Afin que, vif ou mort, l'arbre ne soit que roses.
Qui suis-je ?
- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Tous mes poèmes
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2013
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octobre
(18)
- Aimer c'est saisir la fragilité de la chrysalide
- Lapilli
- Tu es mon héroïne ma chance
- Le royaume de l'esclavage moderne
- Plus ou moins
- Au nom des roses
- Sire… Léonarda vous fait la grâce !
- La fileuse de nuages
- Dieu, n’est-il pas l’heure de s’évader ?
- Mytho-logie d'un monde devenu dingue quant à l'amour
- Résurrection d'un café noir
- Souvenirs d'M
- Fantôme
- Dehors
- L'imagination « combleuse » de vide
- Le cauchemar du crime
- L'amour nous a envahi
- Penser que la lune est faite de fromage vert
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jeudi
Aimer c'est saisir la fragilité de la chrysalide
Afin que, vif ou mort, l'arbre ne soit que roses.
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La maison sous les arbres Abrite mille et un vers En particulier Ceux qui sustentent la charpente Par l'abondante nourriture ...
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Assis entre le marbre noir du pays basque Et une herbe grasse d'un vert intense Face à un bouquet de fleurs Là où les rayon...
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En perdant la clef Je dis au revoir à mère nature Et impuissant je regarde L'eau s'épuiser dans les arbres Ses fruits sup...
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Dès que je partage une pensée Avec quelqu'un qui sait écouter J'entends tout Même le silence Mais ce qui d’une déclaratio...
Je suis conquis par le fond de ce sonnet treizain dont la forme est, cerise sur le gâteau, quasi parfaite
RépondreSupprimerMerci Mokolo d'avoir analysé le casier de crabe. Heureusement il n'y avait pas de pinces !
SupprimerUn jour un poète a dit : « Aimer c'est le cœur nous tombe dan le ventre et que l'on a plus faim » C'est beau n'est-ce pas... L'amour peut sembler fragile comme une chrysalide mais seulement quand on n'en aperçoit pas sa force, quand on a peur de le laisser vivre.
RépondreSupprimerIloa Mys, oui cette phrase est pleine de bon sens !
SupprimerLa nature est belle par la force de sa fragilité et l'écrit est fort par sa douce poésie.
RépondreSupprimerAmitié
Allier la force à la plume et l'oiseau se supportera davantage.
SupprimerRoses immortelles font leurs passages
RépondreSupprimerBénéfique dans le ciel gris de la ville des mots...
galafrom motsville
Aimer c'est le cœur qui nous tombe dans le ventre et que l'on a plus faim
SupprimerFragile est l'espace du temps qui court et envoie ses ondes les respirer les humer et les vivre chacun de nous le souhaite ses roses en chemin trouver...
RépondreSupprimerSybilla
La phrase est trop longue il faut que je la relise pour comprendre le début avant la fin
SupprimerC'est magnifique !!!
RépondreSupprimermerci pour cette lecture colorée de bon matin
bisous
Même le soir c'est au coin du feu que la fragilité à toute sa place...
SupprimerAimer c'est le Cœur qui te tombe dans l'estomac et te rend anorexique !
merci
RépondreSupprimerLynda
A mes yeux la poésie peut tout
SupprimerElle possède le pouvoir sublime
Le tranchant de la simplicité
L’humilité d’un mot d’une larme...
Aux inconnus de neuf heures et des poussières, ou plus exactement à l'inconnue de neuf heures et quelques expirations… dites 33... Mais pouvez lire, c'est ouvert à tous comme si c'était nécessaire...
L'amour vu du ciel c'est beau. Et j’ai envie de dire que rien ne sert dire merci si tu ne cours pas derrière pour ramasser le pourquoi du comment, ainsi de suite.
L'amour se construit tous les jours !
A suivre.
La beauté et la force de l'Amour
RépondreSupprimerrésidant dans sa fragilité et dans sa tendresse.
Beau poème
Sincèrement
Chacun perçoit l'autre comme il peut, sachant que la vérité est le point d'équilibre de deux contradictions
SupprimerFragilité, éternité...
RépondreSupprimerL'amour, essence d'une belle métamorphose...
