Qui suis-je ?

- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Tous mes poèmes
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2014
(144)
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juin
(19)
- L'Étoile de Mer du Nénuphar
- 2017
- La calèche d'Odonata
- La cité interdite
- Les Saint-Pères
- Face à la lune
- La fillette à la sandale rouge
- Mission
- L'imprévisible
- Mi-figue mi-raisin
- Dream Street
- Prudence
- À l'ombre de la L U N E
- L’abandonnée défie la mer du ciel
- L’indifférence est inutile
- « Sur place ou à emporter »
- Derrière le cadre... I want to run away
- Résurrection
- L'amour est carnivore
-
▼
juin
(19)
lundi
L'Étoile de Mer du Nénuphar
dimanche
2017
Une question récurrente s'installa dans les pensées du poète et bien d'autres
Pourquoi rester dans un pays aussi déprimant
Il prit une autre gorgée
Minos prend le pouvoir
L'urne réduite en cendre
Minos se lève
En faisant claquer les gencives de ses syllabes
Et il achève
« Nouvelle Friche sera mon chef-d'œuvre »
Dans un état végétatif
La vieille Terre applaudit
Quelle importance désormais
Pourrais-je attacher aux choses
L’amitié
Elle disparaît
Quand celui qui est aimé
Tombe dans le malheur
L’amour
Il est bafoué
Fugitif ou coupable
La renommée
Pour la partager
Avec la médiocrité et l'insoutenable
La fortune
Pourrait-on compter comme un bien
Le vol et la terreur
Me resterait-il ces jours
Dits heureux
Qui me laissent ni l’envie de perdre
Ni de recommencer la vie
Le regard acier
Minos ferme les barrières
Brûle les rideaux de la scène
Et balance l'Autre
Sur le sol des catacombes
Je ne reverrai plus le bleu du ciel
Les nuages qui transportaient la vie
Et l'océan qui la tempérait
Vieille Terre est morte coupée du monde
Réduite au no man's land politique
La poésie meurt à l'étouffée
Sous le joug des cons sanguins
Qui policent la rotative
Par la voix des airs
Et de la terre
Je suis dans la résistance
Depuis le labyrinthe de mon exil
Je tweete jour et nuit
Sur les lignes séparatistes
Encore vierges de tous soupçons
« N’acceptez pas que l’on badge
Ni qui vous êtes ni où rester
Ma couche est à l’air libre
Je choisis mon vin
Mes lèvres sont ma vigne
Soyez complice du crime
Celui de vivre et fuyez
Sans rien fuir
Avec vos armes de plume
Et les idées larges
Prêtes à s’unir
Sobres à punir
Et mêlez-vous à qui ne vous regarde
Pour redorer le blason »
Poète lié à l'universalité
vendredi
La calèche d'Odonata
Qui chercherait fortune
Sur toutes choses
Il n’y a plus d’appel
Juste toi et moi
Sur un sol en paix
mercredi
La cité interdite
Suis-je au-dessus de la mer
Ou bien sur la margelle
D’un fantasme à saborder
Par delà l'intense ignorance
Dans le domaine des larmes
Et du mourir de plaisir
Lorsqu'elle est combinée
Il y a celle qu'on reluque
Pétrit pince
Et parfois même qu'on claque
D'une petite tape
Parfois même à l'insu de son propriétaire
Une simple posture
Et la rosace se transforme
En un véritable appel à la révolution
Jouant sur le registre de l'ambiguïté
À ce jeu de cache-cache
Nous sommes deux
L'éventualité de ce vol
M'offre du piquant
Ô belle et bien cachée
Ne cessant de m'exciter
Le tocsin résonne
Dans la vallée infernale
Ces deux vigiles
M'ouvrent le portail
De la cité interdite
Bercée d'un vent tumultueux
Bâtie par les dieux
Je crois à la nuit
Dans un savant mélange
Lié autour de l'unique grain de sable
Perdu au centre étroit
Joyaux en prière enclos
Sous le flambeau de pierre
Griffes sorties pour combattre
La vallée assassine
De collines en marécage
Rongeant sans frein ses rondeurs
Des minutes durant
Mon donjon d'ores et déjà
S'imbrique dans la muraille
