Qui donc resterait alors immaculé
Et qui saurait m’interdire
D’exhaler mon odeur
Alors que déjà lavé
Je sors, enfin propre…
De grâce ne vous vantez
Avec vos ailes non souillées
Alors que vos crânes glougloutent
D’un trop plein de pus de boutons
De grâce ne faites point l’arrogant
Et ne me jugez ici trop malin
Moi qui, ma vie durant, ai manqué de bain
Qui donc resterait alors immaculé
Et qui saurait m’interdire
D’exhaler mon odeur
Alors que déjà lavé
Je sors, enfin propre…
De grâce ne vous vantez
Avec vos ailes non souillées
Alors que vos crânes glougloutent
D’un trop plein de pus de boutons
De grâce ne faites point l’arrogant
Et ne me jugez ici trop malin
Moi qui, ma vie durant, ai manqué de bain
Comme des rêves oubliés,
La fleur s'est fanée,
Spectre d'un été évanoui.
Qui, encore, oserait séduire ?
Tu es devenue une étoile fugace,
Dans le silence des galaxies,
À l'abri des tempêtes de l'âme,
Pour plonger dans l'étreinte de mes pensées.
Sous ce ciel d'acier et de velours,
Viens à moi,
Ma sylphide des nébuleuses,
Partageons l'aube,
Ce tissu d'ombres et de lumières,
Des murmures d'éternité
Qui valsent dans le cosmos.
Hello... Bientôt l'hiver lol
RépondreSupprimer"Partageons l'aube" comme c'est beau...
RépondreSupprimerMerci James pour ce magnifique poème d'amour cela vous va bien...