Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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« La pluie dessine des lentilles d'eau
RépondreSupprimerSur la flaque de mes yeux »
Quelle magnifique image !
Un jour la nuit la vie raconta à la poésie...
...
Bravo James !
Moi je remue sous du vent !
RépondreSupprimerMerci pour ce texte
Mes lentilles sont progressives
RépondreSupprimerC'est bien ça marche avec la dilatation de la pupille
Sauf que
Selon la fatigue la pupille
Elle est pas si previsible
Alors c'est flou partout
De pres de loin mouille ou sec
Puis
Quand on les met ou les retire
On y voit rien
Forcement
Sinon on en aurait pas besoin
Donc
Il faut des lunettes pour mettre ses lentilles
Sauf que
Le doigt y passe pas à travers les verres
Forcement
Alors il faut quitter les lunettes. Une fois la lentille sur l'index et l'oeil en face
Meme que une fois
Apres 3 heures passees dans mon oeil
J'énumérai mentalement les solutions
1 continuer à verser une solution ophtalmo dans mon oeil en esperant que Archimède me vienne en aide
2 aller dormir avec ma lentille
3 secouer la tête en bas en clignant des yeux
4 me rendre chez un ophtalmo.
Puis le souvenir vague de n'avoir vu que d'un oeil toute la journée m'a fait baisser la tête et là sur le sol depuis le matin il y avait ma lentille deshydratée
Donc
Je me suis bouzillée l'oeil pour rien
Une vie trépidante que j'ai moi !!!!
J'ai garde l'oeil rouge et le doux surnom de terminator pendant 1 semaine
J'adore ce texte Et la musique et ses mots accompagnent bien ton poème Bonne soirée
RépondreSupprimerBonsoir,
RépondreSupprimerCe laisser communier avec qui existe..Tant de choses à prendre .. à apprendre
Un jour la nuit et l'histoire commence
Bravo !
Lys
J'aime.
RépondreSupprimerMerci pour ce partage.
Ravie de te redécouvrir.
RépondreSupprimerUn petit mot rapide, instantané de passage.
J'ai aimé "les lentilles d'eau sur la flaque de mes yeux"
Le titre en oxymore, je suis mitigée. Mais c'est personnel, j'en ai un peu trop abusé.
J'ai tiqué sur "m'oblige de (à?)communier" et " s'attarde de(?)brouiller".
Repéré le jeu de mot/sonorité... "Langue d'or et déjà".
" Renaissance et agonie "" Amour, veux-tu encore de moi"... Cela me parle.
Encore un peu de travail sur ce texte il me semble et il pourrait me toucher plus.
Belle journée
j'aime oxymorer
Supprimeroui c'est à et non de... la grammaire un nom ou un groupe nominal c'est ouf... mais en réfléchissant plus... j'ai donc corrigé les de par à ...
Renaissance et agonie... c'est un clin d'œil à Yung changer c'est à la fois naître et mourir... c'est si vrai !
Amour veux-tu encore de moi... c'est un classique ! Comme j'écris souvent spontanément pour revenir ensuite balayer et corriger (si on peut dire)
il y a des expressions ou des vers devenus cultes et des mots irremplaçables... qui parviennent à nous car ils nous parlent nous résument ce que l'on veut dire ou faire comprendre
d'ailleurs pourquoi ne pas le faire si l'on appartient à la même culture...
merci