Comme ce modulateur
Bleuit l’épiderme chagrin
L’onirique cercle sanguin de ma raison
Est le lien absolu
Le berceau grandiose
De ce nid de baiser soumis à nos poisons
Dans l’encre violette
J’aperçois mon corps à bout de souffle
De cet amour sans défaut
Dans nos pas en cadence
Toutes les aiguilles de mes vers
très beau
RépondreSupprimerTout nouveau, tout beau !
SupprimerA l'expansion de ta pensée... tous ces rêves et toujours le verbe aimer...
RépondreSupprimerc'est vrai que c'est beau
amitiés
Christine
forme classique et langage presque contemporain et un mélange d'images absolument modernes....
RépondreSupprimerun jour que j'aime....
galatea
Alors, je ne peux que te souhaiter de doux rêves en compagnie de l'aimée.
RépondreSupprimerDe beaux vers et de belles rimes.
Merci pour ce partage.
Amitiè.
Marie-France.
C'est splendide ! Un grand sens poétique. De très heureux vers harmonieux et profonds.
RépondreSupprimer" L’onirique cercle sanguin de ma raison ","De ce nid de baiser soumis à nos poisons " je suis presque jalouse de ne pas avoir trouvé ça moi-même. Chapeau bas !
Merci pour le chapeau cela m'évitera de prendre un coup fatal sur le sommet du crâne...
SupprimerJ'aime le surréalisme de ta poésie
RépondreSupprimerAujourd'hui la réalité dépasse souvent le réel...
Supprimeroui, un très beau partage au son du tic tac
RépondreSupprimerMerci, Eden
"nos pas en cadence trottent dans l'horloge"
RépondreSupprimerun beau voyage, ici
Et sur mes rêves se couche celle que j'aime : jolie chute (de reins ! LOL)
RépondreSupprimerChute libre sans filet
Supprimeroù juste un filin d'acier
une poulie
et ma tyrolienne fume
L’onirique cercle sanguin de ma raison,
RépondreSupprimerDe ce nid de baiser soumis à nos poisons.
Deux vers sublimes !
Au moins un vers sinon rien !
SupprimerJ'aime, merci James
RépondreSupprimerSur mes rêves se couche
RépondreSupprimerCelle que j’aime
MAGNIFIQUE POÈME...LA MUSIQUE AUSSI
ON EST TRANSPORTE...
Merci James
Bon dimanche
merci...
SupprimerPuissant !
RépondreSupprimerJ'aime ce passage central :
"L’onirique cercle sanguin de ma raison
Est le lien absolu
De cette année-lumière"
Et la chute est splendide et si bien amenée.
Merci, au plaisir
Merci d'avoir saisi la chose...
Supprimerles rêves te tiennent James et tu n'es pas encore à bout de souffle :-)
RépondreSupprimeramitiés
Christine
Juste un souffle au cœur
SupprimerUne note de sensualité sanguine dans ce souffle de l'amour et un rapport quasi charnel avec l'écriture...
RépondreSupprimerJe le mets dans mes tablettes.
Bien bonne journée monsieur James!
Super beau
RépondreSupprimermerci James du partage
Douce soirée
Amitié
A
vraiment très beau poème
RépondreSupprimerl'amour transporte ta plume au delà de des rêves
merci de nous faire partager un si beau moment de lecture
bonne soirée
bises
amitiés
un petit salut
RépondreSupprimerje ne commente plus guère !!
Des photos ces vers ! Oui je l'aime beaucoup celui là ! Merci de ce partage mythologique.
RépondreSupprimerDans l’encre violette
De ses douces lèvres
J’aperçois mon corps à bout de souffle
Et la fièvre
De cet amour sans défaut
Brûler ce poème
Mes amitiés
James
Un nom archaïque pour un amour nouvelle "vague ".
RépondreSupprimerJ'aime ce mélange, inspiré, entre mythologie et sentiment qui passe entre les fibres sentimentales aériennes...
Dans mes préférés , ailleurs!
gala
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RépondreSupprimerIl y a des phrases qui marquent et celle ci en fait partie ...
"Dans l’encre violette
De ses douces lèvres
J’aperçois mon corps à bout de souffle"
Merci pour la réédition
B㋡nj㋡ur à vous et belle Journée
Patricia
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Un trés beau partage de tendresse James.
RépondreSupprimerBelle journée à toi.
Bien amicalement.
Gérard.
Si bien décrit pour cette déesse.
RépondreSupprimerQue l'amour dans ce poème puisse briller fort et en tout temps.
sincèrement,
Mon Juin
RépondreSupprimerJ’aime ce mois de juin
Plein d’orages et de nuages
De feuillages volants
Et soudain
Un éclaircissement
Un balcon de rayon éblouissant
Je vois je sens j’entends
Je prends un air de rien
Une lumière en brin
Un cri de soleil en déroute
Je marche le long de moi
Je marche et je reviens
Le vent me souffle un peu
Le cou
J’égoutte
Quatre fleurs éperdues ont perdu
Leurs pétales
Tiens une goutte
La grosse nuée grise arrive
Comme un train à vapeur
Je happe à la dérive
Le chaud de cette goutte
Dans ma bouche
Je goûte
Je tends les mains
Puis l’averse s’écroule
Alors je rentre vite
Derrière la vitre
Et je vois s’écouler
Les larmes de ce jour
Sur mes carreaux buées
Et j’écoute
Le vent
Le tonnerre
Le rien
Que j’aime ce juin-là
Soleil et pluie
Pluie et vent
Et nostalgie
J’adore.