Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
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Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
Amour et comédie
Ai-je seul déchiré ton être de soie blanche ?
Et ce matin je rêve encore de ton corps…
J’ai l’art et la manière et plonge à bras-le-corps,
Au fond de tes yeux noirs, m’accoupler à tes anches.
Ai-je vraiment pleuré le soir de ton départ ?
J’ai dardé l’Iphone, l’Ipad et le portable.
Toutes sonorités tout amour est jetable.
Inondé sous le porche est triste mon regard.
Une cendre grisâtre a recouvert mes pages.
Ma longue nuit d’hiver, loin de mon cœur m’appelle.
J’ai fini d’écrire, des mots, des vers, sans elle ;
Le cœur ensevelit dans mon aréopage
Je n’ai plus de force, l’horizon écorché.
Adieu, mon cher poète et pourtant bon marché.
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oh
RépondreSupprimermais le désespoir iphonique te va bien
bisou
Merci... Comme je l'avais déjà écrit la vraie liberté aujourd'hui est de ne plus être joignable surtout par les mauvaises nouvelles !
SupprimerQue devient l'encre lorsque la muse s'en est allée, vers quelle contrée verser les mots lorsque le jardin est déserté... le soleil fait défaut et l'antre de douceur cherche sa flamme... MF
RépondreSupprimerQuand je suis heureux, ma tristesse devient presque intolérable !
SupprimerLa douleur du départ de l'être aimé peut être terrible, je le sais, mais t'a au moins écrire ce beau poème. J'ai beaucoup aimé ce premier quatrain.
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