondreSupprimerBeau poème. Merci pour ce partage
RépondreSupprimerMais où es tu amour Je te cherche partout
RépondreSupprimerSur tous les coins du globe tu t'enfermes à clé
De l'aurore à la nuit , j'ai crié comme un fou
Pour trouver le trousseau qui m'a tant fait rêvé ...
Qui avait mis cette chaîne rouillée là sous mes yeux
Pour qu 'à jamais je sois reclus en quarantaine
Sur ce cadeau de la vie oxydé par la vaine
J'étouffe dans un cri , sortez moi de ma peine .
Anonimous... pousse mousse
SupprimerJe découvre le mot spicilège que je ne connais pas
RépondreSupprimer... je vais lire la définition et reviens vers ce très beau poème !
amicalement
Bernard
a attribué +1 : Ce qui nous lie
RépondreSupprimera attribué +1 : Ce qui nous lie
RépondreSupprimerPuisé au cœur même d'une source poétique... Encore une belle lecture. Merci James
RépondreSupprimera attribué +1 : Ce qui nous lie
RépondreSupprimerInstant inspiré et inspirant
RépondreSupprimerLa soif de vivre ne s'étanche jamais !
RépondreSupprimeramitiés
Marc
celle dont tu as peur
RépondreSupprimermais c'était bien tout ça
ne cherche pas la gloire
sois ouvert à toi