L’artiste Martine Madelaine-Richard.
Disparue dans l’air du temps, seule, et quelque part
J’imagine, toutes ses larmes qui ruissellent
Sur son visage en terre, la vie incertaine.
Se reflète sur ses toiles, son âme ancienne.
Comme tous les mortels, nous n’aimons pas l’oubli.
A l’heure où le grand sommeil assomme, Arabesques
Réveille, avec ses lèvres lies de vin faunesque,
Le coin des poètes disparus eux aussi…
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Moi, je ne l'oublie pas...
Elle travaille trop dans son atelier...
Les commandes affluent !
Elle nous oublie...
C'était la dépêche du midi...
Je vous rassure !
ARABESQUES peint toujours des poèmes en couleur
http://martine-m-richard.deviantart.com/gallery/
Ha !! Arabesques, l'amie des mille couleurs, la peinturlureuse de fleurs et de cœurs
RépondreSupprimerSélénaé
Merci SélénaéLaLouveFéline pour se rapprochement
SupprimerVoilà quand le succès vous chatouille les poches de devant
Il oublie celle de derrière
D'un autre côté une journée compte 24 heures
Dont 10 heures à ne rien faire
Reste 14 heures
Quand même c'est long
Mais l'amour le soleil et l'huile sur le feu
N'attend pas
La toile reste fragile
Je me mets à sa place
La réalité est plus jouissive que le virtuel
Je ne connais pas l'artiste Martine Madelaine-Richard, mais ses œuvres ont dû te marquer, pour lui rendre cet hommage ! Pourtant pour moi absence ne signifie pas oubli...
RépondreSupprimerUn très beau sonnet
Joli poème qui met fortement en valeur cette artiste
RépondreSupprimerMagnifique un poème qui enchaîne des vers superbes, des associations de mots qui font surgir de délicates images. Une réussite !
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