La gabbia non è
Une larme s'échappe
La cage n'est pas folle
Juste suspendue
Dans le vide…
*
Le temps guette
Tendre et morose
Le regard empli
D’une grande beauté
Le cœur encore cloîtré
La nymphe s’impatiente
Respire son champ fleuri
De lys sauvages d’anémones
De coquelicots d’ancolies
Rêve à son envol
Désire son vent d’Ouest
Se dépose entre ses mains
Et délivre un mot
Un mot d’amour
Et l’été la recueille
Encore plus belle
Aliénation poétique
D’un oiseau d'une fleur
Du vent d’une plume
D’un Dieu d’une déesse
Beau!
RépondreSupprimerMerci James
Amitié de Bourgogne
Ah et les escargots sont-ils tous chaud
SupprimerProtection solaire 60 comme en Australie
Même si le slip kangourou ne saute pas
La mère gourou toutes les heures creuses
Et la pendule Suisse chante coucou coucou
Le petit oiseau est content c'est midi
Una lacrima scappa
RépondreSupprimerLa gabbia non è
Appena pazza sospesa
Nel vuoto…
Une larme s'échappe
La cage n'est pas folle
Juste suspendue
Dans le vide…
Una lacrima scappa
La gabbia non è folle
ma solo sospesa
nel vuoto...
Flora n'est pas triste , juste suspendue sur le vide des surprises de la vie et de son devenir constant, inéluctable...
Je crois que tu as su bien développer le thème de juillet. bravo !
gala
sono giusto matto tra
Supprimerl'orizzontale e le verticali
C'est comme ça qu'on dit...
Ravissant poème pour "le coeur encore cloîtré"...
RépondreSupprimerMerci James
Amitiés
Christine
Belle interprétation de cette image, James !
RépondreSupprimerLa nymphe Flora ne restera pas longtemps prisonnière de sa cage, Zéphyr la cueillera bientôt...
Très beau !
Quelle belle sensualité printanière, ça met du baume au cœur.
RépondreSupprimerMarouette oui l'été la ravit...
SupprimerTrès beau
RépondreSupprimerFlipote tout nouveau tout beau le zozo
SupprimerVoilà ce que veut dire poésie
RépondreSupprimerAmnous parfois on fait ce que l'on peut et la graine germe sans plus d'eau ou de soleil est-ce la chance la persévérance ou le dindon sans daim ni farce ou le travail un peu tout amonous
SupprimerJ’ai grandi dans une larme
RépondreSupprimerLes mésangettes du charbon
Qui ont dû naître cette nuit
Viennent prier sur mon balcon
Comme des nonnettes en furie
Qui leur a dit qu’ici chez moi
On peut se nourrir de ma voix
Une soufflette du Bon Dieu
Qui le matin ouvre mes yeux
Et les gouttes de givre rouillé
Auréolent la grille noire
Comme la petite voix mouillée
Qui sort de ma fatigue étoile
J’ai grandi dedans une larme
Et l’ange sur mon épaule dit
Attends c’est peut-être aujourd’hui
Que se finira ton jadis.
Miruna
22 février 2013
Merci James
RépondreSupprimerVaporeux ces vers...
RépondreSupprimerL'éther y est si délicat que le souffle élève aux meilleurs vents l'âme et l'esprit...
Très beau !