Propulsé à travers la nuit
Contre les murs à repeindre
Les horreurs du moment
À fleur de peau d'ailes libres
J'ouvre les couchers de soleil
Loin des nombrils
Des messes basses
Affranchi large
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Dans le trou noir de la serrure
RépondreSupprimerOù la clé a perdu mes empreintes
La belle image du jour! Un bel écrit.
Le mariage des mots et de la musique est une indéniable réussite, l'un guidant l'autre.
RépondreSupprimerSimple curiosité : les titres musicaux dans chacun de vos poèmes sont-ils ceux qui vous accompagnent lors de la rédaction ou pas ?
Superbe poème et musique fort bien choisie pour le mettre en valeur.
RépondreSupprimerd'où vient ce fabuleux commentaire ?
SupprimerTes textes magnifiques me font souffrir, faut-il que je cesse de les lire ?
RépondreSupprimerTu vois je t'écris des idées puis je suis tellement méjugée que j'efface
RépondreSupprimerje te lis et te comprends comme je peux
mais tu as de la chance qu'on ne te dise rien de méchant
au moindre mot
Il est arrivé le printemps
RépondreSupprimerJe les ai vues voler dans le ciel
Les hirondelles de mes vingt ans
Les saluer un arc en ciel.
Il est arrivé à cheval
Entre un automne et un hiver
Sur un parterre abyssale
De couleurs vives tout de vert.
Les marguerites les coquelicots
Ouvraient le bal aux papillons
Leur envoyant de doux bécots
D'un pétale soyeux et brillant.
Il est arrivé le printemps
Au fou parfum de fantaisie
Faisant la pluie et le beau temps
Sur l'hier de ma monotonie.