Se lovant doucement
Dans un plaisir d'absurde
Se glissant lentement
Dans l'œil de la folie
Les cris d'oiseaux
Enchantent l'assaillant
Quelque instant a suffi
Sous le joug implacable
D'une sentinelle avide
Pour pénétrer la cité interdite
Et mourir dans le cachot idéal
mardi
Les Saint-Pères
Folles nuits écarlates
Du disco à la New Wave
Où Anges et Démons
Smurfent à tour de draps
Années quatre-vingts
Disparues sous la neige
Avec ses seins de glace
Et ma langue resurgit
À la source de l'aube
Sur le dôme des ans
Symboles de séduction
Sensible et fragile
Cette paire de sacrilèges
S'agite à nouveau
Dans le vase de mes iris
Brûle les empreintes de mes paumes
Implacable sentinelle ambiguë
Aussi modeste qu'elle puisse être
Semble participer
À la gloire de mon organe
À mes besoins spirituels
À mon exigence matérielle
Ombragées et bercées
Sous ses porcelaines d'éloges
Mes pensées viennent
Sans se presser
Et prennent de la valeur
Avec le temps
L'enfant encore né
Caresse le fluide du confort
Du bout de ses frêles phalanges
Écoute les secondes tombées
Des nuages à l'avenir
Qui frappent le temps
Me voilà un homme
Avec mes lèvres qui titillent
La petite partie
Saillante et pigmentée
Le lait où l’arc-en-ciel
Boit la beauté du jour
Rien ne m’aspire à être autrement
Seul mon sang crie
À travers cette poitrine
À jamais mon dernier refuge
Maintenant je dors paisiblement
Et doucement
Je vais rejoindre mon amour
lundi
Face à la lune
La fillette à la sandale rouge
Un vent malsain a répandu
La raison humaine
La piété populaire
Démocratie et laïcité
Sur le chemin de la terreur
Un rebelle du jihad
Aveuglé par la sunna
Affalé sur son trône sordide
L'œil aux mains souillées
Cherche à penser le bruit
Mais l'art d'aller sans cœur
Adhère au col de l'infâme
Au hasard d'une vie
Une mère voit
Sous les yeux gonflés
Les lèvres boursouflées
De sa petite fille
Qui hier encore
Faisait danser ses pieds
Sous un soleil d'été
En ce jour fleuri aux fenêtres
Transpire le souvenir
Tous ces lendemains captivés
Les cils labourés d'avril
Une larme de fond
Déferle avec chagrin
Une graine a résisté au vent
Petite fille il te reste
Un épi dorsal
Qui bourgeonnera de beauté
Détendu sous le saint divin
Et tenu au respect
D'un barbelé dénudé
samedi
Mission
Non ne parle pas
J'ai compris
Comme air sur air
Encore plus étouffé
Pas un son n'était présent
À ses côtés
Se tenait ses cheveux gris
Figés comme une pâte de verre
L’important
N'est pas la victoire
C’est avec qui tu joues
N'est pas la chute
C'est avec qui tu sombres
Et là
Où tombe la feuille
Là
Elle reste
Sans voix ni force
Et toi poète
Tu es là
Pour immortaliser l'éphémère
Au sein de ton recueil
vendredi
L'imprévisible
D'elle à lui
Cinquante nuages défilent
En haut de la pile
Il y a la nécessité
De sauver le soldat Amour
Et même en scrutant le tour
De France et de Navarre
Il est difficile d’en trouver un
Sans plomb dans l'aile
Sans plumes dans les poubelles
Le grand chambardement
Est tout d’abord provoqué
Par la fée numérique
Un amour qui sera épargné
Est un amour platonique
Ou lié à un mécanisme tantrique
Orpailleurs amis du mot
La pépite ne se baigne pas
Dans un fleuve tranquille
La poésie ne règle rien
Elle entame juste la couenne du désir
Vous pouvez toujours fantasmer
J’offre un dico des amours de demain
Au lecteur qui en trouve un
Vu qu’on ne connaît pas l'avenir
La solution pour ne pas le subir
Est de l'inventer
Et si le futur soldat de nos amours
Peut se dessiner de manière réaliste
Il reste néanmoins imprévisible
jeudi
Mi-figue mi-raisin
C'est qu'elle a peur
De ne plus être
Celle qui riait sans cesse
À chaque instant de la vie
