Au cœur d'un tronc d'arbre
Je m’allonge à même ses racines
Les yeux imbibés dans l’azur
Peint d’un bleu de Prusse intense
Encadré d’un blanc immaculé
Gorgé d’un air pur et frais
Le gai savoir défile entre mes longs cils
Par-delà bien et mal
Chercherais-je le créateur
Entre les seins lourds de la muse
Et la récréation consommée
Perdu dans l'aube de ses veines
Je distingue désormais ma lumière
Coincé dans un nœud café
Où le marre transpire l’épicéa
Ma vérité inhérente mortelle
Mes illusions inhérentes vitales
Et une goutte d’huile de coude
Avant de rejoindre mes planches
Blondes et généreuses
Le cul de l’imbécile heureux
Quoiqu’il chante vous contemple
Une dernière fois
Et se fout royalement
Du corbeau déplumé et du renard empaillé
Accrochés au mur du refuge
Entre deux toiles d'araignées
Car la vie n’est qu’une variété de l’au-delà
Une variété très rare
Donc je pars vite Ô bonheur
Avant de fendre l’ascenseur
Rejoindre la fibre de mon cœur
Beau poème et belle vidéo
RépondreSupprimerBonne après midi james
La beauté au fond à droite...
Supprimersylvestre et sibyllin... Le troubadour James n'est pas sur le déclin...
RépondreSupprimer:-)
amitiés
Christine
Du pin de sucre au pin cembro un papillon en son cœur lorsque celui-ci tu le coupes en deux...
Supprimerbonsoir cher James
RépondreSupprimerc'est très beau
poème riche en vers et de jolie images
j'ai adoré la musique*
le tout est magnifique*
bises d'amitié
belle soirée
Adéla
l'amour
Supprimerc'est un moyen comme un autre
de priver quelqu'un de sa liberté...
Heu oui bon !