Qui suis-je ?

- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Copyright numéro 00048772-1
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Tous mes poèmes
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2012
(133)
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octobre
(16)
- L’abeille et le poète
- Le grand écart
- Photographie
- Puisque l'on ne s’écrit plus que de dos
- La petite fille qui mangeait les poignées de porte
- Je rends mon tablier
- Expressionnisme
- De mon cube isthme
- La tête dans les nuages
- Sans dessus-dessous
- Feu tricolore
- L'effet Betta
- Lâcher prise
- Comme si c'était nécessaire (Suite)
- La fleur cachée
- Le tableau
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▼
octobre
(16)
mardi
De mon cube isthme
Et l’esprit s’élève
De Cézanne à Braque
Par-delà le pont de l'Estaque
Mes poésies abstraites
Sans décrire l’image parfaite
D’un seul point de vue
Rassemblent l’imprévu
Fragmentent analysent
Enserrent mes prises
Sans compter mes heures
Les âmes les cœurs
L'essence masculine
L'émanation féminine
Le monde l’injustice
De mon isthme à narcisse
De ma belle bleue à mon art
Dans l'ombre de mon regard
Je vous aime en plainte
Perdu dans ce labyrinthe
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A l’aurore les yeux champêtres Suis-je toujours cet aborigène Heureux de fouler le sol de mes ancêtres Ma page blanche manque d’o...
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L’amour est trop lourd Pour ne pas forger l'inspiration Jusqu'à imprégner l'essentiel Aujourd’hui J’ai vu quelques floc...
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Sous l’œil adolescent D'un lieu qui t'échappe L’universel se recouvre de nuages Qui perdent la tendresse De leu...
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C’est une fraîche soirée et l'amour se consume Sur ce rebord souris du caniveau ma plume Elle s’enfuit et se laisse couler dans l...
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Voilà en équilibre sur la table Une élévation Juste un point sur l'essentiel Mange tout Et bonne chance Sans consciences ...
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Le souvenir d'une nouvelle mémoire Comme une parabole réceptive S’accroche à sa peau captive Reviendra-t-elle à la maison El...
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Sous la pluie, à tes cils, j’ai suspendu mon tout. Ma langue, flirtant, sur toi. L’envie, qui connaît mon âme, à ton corps. Sous la pluie, t...
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À l'ombre de mon en-tout-cas Quelques gouttes de rosés Venues d'un sol plus sec qu'un haricot Honorent ma langue ...
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Petite fille des Alpes Qui regardait vers l'avenir Ils te souhaitaient pour toi Et par toi Que cet avenir soit digne du passé ...
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Face à une mer stérile Incendia est né de l'amour D'une fin qui ne dit pas son nom Un gaz emprisonné Sous un plafond ignifuge Une l...
tes images me parlent comme si je les connaissais
RépondreSupprimerJe ressens les choses avant l'orage, la pluie avant le soleil...
Supprimernous sommes des animaux pensants
Supprimermerci pour le morceau de Christy Moore - Ride On
SupprimerOui à la différence nous sommes équipés d'une conscience mais faut-il la clé de sol pour éviter de perdre pied !
Supprimerj'aimais bien ta figure à tif aussi
RépondreSupprimerbelle journée
alain
Ben il y a aussi surréa tif et express tif et pour figue à tif il est là
SupprimerUn cube très personnel où on ne tourne pas en rond...
RépondreSupprimerComment rendre fou un belge, il suffit de l'enfermer dans une pièce ronde et de lui dire de chercher ses frites dans le coin
SupprimerVoir sous tous les angles en même temps, perspective indispensable pour l'oeil et le coeur.
RépondreSupprimerUn regard qui virevolte sur les êtres , les choses, et ne retient qu'un instant fugace où la beauté a ému le coeur et l'esprit.
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