Et encore plus vie que la vie même
M'a soufflé Bielinski
Et j'aime
Être suspendu hors du temps
Dans une purée de pois
Loin du monde hors des lois
Sur la branche d'un arbre
Vers une poésie de l'être
Qui tend vers l'émotion
Vers une poésie de maux
Qui tend vers la résurrection
Déployer quelques feuilles
Pour profiter de la lumière du jour
M'extraire de la graine
Et naître enfin
Pour pointer hors de terre
Une mince tige de bonheur
Une fleur fragile
La vie est une presqu'île
Où cohue mensonge
Solitude et songe
Cohabitent
Et si je m'en allais avec elle
Me distiller
Dans cet arbre immortel
Sentir tout au fond de moi
La puissance de sa sève
Se gonfler dans ma fibre
Pousser l'écorce et m'enfler
Me gorger de force et d'envie
Et me dresser à travers l'air
Jusqu'à vouloir crever le ciel
Dans la lenteur des saisons
Afin de croître
Avec justesse et mesure
Mon horizon
Même si pour vivre
Nous avons besoin de peu de vie
Images en liberté dans une suspension inaltérée...
RépondreSupprimerHors la terre...
De temps en temps
Supprimerprendre l'air
tant qu'il a un arbre
une branche
un poète
Magnifique poésie...J'adore et la musique m'emporte
RépondreSupprimerMerci James
Belle journée
Didagh
j'ai vu la trilogie du commentaire
SupprimerLa poésie le vaut bien !
SupprimerBelle journée James
I love you I love you I love you
RépondreSupprimerFrancis Like a Star @ heaven
Et si je m'en allais
RépondreSupprimerAvec elle me distiller
Oui un pantalon diesel
doit être décrasser
au moins une fois par an
Et la ficelle
Supprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=I2EKuiNbMRc.... Séverine eurovision 71
RépondreSupprimerPrairie-de-lys... Les paroles
SupprimerSéverine - Un banc, un arbre, une rue
On a tous un banc, un arbre, une rue
Où l'on a bercé nos rêves
On a tous un banc, un arbre, une rue
Une enfance trop brève
Un jour ou l'autre il faut partir pour se construire un avenir
Un avenir
Et c'est l'inoubliable instant où l'on rend ses habits d'enfant
D'enfant
Chacun s'en va rempli d'espoir sur le chemin qu'il s'est choisi
Qu'il s'est choisi
Vers la richesse ou vers la gloire, pourtant quelle que soit notre vie
Notre vie
On a tous un banc, un arbre, une rue
Où l'on a bercé nos rêves
On a tous un banc, un arbre, une rue
Une enfance trop brève
Chacun, dans son coin d'horizon, ne défend que ses ambitions
Ses ambitions
Mais si nous ne partageons rien, que nous reste-t-il en commun?
En commun
On a tous un banc, un arbre, une rue
Où l'on a bercé nos rêves
On a tous un banc, un arbre, une rue
Une enfance trop brève
Premier prix de l'eurovision en 1971
SupprimerQuand le Français
Brillait... Encore
CLAP!CLAP!CLAP
SupprimerIl a trouvé le grand james bond !!!
Quand on cherche on trouve de 001 à 007 les secondes sont courtes
Supprimervous avez dit phalange...
RépondreSupprimerpouce index majeur
SupprimerSouvent les mots empruntant les labyrinthes de l’âme font cette force de l’esprit qu’on appelle souffle de vie…
RépondreSupprimerJ’aime vous lire !
Amitiés !
Les labyrinthes sont des chemins à ne pas mettre entre toutes les mains... La folie guette !
SupprimerSuperbe lecture
RépondreSupprimerDu James
merci et belle fin de soirée
Bonne faim de journée
SupprimerUne phalange poétique elle aussi autour de la vie de l'arbre de l'autre de soi-même une évasion verticale
RépondreSupprimercroyance, croissance sont de la même essence.
RépondreSupprimerL'amour est le moteur et sa poussée arborescente habite ce poème
je ne fais que passer
RépondreSupprimerUn ressenti intense, émouvant et plein de vie... J'aime
RépondreSupprimerDes mots puissants et poétiques.
RépondreSupprimerPour vivre vraiment ne faut il pas de l intensité et de l authenticité dans tout ce que l on vit?
J aime beaucoup.
« Se fondre dans la nature quelques instants seulement pour s'oxygéner, s'aérer de tout ! Léger... »
RépondreSupprimer« Pas du tout anxiogène plutôt anxiolytique ton poème. »
RépondreSupprimerDe la réalité au rêve la ligne est tenue, le pas immense et les vers poétiques.
RépondreSupprimerpj
j'aime tes poèmes qui sont pleins de sens
RépondreSupprimeret de poésie et de vérités crachées