Ce que je ressens
À cet instant précis
Après avoir jonglé
Avec toutes ses étoiles
Ce serait quelque chose
Comme de la mélancolie
Qu’est-ce que tu fais de tes nuits
Je rêve à elle et je l'aime
Et de tes jours
Je m'ennuie
Je ne sais même pas
Si j'ai envie de verser
Les larmes de la folie
J’éternise
J’éternise ma subsistance
Ma subsistance insensée et folle
Aujourd'hui
Dans l’insoluble protocole Éthernet
Je souris me connecte imagine
Je sauve garde
Cette granularité très fine
Le débit de ma vie
Demain
Je pleure revis chante
Mon imminente naissance coaxiale
Et derrière mon dos
Immobile
Se tient celle qui de son immense cœur
Recouvre
Tout entier le miroir de ma mémoire
Mémoire numérique
Éternelle
Fermant les yeux
La glace me projette un plein d'amour
Dans ce domaine
Où jamais on me quitte
Quand l'amour est à son comble
La liesse libère les yeux
Si je saisis c'est une nécessité ou presque de mettre en ligne sur internet dans un disque dur notre mémoire vive pour ne pas être oublié et où finalement peu importe l'issu on n'est jamais solitaire même une fois mort car c'est le cœur qui nous sauve et garde
RépondreSupprimerUne sorte de carte éternelle que nous aurions tous enfin un peu comme ici avec nos poésies on a tous peur de la fin et on laisse une trace
Si ce que nous avons à dire n'est pas plus productif que le silence alors apprenons à nous taire
Supprimerprenons du recul notre imminente naissance coaxiale nous invite à la rejoindre si ce n'est déjà fait
pour conclure n'ignore jamais une personne qui t'aime car un jour ou l'autre en te réveillant tu te rendras compte que tu as perdu la lune en essayant de compter les étoiles
éthernet
RépondreSupprimerCe n'est pas un fantôme
Supprimerjuste un ami
qui ne trahi pas
si l'on sait l'utiliser à bon escient
le temps utile
le retour est généreux
Mémoire numérique
RépondreSupprimerÉternelle
Fermant les yeux
La glace me projette un plein d'amour
Dans ce domaine
Où jamais on me quitte
ici nous cherchons tous et déposons tous notre mémoires sur le disque dur d'éthernet en espérant l'éternelle amour sans reproche une machine ne trahit pas
Merci James
RépondreSupprimertoo hard for me, all those complicated words.
RépondreSupprimershame for me
old cow
La vache à lait ne fait plus de fromage...
SupprimerDommage !
Mais en cherchant du foin
Ou de l'herbe grasse
La chose n'est plus très loin
Alors faites moi la grâce
De revenir au français
S'il vous plaît
Un bout d'éthernité...
RépondreSupprimerUne valise une paire de choses des idées de l'audace et la chance vient à nous car on est venu vers elle et j'enregistre pour ne pas me perdre pour ne pas qu'on m'oublie pour les autres qu'ils gagnent du temps...
SupprimerParfois un bon bouchon de liège est nécessaire pour conserver la mémoire, qu'elle vieillisse dans de bonnes conditions.
RépondreSupprimerPierreJ.
.
cela me plait énormément. Je me sens connectée avec beaucoup de tes vers, au diapason de certaines images inédites bien sur. Bravo.
RépondreSupprimerBeau
RépondreSupprimerPlein d'images
Merci James
Douce soirée
Bise de Bourgogne
J'aime et le titre, et le contenu de ce poème inhabituel,
RépondreSupprimertrès suggestif, et qui m'interpelle dans sa forme et son th'aime. Oui, j'M vraiment beaucoup.
Merci pour ce superbe partage James.
Amicale pensée de Clau
très beau james
RépondreSupprimerTrès beau texte
RépondreSupprimerVraiment magnifique !!
C'est une très belle poésie
RépondreSupprimerMerci de ce partage !
Mes amitiés
Sybilla
Très jolie, avec une fin superbe !
RépondreSupprimerJ'aime bien le fond, j'aime bien la forme. Tes mises en page sont esthétiques (je dis "tes"car j'ai lu quelques uns de tes textes avec de beaux tableaux à chaque fois.)
RépondreSupprimerIl y a quelque chose dans ton écriture qui interpelle ou qui percute...
L’homme propose et dispose
SupprimerIl ne tient qu’à lui
de s’appartenir tout entier
Bon je vais aller me manger quelque chose...