+v pour ce superbe poème James
Amitiés
Christine
Un sonnet que j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerUn sonnet en cache toujours un autre
SupprimerLe tout est de trouver le premier
merci James
RépondreSupprimerUn sonnet en cache toujours un autre
SupprimerLe tout est de trouver le premier
Une belle plume qui laisse les mots s'envoler vers un ciel serein et calme..
RépondreSupprimerLa douceur conjuguée à la finesse...
Amitiés...
Hubix.
Conjuguez l'ail aux fines herbes
SupprimerEt le calumet s'endormira la bouche solitaire
très jolie plume, amitiés poétiques
RépondreSupprimerMerci pour le message
SupprimerJe suis conquis par le fond comme par la construction parfaite
RépondreSupprimerC'est du lego star love !!
SupprimerUne guerre de rose sans épines
SupprimerOn peut toujours rêver
SupprimerUn beau sonnet accompagné d'une belle musique : aussi agréable pour les yeux que pour les oreilles !
RépondreSupprimerMerci pour le partage, James
Il faut parfois sonnet pour que les cloches sonnent
SupprimerLa Fragilité n'effleure d'Elle qu'imperceptiblement...
RépondreSupprimerMerci à vous.
Oui c'est un couloir étroit aux murs de glace et de feu
SupprimerAimer c'est saisir la fragilité de la chrysalide
RépondreSupprimerLa fragilité est une terre spongieuse
Où tu t’enfonces quand tu perds le poids des mots...
Et il y a ce rêve où un arbre pinceau
Peignait l'air, sur ses feuilles aventureuses,
Dans le ciel, des nuées d’abeilles amoureuses
Qui transformaient au printemps ses fleurs en oiseaux,
Ses racines, les plus fragiles d’un manteau,
Ses branches, d’or les plus intimes et précieuses.
La chrysalide survit dans l'humus fruité,
Où le baiser a ce goût d'immortalité
Et de sérénité qui la métamorphose
En belle de jour et de nuit au paradis...
Sur l'ex-voto la fragilité à tout dit,
Afin que, vif ou mort, l'arbre ne soit que roses.
Bien des choses sont fragiles et méritent bonne attention..
RépondreSupprimerFort bien ficelé ce texte
bien à vous
Noel
Malgré sa fragilité
Supprimerla liane résiste au poids
de la calebasse
La chrysalide survit dans l'humus fruité,
RépondreSupprimerOù le baiser a ce goût d'immortalité
Et de sérénité qui la métamorphose
Juste beau
Bravo !
une sorte de je t'aime moi non plus, fuis moi, reviens
RépondreSupprimerLe yoyo des amours
SupprimerBravo
RépondreSupprimerJe ne prends plus d'auto stoppeuse juste les yeux de son sac à dos
Supprimer**εoз**✎✿◈✿✎✿◈✿✎✿◈✿✎✿◈✿✎✿◈✿**εoз**
RépondreSupprimerUne étoile dans la nuit
Bonjour à vous et belle journée
Patricia
**εoз**✎✿◈✿✎✿◈✿✎✿◈✿✎✿◈✿✎✿◈✿**εoз**
J'avais oublié Miss Graffiti and co...
SupprimerAlors la nouvelle demeure a les murs encore blancs...
Quelle douce empreinte, ce tracé de plume....et en plus en sonnet... :good01:
RépondreSupprimerC'est vrai que c'est dans la fragilité des choses de l'émoi que se trouve le saisir de la beauté d'amour...
Ton fond de pensée..m'éblouit , ami poète ! :bravo01:
J'aime !
magnifique poème !
RépondreSupprimerMagnifique comme une fleur qui pousse au printemps à travers la neige qui ne veut pas fondre sous son charme !
SupprimerJ'ai aimé ce poème
RépondreSupprimerMerci... Tout dépend ce que l'on appel libre ici ou ailleurs ma poésie est libre comme moi puisqu'elle me survit !
RépondreSupprimerLa bien suffisance prosodique me gave... Je ne tue pas l'animal, j'observe son instinct et je le bois !
Bonjour,
RépondreSupprimerJe ne trouve pas de mots pour écrire un commentaire à la hauteur de ce que je viens de lire ... C'est d'une beauté infinie !
Merci et bonne journée !
Oui merci le silence des mots est une bonne critique
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