Il y en a une qui n'en a pas
Celle qui efface les nuages
Gorgés d'amertumes
Les parois de la solitude
Les jours sans
Et qui redessine la vie
Parallèle à l'incandescence
Celle qui joue avec le vent
Les mains et les lèvres étonnantes
Avec les cheveux des muses
Les canopées et les tours de verres
Celle qui développe avec grâce
L’esprit de fantaisie et de bonne compagnie
À l’image des folles éponymes
Qui s’adapte aux fantasmes les plus inventifs
Sans perturber le développement de son hôte
Et qui se fond avec douceur dans le paysage
En une multitude de variations élégantes
Celle qui s’amuse à transposer les songes en lumière
Vers le cœur des uns et des autres
Et qui déploie une gerbe de bourgeons colorés
Aussi espiègle que propice
À une disposition contagieuse
Celle cousue qui invite à la mobilité
Se découd s’enrubanne s’enroule
Selon l’envie de chacun
Lorsqu'elle envahit les corps
La création d’une nouvelle inspiration
Est un jeu d’enfant
Une veilleuse de nuit inattendue
Où le fil de soie de sa racine aérienne
Tout en souplesse
Passe à travers la chair et l'esprit
Sans frontières ni mépris
La simplicité de son accord
La rend soumise et ludique
Mais il faut la mériter
Pour qu'elle se prête à l’imagination
À l’initiative à l’humour
À l'amour
Fantastico... J'aime cette inspiration !!
RépondreSupprimerElle vie et fait vivre de belles lectures
Amitiés étoilées !
SupprimerLady no bobo...
L'inspiration est une respiration profonde
Je relis et c'est beau
RépondreSupprimerDouce après midi James
Naître vivre et mourir avec la chose
SupprimerSans la chose on vit pas, on survit...
RépondreSupprimerMerci James
bonne fin de journée
... La chose !
RépondreSupprimerHummm le saint graal n'est plus dans la coupe
Joli poeme ! J'ai bien aimé: "Celle cousue qui invite à la mobilité
RépondreSupprimerSe découd s'enrubanne s'enroule"
Coucou
RépondreSupprimerTu parles de ce la créativité, de la poésie, de l'amour, des trois ensemble car qui dit l'un dit les deux autres.
Merci James
Lynda