Tu es ce feu de mes nuits
Lovée dans le miel d'écorce
Et me brûles l’iris éternel
Au gré d'éclore et de périr
Je ne pouvais pas l’apercevoir
Juste goûter du bout des lèvres
De ma phobie du monde
Tu es celle qui me protège
Arrimée à mon corps
Et me couvres de baisers
Jusqu'à l'espoir de ne plus exister
Je vivais à l'ombre humide
D’une âme sauvage et solitaire
Sous l'obscurité de mes songes
Tu es ce cours d’eau sans fin
Baignée dans le sel de ma vie
Et l'élixir de mes chairs
De la falaise aux galets
Je me noyais dans l’écume
Au-delà des océans célestes
Dans ma convoitise des degrés
Tu es ma parure morcelée
Expulsée d’un nid de fierté
Et mon abandon insaisissable
Tout ce qui ne la fait pas naître
La rend plus faible
Une proie dans l'atelier du monde
*
Maintenant je ne pourrais plus vivre
Sans l'amour que tu me donnes
Tu es le rêve qui se réalise
wonderful
RépondreSupprimerEt où est wonderwoman...
Supprimerhere I am
SupprimerYes I see... Here and somewhere else
SupprimerA little bit shady because why to write
why going on living so sadly ?
SupprimerShe left, and nobody knows the reason why la fée et compagnie
SupprimerMagnifique
RépondreSupprimerMerci James pour ce beau partage
Le plus dur n'est de lire mais de laisser son ressenti!
SupprimerMerci.
Requiem for love ! Today
RépondreSupprimerAnd if we returned to our sheeps !
Supprimerj'aime ce ton presque naïf et doux qui donne tout son charme aux déclarations fiévreuses de la fin...
RépondreSupprimerUne histoire sans fin...
Supprimerj'ai bien aimé l'amour, et le poivre aussi avec un peu de sel
RépondreSupprimerDu sel sur la queue de pie et papylecrivain s'envole
SupprimerC'est drôlement bien pensé et l'on pourrait croire que c'est écrit à deux voix je ne sais pas pourquoi James. L.
RépondreSupprimerOui je pense beaucoup
Supprimeret panse
comme il y a deux voix
pour une voie
Piste à suivre
L'étoile n'est pas loin
Rêve qui s'accomplit ! quoi de plus beau, sur terre ?
RépondreSupprimerquelle passion
RépondreSupprimeret belle réalisation
avec de simples ingrédients
b soirée
tu es mon arc en ciel délavé,
RépondreSupprimertu es ma pierre de jute enclavée,
tu es mon désert en pleine rue,
tu es ma destinée royale,
tu es ma lueur dans la cécité,
tu es ce chemin sans nécéssité,
tu es mon sel aprés l'effort,
tu es mon poivre presque noir...
sourires,
Lynda
Tel un torrent impétueux à l'embouchure d'un fleuve calme , donc une lecture apaisante malgré tout ...
RépondreSupprimerTrès joli poème beaucoup de saveurs, il est salè et poivré à point! merci pour ce partage
RépondreSupprimerIsabelle.
J'ai adoré O_O
RépondreSupprimerC'est vachemennnnnnnnnnnt bien écrit !
Franchement... Wow !