Croyez-vous à la fatalité
Ainsi vivre pour toujours
Ou se livrer à la mort
Dans la nuit du jour
Où est l'importance
Mon étincelle a disparu
Et mon cœur brûlé
Porte les stigmates
De la Mélancolie
Loin en retrait
De la levure matinale
Loin du rayon de midi
Et de la lune
De la fin du jour
Ce qui m'est étranger
Devrait être merveilleux
Des chemins multiples
Vers des choses
Que je ne sais pas de moi
Tu nais tu vis tu meurs
Le chemin qu’on a à faire
Cela existe pour l’autre
Mais cela existe aussi pour toi
Tout ce que je sais
C'est qu'elle est belle
Même au plus profond
De sa tristesse silencieuse
Coincée dans sa tanière
C'est qu'elle est un amour
Solitaire sous un ciel étoilé
Elle chantonne des douces paroles
Une chanson solidaire
Pour le monde qui l'écoute
Je crois qu’on n’est pas fini
C’est fondateur
Une fois qu’on le sait
Se découvrir se transformer
Ne pas savoir
Qui on est vraiment
Vivre avec cela
C’est très beau
Laisser la possibilité
De ne pas s’enfermer
Dans les choses
Et de se tromper
Vivre et pouvoir
Se regarder
Se dire qu’on a été bête
Et aussi le reconnaître
Je crois beaucoup à cela
Encore
Tout ce que je sais
C'est que je ne suis pas un as
Ni un trèfle à quatre feuilles
Je ne suis qu'un cœur
Fragile derrière ses carreaux
Que s'envole la légère graine
Qu'elle germe au bord du ruisseau
Et l'arbre fleurira à chaque printemps
Et me rappellera ce jour
Où j'ai ouvert les yeux
Tout ce que je sais
C'est que je suis heureux
Même si l'homme n'est ce qu'il sait
Je n'ai pas peur des rêves
mercredi
Dream Street
Je la descends
Avec les mains le long du corps
La lumière dévore les lettres de l'enseigne
Nous sommes intimes
Je libère la nuit de sa coquille de jour
Et je lui apprends à éclairer
La nuit retourne dans sa coquille
Dans ce désir je dors les yeux ouverts
Derrière le miroir il fait jour
Mes lèvres effleurent l'idée
Mes pensées s'écoulent vers la fleur
Nous murmurons l'air
Nous nous envolons dans le ciel du lit
Nous nous aimons comme abeille et pollens
Nous nageons dans un « ré » de lumière
La rue des rêves nous dévisage
Nous ne sommes plus des anonymes
Il est temps
Que le jour connaisse nos nuits
Que le cœur soit notre devanture
Il est temps de s'aimer
vendredi
Prudence
Je lui mime un dernier morceau...
Ce que fait Prudence
Avant l'effervescence
Est un jeu d'osselet
Nocturne et secret
Attraper le bonheur insensé
Comme un soutien-gorge fiancé
Dans son armoire amoureuse
Dieu que la vie est généreuse
Enlacé à cette liane volubile
Étoile à la géométrie parfaite
Éclatante presque immobile
Opalescente et offerte
L'apogée est sous ma langue
À force de rêver de l'autre
Se sentir exsangue
À l'étroit sans l'autre
On se répand
On s'étire
D'un geste mesuré et lent
On respire
Et il y a des baisers qui volent
Et se perdent dans l'eau folle
Nos langues lapent les contours
Et sculptent nos œuvres glamour
Prudence est à la première loge
Face à l'aiguille de l'horloge
Elle perd la rime
Pour reprendre son souffle
Se lève
Enfourche l'étoile filante
Et disparaît
Cachée par une cloison nuageuse
Je l'aperçois dans le vestibule
Enfiler ses ballerines dorées
jeudi
À l'ombre de la L U N E
Quatre lettres
La cuillère saisie au bond
À l'ombre de la L U N E
Mes nouilles froides
En scrutant la L U N E
De mon œil droit
Il n’y a rien à craindre
Et rien à perdre
Dois-je confesser mes sentiments
Et me livrer entièrement
La tâche de rousseur sur mon iris droit
Le dermatologue m'a dit de la surveiller
Je l'ai confié à la L U N E
C'est la seule qui ne bouge pas
Quoique je fasse
Elle est toujours là
Le seul satellite féminin fidèle
De mon univers
Oui je sais
C'est presque gênant
