Qui suis-je ?

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La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.

Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...

« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »

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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !

Toutes les fautes d'orthographes sont corrigées au fur et à mesure des rencontres... Et toute ressemblance avec des personnages existants serait purement fortuite

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vendredi

Le monstre


Le temps passe aveuglément
Et la dernière fois que l’on voit
Cet ami s’avancer vers soi
C’est l’image du diable qui apparaît

Il a planté ses griffes dans mon cœur
Qu’il brûle et oxyde
Son entêtement fait sa terreur
Sa recherche du laid mon enfer

C’est pour cela qu’il peut se permettre
Même sans en avoir l’air
De se gonfler la tête
Cette scie-cloche
De bronze ensanglanté
Qui sonne faux me siffle me viole
Elle ne pense plus qu'à me tronçonner
Elle invente réellement l'impensable
Mêlant mon passé mon présent
Et mon futur
Pour le rendre insupportable

En se rapprochant un peu plus
De son souffle fétide
En soulevant erreurs et mensonges
En écoutant ses cris
On peut apercevoir en lui
D’autres monstruosités

La cruauté nourrit le monstre
Le monstre anime la cruauté

7 commentaires:

  1. Un vrai monstre alors !
    Merci James du partage
    Bonne fin d'aprés midi
    Amitié

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    Réponses
    1. C'est le Caméléon... Sous toutes ses facettes colorées, le vice absolu... Trop tard lorsque que l'on voit que derrière la lumière il y a qu'un monstre...

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  2. Luxvolubilisdécembre 12, 2012

    Je le connais bien ce monstre là comme dit Violette c'est Léon ou le Caméléon... Blanc bonnet bonnet blanc.

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    Réponses
    1. Oui avec une cocarde rouge modèle déposé ©1969 Jacques Duclos...

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  3. Quand le monstre sourit et caresse ta main
    Il est déjà trop tard, il a planté ses griffes
    Et toi, anesthésié, tu ne remarques rien...

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    Réponses
    1. On finit toujours par comprendre...
      Et il n'et jamais trop tard
      Pour couper le cordon ombilical cancéreux !

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  4. Léon

    Je trouve que vous êtes phasme
    Que vous brindillez pour un rien
    Vous vous cachez dans les ramages
    De vos poèmes incertains
    Puis vous grimpez à croche-pattes
    En haut des cimes éthérées
    Tandis que moi pauvre camée
    Léon comme on m’appelle
    Je prends la couleur du papier
    Défraîchi qui tapisse mon aile
    Ce n’est pas tout que mimétisme
    Il faut aussi se dévêtir
    De l’habit qui nous rend infirme
    Dans cette ambiance monochrême
    Lors sortez donc votre âme
    De ce corps si lourd à porter
    Que je puisse enfin voir la flamme
    Qui ânime vos tiédheurs
    Bien sûr ce ne sont que phantasmes
    Mais je projette sur l’écran
    Ce que j’éprouve en son entier
    Il y a aussi des anémones
    Qui sinuent en mers abyssales
    Et se confondent avec la faune
    En ondulantes éoliennes
    J’ai un grand trou au creux du ventre
    Qui a faim de vous et c’est toi
    Et qui meurt et ne peut attendre
    Le mensonge médicamenteur
    Qui me fait tenir quand j’ai peur

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