Où seules les âmes sont condamnées
Les larmes les cris qui résonnent
À la recherche du jardin suspendu
Mon corps a décidé de ne plus être sa propre entrave
Combien de marches à suivre m'indisposeront
À digérer tout ce millefeuille
Qui sur son autel
Silencieusement
Regardera ma souffrance
Jouer aux osselets avec mon passé
En silence encore
Elle l'est
Mais elle écoute
La prière de ma conscience
Cette souffrance
Matin midi et soir
Elle la supplie
Je suis toujours en surface
J'ai toujours été sa prière
En voyant le soleil levant
J'ai finalement vu
Qu'elle m'a pardonné
C'est très beau le chemin de l'apaisement dans vos vers.
RépondreSupprimerMerci.
Iloamys... Tous les chemins se ressemblent sauf lorsqu'on reprend le goût de vivre... Pour faire simple.
SupprimerIl faut du temps
RépondreSupprimercomme pour toute digestion
Merci pour ce jardin suspendu
Yuba... 3 points de suspension
SupprimerBonsoir
RépondreSupprimerBeau à lire
A l'ombre : tout peut se passer renaître s'éteindre s'illuminer..
Lys
Lys-Clea... C'est le propre de notre système terrestre... Avec des facteurs résiduels qui permettent de recevoir du courrier et d'en envoyer... Histoire de ne pas s'isoler...
SupprimerLes libellules sont cruelles
RépondreSupprimerElles ont des reflets mort dorés
Des ailes vibrantes
J'ai peur des libellules