Je lui répète
Prends des vacances au soleil
Visiblement casanière et jalouse
Elle ne veut pas tourner autour
Ni de lui ni du pot
Même lorsqu'elle est pleine
Et commence à décliner
Elle me rappelle l'heure
Attends ami et prends patience
Il n’y en a plus pour très longtemps
Peu importe car tout passera
Car personne ne comprendra
Pourquoi tu aimes les libellules
Ni qui tu es ni qui je suis
Ni ce que tu écris dans le vent
Depuis trop longtemps
mardi
L’abandonnée défie la mer du ciel
Revient la force pure
Celle que j'ai croisé
Je la vois encore toute menue
S'avancer pour me chanter
Tous les oiseaux à plume sont des bêtes
Or toi papillon bleu
Tu as une plume dans les yeux
Serais-tu alors une bête
Croire que tu es fini
Que tu en as déjà fini
C’est ça qui te rend fragile
À l’idée que tout s’écroule
La fillette est une terre bafouée
Avec des nuits sans rêves
Et des yeux sans étoiles
Du temps a passé
Des jours ont brûlé
Aucune cendre sur la colline
Son corps redevient nu
Elle scrute la mer
Les mains dans le ciel
Petite touche bleue
Pour une petite vie
Un brin de liberté
L’abandonnée
C'est tout ce qu'elle m'a demandé
Pour briser le mauvais temps
Comme des oiseaux en colère
Obscurcissant le soleil
jeudi
L’indifférence est inutile
mercredi
« Sur place ou à emporter »
Au télépéage casse-croute...
J'aimerais un citron Picasso
De la période rose et bleue
Pour partir en vacances à Guernica
Avec mes Playmobil
Ma bombe républicaine
Et sa chatte Dora Maar
Bien que je rêve encore
Aux Demoiselles d'Avignon
« Sur place ou à emporter »
C'est agaçant ce tournesol
Collé sur le pare brise de la caissière
En plus il lui manque une oreille
Et il y a cette femme assise
Elle me regarde de travers
Et me crie encore dessus
« Sur place ou à emporter »
Du Chili cone carne à Madrid
Comme à la maison via le système Dali
J'ai mon piano qui me siffle
Mozart sera en retard ce soir
L'horloge de la cuisine
Qui efface mes jours heureux
Et l'armoire de ma chambre
Qui sort ses seins du tiroir
Pour partir aussi en Jalousie
Et quand j'appuie sur tous les boutons
C'est le débarquement
Mesdames je ne suis pas un jouet
Monsieur le Président
« Sur place ou à emporter »
Non je n'ai pas de chambre d'hôtes
Ni de statue de la maternité
Et passant du coq à l'âne
Depuis Noël doux Jésus
Je suis devenu un fan de Miro
À cause de ma presbytie
Moi qui ne lis jamais vos poésies
« Sur place ou à emporter »
Encore ce massacre des innocents
Tiens on dirait le portrait de la Joconde
Je connaissais son vétérinaire
Et son chirurgien plastique
Deux vieux amis de la prothèse mammifère
Ils cohabitent au-dessus du parking Vinci
Leurs honoraires me coûtent la peau des...
Censuré la trompette de mort a sonné
« Sur place ou à emporter »
J'aimerais juste la paix
Trop tard c'est fermé
mardi
Derrière le cadre... I want to run away
L'idée n'est pas là
Elle est dans la difficulté d'accepter l'autre
Dans les loges qui donnent sur la rue
Où se déploie la réalité de la vie
Les secousses sentimentales
Pétries et remaniées
Dans l'obsession du juste
De la vilenie juste
De l'abandon juste
Du regard juste
Jamais de jérémiades
Au fil des mots dits
Toutes entités incorrigibles
Encrent les nus de mes libellules
Livrés à la tyrannie de leurs sentiments
Je sais que le cœur est une patrie
Comme il est aussi une armure
Il se conquiert
Il se défend
Jour après jour
À chaque instant
Un morceau de ciel
Jusqu'à la mort cérébrale
Pour disparaître dans un sable émouvant
Où le cadre n'a plus d'importance
I want to run away
lundi
Résurrection
dimanche
L'amour est carnivore
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