Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Nombres de poèmes et de commentaires publiés dans le blog
Nombre total de pages vues
Rechercher dans ce blog un poème
Tous mes poèmes
mercredi
Sans choisir l'heure
Abonnés du blog
Les dix archives les plus consultés ces 30 derniers jours !
-
L’oreille collée aux rails dédouanés, Je perçois le fracas d’un insoumis, Furieux, prêt à anéantir Tous ceux qui osent penser autrement. Il ...
-
Dans l'ombre ouverte des rues , un poison s'étend, Fentanyl et cocaïne, un duo troublant. La fameuse « drogue du zombie », spectre...
-
Assis entre le marbre noir du pays basque Et une herbe grasse d'un vert intense Face à un bouquet de fleurs Là où les rayon...
-
Dans le murmure des feuilles, Les secrets s’éveillent, Chuchotements d’un monde oublié, Où l’harmonie danse, Éphémère, Sous le poids des cer...
-
Rien n’est original Sauf ce que je fais Volez où vous pouvez Comme tout le monde Les scrupules ne me connaissent pas Et vous non pl...
-
1453 - 1830 - 2015 Trois dates Toile du jour Delacroix à Constantinople Charlie n’a pas perdu son hebdo Au travers les lumiè...
-
Liberté fraternité égalité Et les trois petits cochons Guettent le méchant loup Sans langue de bois ni briques Au bord d’un feu d...
-
Ce que j'ai envie de dire Tient en quelques mots Dans une main osée Qui habite dans le sud Un endroit qui se teint d'orange ...
-
Sur le meuble d'entrée Il y a ce timbre de glace Figé sur l'enveloppe vierge D'une lettre à la destination inconnue ...
-
La maison sous les arbres Abrite mille et un vers En particulier Ceux qui sustentent la charpente Par l'abondante nourriture ...
Poésie
RépondreSupprimerMerci James pour la vidéo et le texte
Douce journée à toi
La fin de l'œuvre est proche
SupprimerSans choisir l'heure...Superbe
RépondreSupprimerBonne soirée James
Chaque heure nous meurtrit
Supprimerla dernière nous tue
Mon Dieu !
RépondreSupprimerVeillez donc, car vous ne savez ni le jour ni l’heure
Supprimersans choisir l'heure
RépondreSupprimerMon coeur est serré de voir là saignante et dépouillée cette beauté
RépondreSupprimerL.
L comme qui L
SupprimerL avec deux L... comme l'aube ou laine. L'indicible Elle.
SupprimerMais encore l'indicible oui mais derrière ?
SupprimerOn voyage dans un autre univers, pourtant si proche du notre, semble-t-il... Mais si on le voit pas... on le sent proche. Et le tic tac est incessant... Chacun son heure!
RépondreSupprimerMerci pour la lecture, pour la profondeur du sujet.
Daniele
SupprimerLa profondeur est toujours difficile à atteindre...
Mais son silence est bienfaiteur... à qui s'est écouter.
L'horloge que nul ne maitrise...du premier au dernier souffle
RépondreSupprimerEn parlant d'horloge
SupprimerSi l'aiguille piétine
L'horloge sonne
Mais il n'y a toujours personne
Pour l'arrêter
Sourire..."Gaston y a l'téléphon qui son'
SupprimerEt y a jamais personne qui y répond"...je ne sais pourquoi cela me fait penser au refrain de Nino Ferrer...
On ne choisit pas grand chose au bout du compte
RépondreSupprimerOn a le choix des armes mais pas de la mort
Supprimer