Qui suis-je ?

- James perroux
- La poésie est une suspension qui éclaire le monde. Un puits sans fond pour puiser sans pareil la panoplie humaine des émotions. J'essaie sans piquer la recette aux éloges, d'écrire de la poésie ou tout du moins m'approcher de ce qui me semble être de la poésie. Me lover à cette matière à la fois sibylline et mouvante, Sibylline parce qu'elle me parle le plus souvent dans une langue étrange et mouvante parce qu'elle me semble incontrôlable. Dans la mesure de mes capacités, j’essaie d’être celui que je veux être. Être le témoin de ce qui m'habite et de ce qui m'entoure. Je suis juste quelqu'un qui a besoin de s'exprimer avec ce que la vie souhaite me laisser croire et partager.
Vous trouverez sur ce blog toutes mes humeurs poétiques, de la poésie plus ou moins libre selon l'état d'esprit du moment...
« Une poésie n’est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. »
Si vous souhaitez lire l’essentiel, cliquez sur l’onglet « tous mes recueils en libre accès sous format PDF »
Les écrits et les illustrations numériques sont de ma plume. Certaines de mes illustrations utilisent des photos lors de mes montages graphiques dont j’ignore les auteurs ; je reste dans ce cas ouvert pour les indiquer. Il peut arriver aussi qu'un vers se glisse et qu'il ne m'appartienne pas, par pur hasard ou pas, je l'indique lorsque je pense qu'il en est nécessaire. En bas du blog, il y a les liens concernant ceux que j'aime suivre... Attention je ne tiens pas à jour tous les liens... Et souvenez vous que la poésie est une suspension qui éclaire le monde !
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Tous mes poèmes
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2013
(142)
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novembre
(14)
- Entre ciel et terre
- Il y a des jours après la nuit
- L’enfant de la lune
- Boire l’amour
- Tapisserie ou pâtisserie tout se mange dans le manche
- Il y avait une musique
- Et vogue la misère
- Bernard l’oiseau n'est plus dans son assiette
- État de choc
- Mélange des genres
- Fruit mûr d'un cauchemar
- Silence ! Moteur, ça tourne…
- Techno où est la mélodie de ta mélancolie
- Quand un ange passe l’heure s’attache
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novembre
(14)
mardi
Silence ! Moteur, ça tourne…
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Deux vies se croiseront Dans une douce courbe Puis l’éveil se déploie À l'épicentre du tumulte Quand l’âme s’éclaircit À travers les omb...
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Hormis ceux qui composent des vers, Et les écoliers parcourant les classiques, Qui donc se plonge dans la poésie contemporaine ? Personne ou...
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www.archive-host.com Sous la pluie, À tes cils, J’ai suspendu mon tout, Ma langue, ma langue Flirtant, Sur toi, comme un vœu. L’envie, Qu...
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Le grand Oracle, maître des chiffres foldingues, Secoue la bourse comme la balle d’un flingue. « Rien ne va plus ! » hurle le croupier Emmaü...
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Le spleen est comme la brume Qui surfe sur la mer Selon le sens du vent Il s'évapore ou se cristallise Tu me l'avais demandé Mais l...
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Cliquer sur la ligne pour écouter la poésie Voix de Ninon Tu es mon héroïne ma chance Cette richesse hors de moi Ma nouvelle ...
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Je me suis réveillé lentement Avec mon corps adhérant à ta silhouette Et dans les bords semi-ouverts de mes yeux Les horizons perdus...
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Je marche au cœur du grand brouillard Sur un chant d'utopie Où l'air réinvente la vie des anges Là où leur trace a été eff...
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Adossé au montant en bois sculpté orné de dorure rococo de mon lit Je sors les griffes et caresse l'inconnue à la peau d'une vénus é...
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Son dernier café Un pur arabica Lui brûle la langue Elle part sans dire un mot Au fond du jardin Une prière clouée dans la brum...
tendre amour
RépondreSupprimerle baiser expiré d'une carte postale
L'art poétique n'est pas juste un alignement de jolis mots...
SupprimerBref sinon il manque le timbre de sa voix...
oui mais en lisant on l'entend
SupprimerC'est bien on capte les mêmes ondes... Les plus belles
SupprimerMerci James
RépondreSupprimerUne belle soirée
Passage éclair
SupprimerAu chocolat c'est ceux que je préfère
un cimetière juif quelques vaches à lait
RépondreSupprimerla juxtaposition est très forte et terrible
passant d'un coup de cœur à un coup de balai
mon Dieu comme cela me fait mal
ce n'est que cela la vie
Quand on lit de près
Supprimeren comprenant ses vers
La tige supporte mieux
Ses pétales morts
lire et relire sans cesse et à chaque fois de nouvelles clés apparaissent
SupprimerUn amour loufoque et tendre peut être mais qui cache des blessures mal cicatrisées !
RépondreSupprimerAmities !
Marc
Bien vu l'aveugle... Ne rien voir arrange pour éviter de se mouiller ou se brûler les ailes... Et puis les histoires sont toujours derrières nous !
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